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L'actu par Time Out Paris

Votre guide de Paris au quotidien : actualité, infos, culture et humour (enfin, on essaye)

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La Rédaction
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Virage passe la seconde, pied au plancher ! Après une première année réussie malgré un mois de fermeture forcé, la friche du 17e garée sous le périph refait le plein à partir du 14 avril. Pour embrayer sur cette seconde saison, le lieu ouvert par l’agence Bonjour/Bonsoir a lâché dans le plus grand des calmes 130 noms qui se relaieront tout l’été derrière les decks du club. Conduite par Rag, Benjamin Charvet et Samy Znimi, respectivement DA de Barbi(e)turix, du Badaboum et du Panic Room, l’affiche – paritaire – fait le pari de fureter du côté de l’électronique pointue, entre têtes d’affiche, pépites émergentes, labels et collectifs incontournables du moment. Commençons par ces derniers, parce que c’est souvent avec eux que les fêtes sont les plus folles. Il y aura par exemple les pro-eurodance de la Darude, la soirée lesbienne Wet For Me, le raout techno Pisica ou les déjantées Sœurs Malsaines. Dans la liste, on repère aussi l’agence Underscope (lancée par l’ex-DA de Concrete Brice Coudert), le label de Chloé Lumière Noire ou Cracki Records.   © Mercredi Soir / VirageSoirée électronique pendant l'été 2022 à la friche Virage   Côté artistes solo, la liste est longue et haletante comme un dernier tour entre Lewis Hamilton et Max Verstappen. A la volée, Virage accueillera Daniel Avery, The Blessed Madonna, Margaret Dygas, Rebeka Warrior, Maud Geffray, Cormac, Danilo Plessow (aka Mortor City Drum Ensemble), Blawan ou encore Bambounou. De la techno, de la house, du disco : vous l

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Cet été, ça va souffler des bougies par dizaines chez les festivals parisiens ! Tandis que le Macki encanaillera ses ouailles les 1er et 2 juillet, Peacock Society tamponnera ses 10 piges le week-end suivant ! Car oui, le festival de l’équipe de We Love Art – désormais secondée par le bookeur Talent Boutique – revient à ses amours juillettistes, invitant ses suiveurs à investir le parc de Choisy les 8 et 9 juillet. La prog, gonflée de 43 blazes représentant toutes les branches électroniques, réunit têtes d’affiche, collectifs intestables du moment et pépites encore sous les radars.    © Maxime ChermatPeacock Society 2022   Pour guider la meute, Peacock s’appuie sur un rutilant sextet de vedettes ayant toutes marqué l’histoire du festival. Dans le désordre : Nina Kraviz, Richie Hawtin, Paula Temple, Dixon, Bambounou – qui sera pour l’occasion épaulé par Bradley Zero le temps d’un B2B. Impressionnant. D’autant que le reste est du même tonneau. Au top de nos priorités, on a hâte d’être malmenés par l’Américaine Eris Drew et sa house hyperactive. On biglera aussi le live d’Acid Arab et leurs sonorités moyen-orientales, et le set de DJ Python armé de son reggaeton sous kétamine. Pendant le week-end, on n’oubliera pas d’aller voir la nouvelle figure de la house parisienne Belaria, le trublion pop Myd ou la fine lame amstellodamoise Hunee. Quant aux adeptes des BPM galopants, ils prendront leur pied devant les sets techno de Dax J et Trym ou celui plus syncopé de Skin on Skin. On

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Le plus emo des cinéastes est à la fête à la Villette ! A partir du 19 mai, on ressort ses t-shirts à l'effigie de Mr Jack et son fute de Beetlejuice pour se rendre dans le Labyrinthe de Tim Burton, une expérience immersive itinérante qui a déjà fait kiffer les cinéphiles madrilènes avant de s’installer à Paris. Pour rendre hommage au fantastique et fantasque Tim Burton, la Villette prête les 5 000 mètres carrés de son Espace Chapiteaux pour permettre aux visiteurs de se paumer dans l’univers loufoque du cinéaste. Conçu par Monsieur Burton en personne, le parcours propose plus de 300 itinéraires possibles qui permettront aux wannabe Johnny Depp et Helena Bonham Carter de plonger dans l’univers sombre et génialement bizarre de sa filmographie (presque) aussi longue que la disco de Jul. A gauche, on glisse vers les mondes merveilleux d’Alice aux Pays des merveilles ou Charlie et la chocolaterie, à droite, vers les univers plus dark d’Edward aux mains d’argent ou de Miss Peregrine. Si, avec ce genre d’événement, on craint parfois une scénographie tape-à-l’œil au détriment du fond, la promesse semble ici tenue des deux côtés. Entre croquis signés de la main de Tim Burton, maquettes, décors des films et costumes grandioses, les fans seront servis avec plus d’une centaine d'œuvres originales présentées dans un ensemble défini par le cinéaste comme une “fête foraine fantastique”. Un conseil : pensez à réserver vos billets dès maintenant, ça risque d’être aussi blindé que les salles

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“La banlieue influence Paname. Paname influence le monde.” Refrain du projet Grand Paris impulsé par Médine, cette punchline est l’horizon de Paname, le Grand Paris du rap, sorti fin février sur France TV Pluzz. Réalisé par Jean Morel, le Monsieur Loyal de l'estimable média Grünt, et l’auteur-réal Simon Maisonobe, ce docu détaille comment la lumière a été mise sur la scène rap francilienne au cours de la décennie 2010, faisant d’elle l’une des places fortes du genre dans le monde. Construit autour de témoignages de journalistes, d’observateurs du genre et de rappeurs évoqués, ce “Grand Paris du Rap” part d’un groupe ou un artiste, le replace dans son contexte géographique, avant de pointer son importance dans le développement du rap régional. Bien au-delà d’un simple catalogue, il détaille les spécificités et apports stylistiques de chacun, tout en dessinant leurs féconds liens. La fameuse force du collectif. Côté trajet et tracklist, ça commence dans le nord de Paris à la fin des années 2000 avec l’explosion de la Sexion d’Assaut, ça continue avec les fines plumes de L’Entourage (Alpha Wann, Jazzy Bazz) et les joutes Rap Contenders avant de passer à la case Sevran, mise en branle par l’arrivée tout en brutalité de Kaaris. La suite, c’est un aller pour le 91, de PNL à Ninho, avant de revenir dans le 93 pour mettre un halo sur Fianso. Bref, si vous êtes passé à côté de la supersonique décennie rap francilienne qui vient de s’écouler, voilà un bon moyen de vous rattraper. Pour

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Le plan qui s’avance va électriser la capitale. Le 8 avril, la troisième édition du championnat du monde de “Docteur Maboul” va avoir lieu à Paris. Mise sous tension par l’équipe de l’abracadabrantesque Joachim Charlot, bien plus maboul que docteur, la joute réunira 160 joueurs venus du monde entier (ou presque) à Paris. Ceux-ci s’entredéchireront au fil des tours sous les regards anesthésiants de 12 arbitres. Dress code obligatoire : la blouse blanche. On prévient : les organisateurs ont l’air chaud comme des braseros de piquets de grève. Dans une haletante bande-annonce, ils annoncent : “L’an dernier, c’était l’échauffement. Cette année, c’est la vraie compétition.” Préparez les compresses, ça risque de saigner. Si, pour participer, les orgas vous donnent rendez-vous sur le compte Insta du grand manitou (@joachimcharlot_), les modalités pour assister à l’événement restent à définir.  Pour rappel, pour vaincre le Dr Maboul, vous devrez retirer le maximum de pièces anatomiques du plateau/patient, sans toucher les bords et faire tinter son nez rouge. Serez-vous le Kylian Mbappé du bloc opératoire ? Rendez-vous le 8 avril pour le savoir. Quoi ? Championnat du monde de “Docteur Maboul”Où ? Adresse tenue secrèteQuand ? Le 8 avril 2023Combien ? Gratuit

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Si vos kiffs dans la vie, c’est bien aider, bien manger et bien danser, on a l’évènement qui coche toutes les cases. L’association Refugee Food organise un grand banquet le samedi 18 mars 2023 sur la péniche du Mazette. A partir de 19h, les chefs Harouna Sow et Johan Barre quatremainisent un menu (30 € / 35 € avec un verre de vin) qui penche vers le Sénégal : œuf parfait au yassa et pleurotes crousti ; ballottine de volaille au mafé et croquettes de patates douces et un banoffee à la banane, caramel, mascarpone et café touba. Miam. Pour digérer de ce festin, direction le dancefloor à l’étage du dessous avec d’abord un concert (10 €) du duo Ko Shin Moon, qui mêle instruments indiens tradis et boucles actuelles. Puis la nuit se poursuit (12 €) dans la veine électrorientalisante avec les DJ sets de Disco Makrout et de Red Lebanese qui vont vous rappeler que la hanche est bien une articulation. Tous les sous récoltés aideront Refugee Food à réinsérer les réfugiés accueillis en France dans les métiers de la restauration. Du bon, du bon et du bon, on vous dit ! Où ? Péniche le Mazette 69 port de la Rapée, Paris 12eQuand ? le samedi 18 marsBilletterie ©Clémence Sahuc / DR

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Marre de vous faire entuber en club en payant des bouteilles en plastique à 5 balles ? C’est (bientôt) fini ! Le 9 février, le Club Zéro Plastique a fait son apparition sur la place nocturne. Son horizon, vertueux, est « d’arrêter la vente de bouteilles d'eau en plastique sous deux ans » dans les clubs français. Une première mondiale dans le milieu de la nuit pour un engagement écologique de cette ampleur. A l’origine de cet appel, on retrouve trois entités, la Machine du Moulin Rouge, club mythique de la capitale, Bye Bye Plastic, qui aide les secteurs musicaux et événementiels à réaliser leur transition sur le plastique, et Club Culture, un collectif réunissant les lieux de vie français. Dans leur sillage, 19 clubs du pays ont signé le premier appel, dont une bonne part basés à Paris : le Badaboum, la Station, Kilomètre25, le Rosa Bonheur ou le Rex Club. Et contrairement au Fight Club, la première règle est d’en parler le plus possible – après l’appel, quatre lieux supplémentaires ont pris leur carte de membre.  Et en chiffres, ça dit quoi ? Reste à quantifier l’économie en plastique que constituerait cet arrêt des ventes de bouteilles d’eau. Pour ça, on dispose des chiffres de la Machine (dont la jauge est de 1 250 personnes), qui les a bannies dès 2019, tout en installant une fontaine à eau et en acceptant les gourdes. Chaque année, la Machine estime économiser « 227 272 bouteilles de 33 cl par an et 3,18 tonnes de plastique [représentant] un impact carbone évité 12,33 to

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Bébel éternel à Bir-Hakeim ! Après plusieurs consultations, la commission municipale de dénomination des voies a validé la création de la « promenade Jean-Paul-Belmondo » en lieu et place du terre-plein central de Bir-Hakeim, cet espace pourléchant le viaduc du métro, jouxtant les 15e et 16e arrondissements par la Seine.  Et pourquoi ici ? Parce que Peur sur la ville pardi ! Dans ce polar d’Henri Verneuil tourné à Paris en 1975, Jean-Paul Belmondo (décédé en septembre 2021) se retrouve à réaliser une cabriole sur une rame de métro au moment de son passage sur le fameux viaduc de Bir-Hakeim. Difficile de trouver une scène plus Bébel. Dernière étape avant la pose de la plaque : la validation définitive – une formalité – du Conseil de Paris le mercredi 15 mars. 

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Eh bé, ça va bouger en juin au 104 ! Alors que les clubbeurs profiteront d’une Boiler Room le week-end du 10, un événement Disney se chargera de titiller les nostalgiques du 30 juin au 9 juillet. A l’occasion du centenaire de la firme aux grandes oreilles, le 104 va héberger une expérience immersive, directement tricotée par Disney, mettant en scène tous les personnages et duos mythiques de la franchise. Les visiteurs seront plongés dans quatre mondes magiques déclinés sur 1 000 mètres carrés. Si vous avez toujours été fan d’Alice et du Chapelier fou, votre visite passera obligatoirement par le Jardin mystérieux, sorte de labyrinthe sous LSD inspiré d’Alice au Pays des merveilles. Plutôt branché plage et cocktails servis dans des noix de coco (ce sera l’été après tout), l’espace sensitif Ohana Bay vous enverra sur une plage hawaïenne façon Lilo et Stitch (planche de surf en option).   © Disney   Quant aux plus aventureux, direction la jungle du Roi Lion, recréée au sein de l’Oasis orchestrale pour chanter “Hakuna Matata” en dégustant des vers de terre “un peu gluants… mais appétissants !”. L’ultime monde, l’Univers des merveilles, ravira les esthètes des premières heures de Disney, avec une expérience interactive globale consacrée à Mickey et toute sa bande. Ne reste plus qu’à faire votre choix ! Quand ? Du vendredi 30 juin au dimanche 9 juillet 2023. De midi à 22h.Où ? 5 rue Curial, Paris 19eCombien ? 21 €

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Dix ans après avoir choqué le monde de l’art avec son lustre en tampons hygiéniques (exposé à la Biennale de Venise de 2005 puis censuré lors de sa carte blanche à Versailles), l’artiste franco-portugaise Joana Vasconcelos déboule dans la Sainte-Chapelle du château de Vincennes du 28 avril au 3 septembre. Que les bigots se détendent illico presto : si la plasticienne flirte toujours avec la démesure, elle s’est aussi (un peu) assagie. Sous les ors et vitraux du monument, les visiteurs pourront cette fois-ci zieuter son œuvre Arbre de vie, une structure de 13 mètres représentant un laurier 8.0. Spécialement imaginée pour la chapelle dans le cadre de la saison France-Portugal 2022 (dont la prog a été chamboulée par le virus au nom houblonné), cette création se compose de 100 000 feuilles noires, rouges et or, intégralement brodées et tissées à la mano par les artisans/assistants de l’artiste. Un sacré boulot mis en branle au cours des premiers confinements. © Atelier Joana Vasconcelos Si cet Arbre de la vie peut paraître un peu fleur bleue, sa sève est gorgée de symboles puissants. En guise d’inspiration, Vasconcelos cite deux femmes : la reine Catherine de Médicis, qui a aménagé le château et planté 3 000 ormes dans le parc ; mais aussi Daphné, une figure mythologique ayant choisi de se changer en arbre pour échapper à la cour d’Apollon. Une transformation que l’artiste a voulu mettre en lien avec la nature du bois de Vincennes voisin et avec la renaissance post-Covid. Bref,

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