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PSG-Chelsea : aucun rassemblement autorisé sur les Champs-Élysées, prévient le préfet de police

À quelques heures de la demi-finale retour de Ligue des champions entre le PSG et Chelsea, le préfet de police Laurent Nuñez a annoncé sur RTL qu’aucun rassemblement ne serait toléré sur les Champs-Élysées, afin d’éviter tout débordement.

Écrit par
La Rédaction
Une vigilance maximale pour éviter les débordements en cas de victoire du PSG
Photo de Moahad Saqib sur Unsplash
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Le dimanche 13 juillet, le Paris Saint-Germain disputera la finale de la Coupe du monde des clubs, aux États-Unis, contre le club anglais de Chelsea. À quelques heures du match, les autorités parisiennes sortent le sifflet. Pas question de revivre les scènes de chaos des précédentes victoires.

Une vigilance maximale pour éviter les débordements en cas de victoire du PSG

Le 31 mai dernier, après le sacre du PSG en Ligue des champions, les scènes d’euphorie avaient vite tourné au chaos : 491 interpellations, 323 gardes à vue – une soirée de gloire virant à la démonstration de force policière. Ce vendredi matin, au micro de RTL, Laurent Nuñez a préféré couper court à tout suspense : « Aucun rassemblement ne sera toléré sur les Champs-Élysées. ».

À la veille du 14 juillet, les autorités ne veulent prendre aucun risque. Entre le déploiement logistique colossal pour les célébrations nationales et l’historique agité des nuits de victoire du PSG, la marge de manœuvre est réduite à néant. « On se prépare à toutes les hypothèses », martèle le préfet, en référence directe aux précédents débordements post-match. Le club de la capitale jouera ce dimanche la finale de la Coupe du monde des clubs face à Chelsea, aux États-Unis. Une occasion historique – et potentiellement explosive – qui pousse les forces de l’ordre à verrouiller les accès à la plus célèbre avenue de France.

Concrètement, les stations de métro autour des Champs seront fermées, les commerces devront tirer le rideau à 19 heures, et les foules, priées d’aller festoyer ailleurs. « Il est hors de question qu’il y ait des rassemblements sur des lieux où se déroulent, le lendemain, les festivités », assène Laurent Nuñez. 

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