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Espace Chapiteaux

  • Théâtre
  • La Villette
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Time Out dit

L’espace Chapiteaux du parc de la Villette, situé près du canal Saint-Denis, programme des compagnies de cirque françaises et étrangères tout au long de l’année. Le lieu met en avant le nouveau cirque, courant né dans les années 1970 qui mélange les genres et privilégie la création d’un spectacle complet avec un lien logique entre les prestations. Parmi les compagnies qui y sont passées, on retrouve le cirque rock Gosh, celui du Docteur Paradi, le Centre national des arts du cirque et le cirque Oz. Les prestations ludiques et souvent drôles sont destinées aux petits et aux grands. L’espace est souvent constitué de deux chapiteaux, l’un abritant un restaurant et un bar et l’autre la scène de spectacle.

Infos

Adresse
Parc de la Villette
19e
Paris
Transport
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Programme

Le Labyrinthe de Tim Burton

  • 3 sur 5 étoiles
  • Installation

A l’Espace Chapiteaux, Mr Jack, Edward et la Reine de cœur se sont donné rendez-vous dans un labyrinthe horrifique de 1 000 mètres carrés qui nous plonge dans l’univers du maître du gothique hollywoodien, Tim Burton. L’annonce de cette “fête foraine fantastique” conçue par le cinéaste en personne nous avait bien emballés. Alors on a été voir ce que ça donnait. On commence face à deux portes, à nous de choisir celle que l’on décide d’ouvrir. Derrière chacune d’entre elles, un monde pioché dans la filmo de Burton, peuplé de dessins du maître, de projections inédites ou de costumes tirés des films portés par des sculptures un peu kitchs à l’effigie des personnages. Le tout au rythme des bandes-son iconiques des films avant de choisir la porte suivante. L’ensemble dessine 300 itinéraires possibles. Malheureusement, comme souvent, cette expérience dite immersive se montre un peu bancale. La scénographie s’inscrit dans un entre-deux inconfortable, too much pour être sérieuse mais trop discrète pour permettre une véritable plongée dans les délires de Tim Burton. Alors que l’on s’attendait à des décors fantastiques XXL – à l’image des films –, ces derniers peinent à marquer les esprits, à l’exception peut-être de la forêt de champignons d’Alice au Pays des merveilles. Côté Charlie et la chocolaterie, un Willy Wonka sans tête trône seul dans une salle crépusculaire, loin des tonalités saturées du film (où sont les Oompa-Loompa ?). Si la noirceur du dédale fonctionne dans les univers p

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