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  • Que faire
  • Vivre en Ville

Time Out dancing in the street ! Dans la série des grands classements de Time Out, on a vu ce mercredi 13 mars l’apparition de la troisième édition du classement des 30 rues les plus cool du monde. Une liste établie après bagarre (de rue) entre les journalistes des rédactions Time Out, qui prend en compte les bars, les restaurants, les lieux où sortir, la place allouée aux piétons, l’ambiance générale ou les initiatives écologiques locales. Et Paris ? On vous voit vous presser pour connaître les résultats, les voici : en première position, on découvre la cosmopolite High Street à Melbourne, ses plats du monde entier à s’enfiler, son vertigineux Gigi Rooftop et ses salles de concerts sillonnant tous les styles musicaux. Sur le podium à sa suite : Hollywood Road, l’une des plus vieilles rues de Hong Kong, haut lieu gastronomique comme culturel ; et East Eleventh à Austin,  longue voie cumulant les lieux hype et les classiques de la ville texane.  Et l’artère parisienne, elle est où ? Un peu à la rue justement (désolé). Plus sérieusement, de notre côté, on a porté haut et fort la candidature de la rue de Belleville, cette longue escalade du cool avec ses bars à cocktails (Combat, Kissproof), à vin (la Cale) et ses bouis-bouis côtoyant les adresses de la hype comme Cheval d’Or - dans la perpendiculaire rue de la Villette. Malheureusement, notre lobbying n’est pas parvenu à la hisser plus haut que la 20e place… Si notre orgueil de Parigots est touché, du haut de la rue de Bellevil

  • Art

Envie d’un grand bol d’art frais ? Peu importe le mois ou la saison, Paris abrite un nombre pantagruélique d’expos à même de combler votre appétit en culture, si bien qu’il est parfois difficile de faire le tri entre le bon et le moins bon. C’est pourquoi, équipé de notre calepin et de notre flair légendaire, on a bourlingué dans toute la ville pour ne sélectionner que la crème de la crème des expositions à Paris, qu’elles soient consacrées à la peinture, la photo, l’art contemporain, la sculpture ou encore le design. Résultat ? Un dossier expo aussi costaud qu’une cuisse de Roberto Carlos, qui vous fera vous sentir aussi heureux qu’un écureuil devant la version longue de Casse-Noisette ! Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.

Les meilleurs bistrots de Paris
  • Restaurants
  • Bistrot

Le bistrot, quel délicieux mystère ! L’origine du mot d’abord. Du russe bistro ? De l’argot parisien bistingo ? Dans cette affaire, les linguistes se montrent aussi perdus qu’une andouillette sans frites. On sait juste que, depuis le XIXe siècle, un bistrot désigne une table populaire, plus intime que la brasserie et plus abordable que le restaurant. Les marqueurs ? Un décor dans son jus, une ambiance simple et funky, portée par un(e) taulier(e) grande gueule et des plats arrimés au versant du rassurant : terrine, pot-au-feu, blanquette… Mais depuis la fin du siècle dernier et, disons, l’ouverture de la Régalade d’Yves Camdeborde, le bistrot a muté. Il est devenu le labo d’une “nouvelle cuisine” portée sur le produit, la saison et l’inventivité, plus abordable pour les clients et plus facile à lancer pour les chef(fe)s. Les néobistrots d’Inaki Aizaparte ou de Bertrand Grébaut répondent à cette envie de vouloir bien manger sans le cérémonial pesant des grandes adresses à la papa. Ainsi naquit la bistronomie, brillant néologisme créé par le regretté Sébastien Demorand. Depuis une décennie, Time Out écume la pléthorique offre bistrotière de la capitale mondiale de la spécialité, pour n’en garder que le meilleur. Voici un dossier qui compile les adresses à l’ancienne, les bistronomiques, les petits nouveaux aux assiettes voyageuses… pour un rapport kif/prix inégalé !

  • Que faire

Les Parisiens l’attendent tel le (Leo) Messie. Tous les jeudis, les groupes d’amis échafaudent leurs plans d’attaque, entre nuits sans fin, expos à gogo ou restos tout chauds. Vous l’avez reconnu : le week-end est en approche ! Comme d’habitude, chez Time Out Paris, on a trié notre caddie de bons plans au tamis pour vous savoir quoi faire à Paris ce week-end du 19 au 21 avril 2024 et avoir plein d’anecdotes à raconter lundi. Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.

  • Restaurants
  • Végétarien

On a chacun ses motivations pour arrêter de manger de la viande d’animal décédé. Certains le font par choix éthique contre la souffrance animale, d’autres poussés par les impératifs écologiques d’une consommation durable (et n’oublions pas la frange d’extrémistes qui détestent simplement les légumes vivants). Quelles que soient vos raisons, vous n’avez pas tort puisqu’on doit absolument réduire sa consommation de viande pour préserver notre planète. Bonne nouvelle, on n’est plus obligé de viser les tables certifiées 100 % végétariennes avec service en sarouel-sandales-patchouli pour se régaler sans viande. En piochant entre les brunchs, les burgers et les coffee shops, on vous a dégoté toute une liste de cantines et de restaurants où les végétariens et végan(e)s seront accueillis comme des altesses avec de vraies propositions de plats (et non pas tous les accompagnements de la carte réunis en urgence dans une assiette). Veggie, c’est la vie !

  • Voyage

Paris est magique ? Attendez de voir la maison mère ! N’ayons pas peur de le dire : la France est l’un des plus beaux pays du monde ! Et pour être honnête, on doute qu’il soit possible de connaître tous ses recoins en une seule vie. Ici, on a décidé de jouer la carte du dépaysement, excluant les escapades parisiennes et plus globalement tout ce qui a trait à l'urbain. Seule exception ? Le château de Versailles et ses jardins. Pour le reste, on a bourlingué dans toutes les régions, outre-mer compris, pour réunir les 45 lieux les plus iconiques du pays, entre littoral sauvage, montagnes sculpturales et endroits paradisiaques. Vous aviez besoin d’un dossier clés en mains pour choisir votre prochaine destination de vacances en France ? Il est là. Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.

Où slurper les meilleurs ramens, udon et soba de Paris ?
  • Restaurants
  • Japonais

Aux côtés des sushis, l’autre star de l’export dans la gastronomie japonaise est une spécialité popu, pas chère et roborative : les nouilles. Elles sont mangées chaudes ou froides, accompagnées (ou pas) de bouillons très variés et escortées de tranches de viande, de tempura, d’œufs… Rien à voir avec les versions italiennes ou chinoises. Les Japonais les slurpent en toutes saisons, par exemple pour éponger une saké soirée. Et à Paris, on trouve désormais d'excellents comptoirs où se régaler des trois types de nouilles nippones. Udons et sobas Ce sont des recettes japonaises anciennes et tradis. Les udons sont à base de farine de froment, blanches, épaisses et à la consistance élastique tandis que les sobas, fabriquées avec du sarrasin, sont plus fines et fermes. Dans les restaurants, on peut en général choisir l’une ou l’autre pour composer son bol. Ramens A l’origine, les ramens – prononcez « lamen » pour ne pas avoir l’air nouille au resto – désignent des pâtes de froment, similaires aux udons mais plus fines. Au XIXe siècle, elles étaient consommées dans un bouillon gras au bœuf par les immigrants chinois vivant à Yokohama. Par métonymie, ramen désigne maintenant ce plat hyper populaire, à savoir les nouilles, les accompagnements et le bouillon. La recette dessine quatre grandes familles de ramens : bouillon de sauce soja (shoyu ramen), d'os de porc (tonkotsu ramen), de sel (shio ramen) ou de miso (miso ramen) mais quasiment chaque adresse possède sa spécialité. Pour touch

  • 4 sur 5 étoiles
  • Restaurants
  • Libanais
  • Jaurès
  • prix 2 sur 4

Levant se lève à Paris ! Depuis quelques années, un courant culinaire chaud souffle sur la capitale amenant avec lui des giboulées de houmous et des éclaircies de citron confit. Dans la ribambelle de ces restos “levantins”, il y a du bon et du bof, certaines adresses se contentant de bégayer les maîtres-mots de cette cuisine “festive, méditerranéenne, de partage” – mais n’est pas Ottolenghi qui veut. Ni Gabrielle Beck. Qui ? La cheffe libanaise de cette cantine qui régale en toute sincérité et sans tapage (malgré son nom). Murs burinés, banquettes en contreplaqué, accueil crémeux comme un labneh… À midi, on mise sur le mezze “selon l’humeur du moment”, fort bien luné ce jour-là (16,50 €) : yaourt maison enluminé d’huile, lascive croquette de halloumi miellée, fatteh aux pois chiches à remonter d’une pointe de sel et rillettes d’aiglefin aux pignons… Avant de voir atterrir des mantis arméniens, ces ravioles au bœuf ouvertes à la sauce tomate, disposées en rosace fascinante sous un pompon de labneh poudré de sumac (25 €). Un petit bonheur que l’on irrigue d’une citronnade maison comme un soleil levant (4 €). Avant, en dessert, une gracile nage d’agrumes ointe de fleur d’oranger et pointillée de pistaches (8 €).  Derrière le comptoir, Gabrielle fermente, met en pot (regardez ces poires à l’arak et à l’anis !) et tient aussi un petit coin épicerie. Alors OK, c’est ouvert depuis 2018 et on était passé à côté… Mais mieux vaut zaatar que jamais ! Chez Time Out, tous les établissem

  • 4 sur 5 étoiles
  • Restaurants
  • Italien
  • Sentier
  • prix 3 sur 4

Finito les burgers. A la place de FTG (Frenchie To Go), voilà la trattoria de Greg Marchand (Frenchie, Frenchie Bar à Vins) qui arrive dans le game du déjeuner de « sa » rue du Nil. La salle, bruyante comme un marché napolitain, affiche une choucarde déco néo-vintage avec banquette périphérique, chaises Dietiker bordeaux, bois sombre et plafond miroir. Si Marchand n'est pas de Venise (lol), il a su déployer une convaincante carte panitalienne (ou poly-Botte ?) de l’antipasti au dolci. Délaissant la formule déj qui faisait l’impasse – perché ? – sur la pasta, on entame avec des artichauts à la juive bien frits comme à Rome, à plonger dans une douceur de crème de parmesan citronnée. Efficace. Puis déboule le raviolo, grosse pâte en spirale garnie de pecorino et partageant son beurre avec des petits pois croquants et des feuilles de menthe. Un plat replet et rassurant bien en phase avec la cucina povera chicos proposée ici.  Conclusion brillamment rustique avec une tartelette crostata garnie de frangipane de noisette et de confiture de fraise sous un chapeau de crème crue. A Rome, fais comme les Romains : on termine avec un shot de limoncello maison au citron Meyer qui fait oublier les ersatz chimiques trop souvent engloutis. En alternative moins agrume, la carte des vins fait  une monomanie de l’Italie : riesling du domaine Tenute Del Garda (10 € le verre, 49 € la bouteille) ; soave classico de Vénétie (54 €)… Bref voilà un Altro vraiment bueno. Chez Time Out, tous les établiss

  • Sites et monuments
  • Parcs et jardins

A une époque où les logis rétrécissent et les températures augmentent, les 2 300 hectares de verdure dispatchés entre les 400 parcs, jardins et squares de Paris prennent aujourd’hui l’allure d’une denrée aussi vitale qu’un grand verre d’eau au milieu d’un barathon. Si tout le monde a sa place au soleil préférée, on a inspecté chaque brin d’herbe pour n’en extraire que le haut des pâquerettes des espaces verts parisiens (intra-muros), des endroits tellement dépaysants qu’on a envie de les explorer toute l’année ! Un dossier en forme de jardin d’Eden des parcs parisiens. Pour plus de détente Dans le thème du vert et de la détente, découvrez nos dossiers recensant les piscines, les terrains de pétanque ou les promenades.