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© Agathe Poupeney

Séquence danse : une 5e édition réjouissante

Du 14 mars au 9 avril, le Centquatre célèbre la danse contemporaine dans tous ses éclats

Écrit par
Elsa Pereira
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Depuis cinq ans, Séquence Danse bat la cadence au Centquatre. Cinq années de chorégraphies enlevées, de danseurs exaltés et de spectateurs ravis.

Cette année, comme les années précédentes, José-Manuel Gonçalvès invite la danse contemporaine à s'approprier les lieux et les spectateurs à prendre le pouls d'une discipline - sans vouloir faire de mauvais jeu de mot - sans cesse en mouvement. « Non pas un festival, mais un moment particulier au cœur de notre saison pour vous permette d'appréhender les multiples formes que revêt actuellement la danse, art du vivant par excellence », explique le directeur.  

Amala Dior, Anne Teresa De Keersmaeker et Bérénice Béjo 

Pour ce faire, l'équipe du Centquatre a programmé pendant trois semaines une quinzaine de spectacles autour d'une trajectoire commune « l'être ensemble et la communauté ». Une sélection volontairement éclectique où l'on retrouve des musiciens de jazz, des danseurs de hip-hop, des justaucorps flashy, des actrices oscarisées  et un superbe hommage à Stravinksy. 

Pourquoi la musique fait-elle danser ? 

Mais Séquence Danse ne se limite pas aux murs du Centquatre et s'invite ailleurs, hors-les-murs, à Paris et à sa périphérie pour une série d'installations multimédias, une session d'impro ouverte à tous, une pop conférence et des rencontres. 

On vous conseille :

1 heure 23’ 14’’ et 7 centièmes. La durée du spectacle est précise, presque mathématique. La promesse d’une pièce scrupuleusement maîtrisée, d’une mise en scène à la rigueur sportive. C’est d’ailleurs autour de l’effort physique que Jacques Gamblin a imaginé ‘1 heure 23’ 14’’ et 7 centièmes’. 
  • 3 sur 5 étoiles
  • Théâtre
  • Cirque
  • Recommandé
Fiction documentaire ou pièce de cirque acrobatique ? ‘TÙ’ est d’après ses pères – le metteur en scène Olivier Meyrou et l’acrobate Matias Pilet – un peu des deux à la fois. Un spectacle d’une heure cinq né d’une exploration personnelle très intime. 
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Lorsque l'on parle de 'Love supreme' c'est évidemment à Coltrane que l'on pense. Un album mythique enregistré en décembre 1964, qu'Anne Teresa De Keersmaeker s'approprie en 2005 lors d'une collaboration avec le danseur et chorégraphe Salva Sanchis.
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