Le pop-rock indé n’appartient pas qu’aux Anglos-Saxons, Balthazar en est la preuve vivante. Ce groupe belge de jeunes chevelus ne se contente pas de jouer en trio classique guitare-basse-batterie saturé de boucles éprouvées, il intègre un synthé, un violon et des chœurs pour livrer un rock en quintet organique, très cadencé et mélodique. A ne pas rater au Trianon le 16 avril prochain.