Minimaliste, ambiante, répétitive, électro-acoustique et foncièrement moderne. Les qualificatifs sont nombreux pour désigner la musique de Nik Bärtsch, à mi-chemin entre Steve Reich et une production électro contemporaine. Les compositions, qui durent rarement moins de dix minutes, s’étirent comme de longs crescendos avec un formidable travail sur le son. Les timbres sont multiples et originaux, la précision rythmique étonnante et la qualité du son live ahurissante. Un must à l’européenne, made in Switzerland.
En seconde partie, Guillaume Perret, chouchou de la scène parisienne, viendra nous présenter le répertoire de son futur album. Encore plus dark et plus costaud, paraît-il.