L'actu par Time Out Paris

Votre guide de Paris au quotidien : actualité, infos, culture et humour (enfin, on essaye)

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L’an prochain, le Centre Pompidou fermera ses tourniquets pour cinq ans afin de réaliser le plus grand polishage de son histoire. Mais avant ça, Beaubourg a quelques plans dans les tuyaux. Parmi eux, une trilogie de cartes blanches électroniques confiées à la Machine du Moulin Rouge, dont le deuxième épisode vient d’être annoncé pour le 28 novembre. Une soirée gratuite Pour s’occuper des baffles installés dans le Forum – accessible gratuitement –, la Machine a convié un B2B beau comme un manifeste de Breton, avec d’un côté la Tunisienne Deena Abdelwahed, auteure de Jbal Rrsas, un disque mystique inspiré des lieux et influences du monde arabe ; et de l’autre, la DJ marocaine Glitter55, résidente Rinse France, qui propose une techno imprégnée de sève orientale. Sur le même modèle que le premier volet, il pourrait y avoir un stand de maquillage, des initiations au DJing – cela s’était fait avec Lisa More, programmatrice de la Machine –, ainsi qu’un accès libre à la collection permanente. Clairement, Bison Futé va voir rouge sur la billetterie de cette carte blanche ! Quand ? jeudi 28 novembre 2024.Où ? Centre Pompidou, place Georges-Pompidou, Paris 4e.Combien ? accès libre (lien de réservation à partir de 12 novembre, midi) Pour découvrir notre dossier des meilleurs clubs de Paris, c'est par ici. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par La Machine Du Moulin Rouge (@lamachineparis)

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Au sommet des Buttes-Chaumont, venez apprendre à bouger votre booty ! Samedi 16 novembre, le collectif de reggaeton 2.0 Divin0 déboule au Rosa Bonheur canal historique pour lancer un cycle de cours de danse entièrement gratuits et accessibles à tous les niveaux. En guise de premier professeur, on retrouvera le chorégraphe Cleve Inward pour des cours centrés sur le reggaeton et le perreo. L’occasion d’apprendre des moves de base et de causer de l’importance culturelle de ces danses apparues à la fin du millénaire sous les méridiens caribéo-latino-américains. De quoi travailler boule et bille ! Complète, la session du 16 novembre sera suivie de deux autres cours : les 11 janvier et 15 mars 2025. Quand ? samedi 16 novembre 2024, de 16h à 18h.Où ? Rosa Bonheur Buttes-Chaumont, 2 avenue de la Cascade, Paris 19e.Combien ? gratuit (sur réservation par mail ou MP). Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Divin0 (@d_i_v_i_n_0) Pour découvrir notre dossier des meilleurs clubs, c'est par ici.

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  • Dans nos Assiettes

Vous aimez le chocolat mais pas assez pour vous coltiner les allées interminables du parc des expos ? Plaq vous a compris et organise, pour la deuxième année, un off du Salon du chocolat de la porte de Versailles dans sa boutique de la rue du Nil. Et la programmation fait carrément saliver. Il y a d’abord une carte de 14 pâtisseries inédites à goûter, créées pour l’occasion par des adresses qu’on aime bien chez Time Out : bao choco signé Adeline Grattard de Yam'Tcha ; fondant Némésis de Grégory Marchand (Altro Frenchie) ou la concha cacao et chipotle de Julie della Faille de Recoin. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par PLAQ (@plaqchocolat) Ensuite, chaque jour du 30 octobre au 10 novembre, une table ronde (5 € sur réservation) autour de l’impact de la gastronomie va nourrir vos réflexions, comme celle du 5 novembre sur l’importance du sourcing présentée par Fanny Giansetto, fondatrice d’Ecotable, et Alexandre Drouart de Terroirs d’Avenir. Le 6, ça parlera de « changer le monde en mangeant » avec Vanina Gisbert de l’Ecole Comestible et Laure Duteurtre du Refugee Food. Enfin, ce Off propose aussi deux dîners en cinq temps autour du cacao (120 € sur réservation) cuisinés par Ella Aflalo, cheffe du Luma à Arles, à déguster dans un appartement du 11e. Où ? 4 rue du Nil, Paris 2e.Quand ? du 30 octobre au 10 novembre.Réservation ici

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Paris déborde de mystères culinaires : existe-t-il une limite à la marge sur les petites assiettes ? Qui est vraiment le chef d’un kebab ? Et surtout : pourquoi, les frimas venus, si peu de tables mettent du pot-au-feu à leur carte ? Afin de nourrir le débat et combler les estomacs, le grand Mauro Colagreco (trois macarons au Mirazur à Menton quand même) a décidé lui s’en proposer une version aussi personnelle que réconfortante. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Gault&Millau France (@gaultetmillaufr) Pour s’en délecter,  il faut se rendre chez Grandcoeur, la brasserie chicos planquée dans une cour pavée en compagnie du centre de danse du Marais. Là, bien installé dans la salle en pierres de taille et miroirs, laissez-vous guider par le défilé des faïences : d’abord, l’os à moelle à tartiner sur un pain à l’ail puis dans la soupière à dispo, le sapide bouillon gorgé de vermicelles et enfin l’assiette de viandes (oh là une saucisse typique de la version argentine !) et de légumes à laquelle s’adjoint toute une palanquée de pickles et une diabolique sauce verte italienne. Bon, beau et généreux. A 45€ par tête, le plan idéal pour impressionner vos parents (et leur demander un truc) ! Où ? 41 Rue du Temple, Paris 4e

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  • Dans nos Assiettes

Adulé par les amateurs d’une cuisine technico-canaille, de gastronomie nostalgique et de saveurs corsées, le lièvre façon Carême (ou sénateur Couteau, selon la recette) fait un retour à la royale dans les adresses parisiennes. Le chef Thomas Boullault du restaurant l’Arôme a d’ailleurs créé le championnat du monde de la spécialité qui a couronné, dimanche 28 octobre, Maxime Rizo du Relais de la Poste à Magescq dans les Landes, coiffant au poteau Keisuke Shibata de la Tour d’Argent à Tokyo ! Voici une sélection de tables qui proposent des bestiaux qui en ont sous la galantine. Attention, cela ne dure que le temps de la saison de la chasse ! Le roi des forêts  © Limon Amoureux de l’automne, le triplement étoilé Jérôme Banctel passe pour l’un des grands maîtres du lièvre à la royale. Il a d’ailleurs son rond de serviette au championnat. Depuis l’an dernier, il fait fureur avec son menu chasse où un giboyeux défilé de chevreuil, poule d’eau et marcassin déroule le tapis rouge pour la merveille : le fameux lièvre, ici tiré à quatre épingles toquées et serti de spätzle au sarrasin.  Où ? La Réserve 42 avenue Gabriel, Paris 8e.Combien ? Menu chasse en dix temps :  378 €.   Le vice-vice-champion du monde © Stéphane Riss Avec le Relais Louis XIII arrivé troisième, Paris n’a pas posé un lapin au championnat du monde de lièvre à la royale. On se jettera donc sur le lièvre truffé serti d’une poire emmitouflée proposé par Isshin Shiraishi dans cette adresse à l’ancienne de la rive ga

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Arrêt solidaire à la Station. Alors que les bombardements de l’armée israélienne ont causé la mort d’au moins 1 620 personnes et déplacé quasi 1,5 million de personnes (sur 5 millions d’habitants) depuis le 23 septembre, la solidarité s’organise sous nos latitudes. Parmi les initiatives, l’artiste expé libanaise Liliane Chlela présente ce jeudi 31 octobre à la Station une soirée électronique dont les bénéfices seront reversés au centre culturel Beirut Synth Center et au studio Tunefork, qui coordonnent une opération de secours sur place. Une affiche aussi belle que l'initiative est fondamentale Et attention, pour s’occuper de la bande-son, Liliane Chlela a tricoté une affiche aussi belle que l’initiative est fondamentale. À ses côtés, on croisera la Tunisienne Deena Abdelwahed, dont le dernier album Jbal Rrsas, grande fresque mystique inspirée du monde arabe, a marqué l’année 2023 électronique au fer rouge. Sur le tract de la noce, on découvre également la DJ Marocaine Glitter55 et sa techno sous sève orientale, et l’ultra-curieux Nantais Simo Cell, capable de mixer en un set sonorités syncopées, acid ou jungle. De la solidarité, des artistes de haute volée et une veille de jour férié : allez, on laisse les excuses au vestiaire et on ramène sa fraise. Quand ? jeudi 31 octobre 2024.Où ? la Station, 29 avenue de la Porte-d’Aubervilliers, Paris 18e.Combien ? 10,65 € (Billetterie ici) Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par La Station — G

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A l’aube d’Halloween, on vient à vous avec des plans (salles) obscurs ! Entre fêtes en tous genres, visites de cimetière et balade artistique, les environs du 31 octobre sont aussi bouchonnés par une ribambelle de cycles de films d’horreur bons à vous faire suer sous votre Damart. On en a listé trois, entre marathon de l’effroi au Grand Rex, cycle de films de zombis et séances à l’œil. Pensez tout de même à regarder sous votre siège avant de vous asseoir ! La crème des films de zombis à voir gratis au quai Branly Le Quai Branly organise du 1er au 3 novembre un cycle de cinéma avec six films de zombies (voir notre dossier des meilleurs films d'horreur) parmi les plus emblématiques du genre. Entièrement gratuit (sur résa), ce cycle couvrira toutes les décennies et les méridiens avec Les Morts-vivants de Victor Halperin, le tout premier long-métrage du genre sorti en 1932 ; la classique parmi les classiques Nuit des morts-vivants de George A. Romero ; ou, pour représenter la France, Zombi Child de Bertrand Bonello, sorti en 2019. Et pour celles et ceux qui veulent mêler pleurs de joie et de peur, passez une tête à la projection du loufoque Ne coupez pas de Shin'ichirō Ueda, sorte d’Inception sur un tournage de film de zombies qui tombe sur de vrais zombies, et depuis repris par Michel Hazanavicius. De quoi s’échauffer avant d’aller voir l’expo. Copyright 2015 splendid film GmbH Au Grand Rex, un cycle avec 22 films d’horreur à mater Pour la cuvée 2024 du 31 octobre, la sal

  • Dans nos Assiettes

Le 1er novembre, on honore les humains décédés. Mais saviez-vous qu’on fête aussi les animaux vivants ? En effet, depuis 1994, c’est la date de la Journée mondiale du véganisme ! L’occasion de rappeler les petites différences entre végétarisme et véganisme : les deux excluent la consommation de chair animale (oui, même celle des espèces peu photogéniques et aquatiques comme le merlu ou le bigorneau), mais les végans, plus restrictifs, s’interdisent aussi les produits de l’exploitation animale (lait, miel, œuf pour ne parler que l’alimentation). Impossible de se régaler ? On vous rassure avec cinq plats gourmands (et instagrammables) parfaits pour soigner une gueule de bois post-Halloween ! Le burger des Tontons Veg   © Tontons Veg   Dans leur petite cambuse rose poudré, Amir Taleb et Vincent Peroux de Tontons Veg proposent des burgers veggies à faire flageoler les certitudes d’un viandard. Le Weon enserre seitan frit comme du poulet (à s’y méprendre), fromage frais végétal, plantains frites et sauce cacahuète. Un délice sucré-salé à boulotter avec des panisses bien craquantes qui rappellent la Canebière. Où ? 9 rue de Lancry, Paris 10e. Le kebab d’Impact   © Impact   Réinventer sans viande le plus carnassier des sandwichs, beau défi !  Pour cette version végane, Mahdi Abid, taulier d’Impact Kebap, a bien garni la galette avec du seitan (de la protéine de blé à la texture de poulet) mariné, de la feta végétale joliment aigrelette et un éboulis de légumes grillés sur place

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Au Quai Branly, les zombies sont disséqués dans tous les arts. Dans le sillage de son expo visant à raconter les racines et la postérité de cette figure de la culture vaudoue, et alors qu’un menu spécial haïtien est à la carte du resto, le musée organise du 1er au 3 novembre un cycle de cinéma avec six films de zombies (voir notre dossier des meilleurs films d'horreur) parmi les plus emblématiques du genre. Un cycle gratuit Entièrement gratuit (sur résa), ce cycle couvrira toutes les décennies et les méridiens avec Les Morts-vivants de Victor Halperin, le tout premier long-métrage du genre sorti en 1932 ; la classique parmi les classiques Nuit des morts-vivants de George A. Romero ; ou, pour représenter la France, Zombi Child de Bertrand Bonello, sorti en 2019. Et pour celles et ceux qui veulent mêler pleurs de joie et de peur, passez une tête à la projection du loufoque Ne coupez pas de Shin'ichirō Ueda, sorte d’Inception sur un tournage de film de zombies qui tombe sur de vrais zombies, et depuis repris par Michel Hazanavicius. De quoi s’échauffer avant d’aller voir l’expo. Quand ? du 1er au 3 novembre 2024..Où ? musée du Quai Branly, 37 quai Branly, Paris 7e.Combien ? gratuit (réservation obligatoire ici). Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par musée du quai Branly (@quaibranly)

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Dans la galaxie des cycles d’horreur, le musée Guimet brandit le passeport japonais ! Le 31 octobre, en collab avec le festival de ciné nippon contemporain Kinotayo, l’institution dédiée aux arts asiatiques va célébrer Halloween avec un marathon composé de quatre films japonais. Que des longs-métrages de haute volée De 13h à minuit – avec des pauses, n’ayez crainte –, les spectateurs pourront zieuter des longs-métrages de haute volée avec, en file indienne : Dark Water d’Hideo Nakata, qui raconte l’histoire d’un emménagement dans un immeuble « un peu » humide – et beaucoup angoissant – ; la première française de Six Singing Women de Yoshimasa Ishiashi, autour d’un rapt de deux hommes par un groupe de femmes ; le loufoque Ne coupez pas de Sin’ichirô Ueda, sorte d’Inception sur un tournage de film de zombies qui tombe sur de vrais zombies, et depuis repris par Michel Hazanavicius ; ou le classique Ring de Hideo Nakata, et sa maudite VHS à ne pas visionner sous peine de… Et comme c’est Halloween, les orgas signalent qu’un grand concours de cosplay autour des différents personnages des films projetés sera organisé avec des lots à gagner pour les cinq meilleurs. Quand ? jeudi 31 octobre 2024, 13h-minuit.Où ? musée Guimet, 6 place d’Iéna, Paris 16e.Combien ? 6 € la séance (billetterie ici). Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Kinotayo - Festival du cinéma japonais contemporain (@kinotayo.festival)

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