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© Christophe Raynaud de Lage

Villette en Cirques

Du 17 janvier au 17 juin 2017

Écrit par
Elsa Pereira
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Les arts du cirque s'invitent cinq mois à La Villette.

La Villette n’a jamais caché son amour pour les arts du cirque. Chaque année depuis presque toujours, dans la Grande Halle ou sous le chapiteau de l’espace Chapiteaux, on croise des circassiens d’ici et d’ailleurs. Rien d’étonnant donc à ce que l’immense parc du nord parisien organise un événement cirque à part entière. Une sorte de festival étiré dans le temps (cinq mois) où l’on pourra observer la grande diversité des productions du cirque actuel. Magie nouvelle, théâtre d’objets et d’ombres, clown et cirque contemporain.

Pour cette édition 2017 de Villette en Cirques, ce sont sept spectacles qui se partageront l’affiche de janvier à juin. Un récit-performance de Patrick Corillon, un spectacle de cirque contemporain apocalyptique (CNAC), l’histoire d’un prince qui décide de ne jamais tomber amoureux (Teatropersona)… Autant d’histoires et d’esthétiques qui racontent avec poésie et une bonne dose de muscle le monde qui nous entoure. 

Nos coups de cœur :

  • 4 sur 5 étoiles
  • Théâtre
  • Cirque
  • Recommandé
Dans l’imaginaire commun, le spectacle de fin d’études rime souvent avec production bancale et décor en carton. Il est donc temps de changer les idées reçues et de détrousser les clichés en allant de ce pas applaudir la création de la 28e promotion du CNAC (Centre National des Arts du Cirque). Rappelez-vous, l’an dernier, nous étions tombé sous le charme de la 27e troupe qui signait alors avec Alain Reynaud un spectacle (‘Avec vue sur la piste’) joyeux et touchant. 
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé
Debout à l’entrée de son chapiteau, Danny Ronaldo invite les spectateurs à… partir. Oubliez les tonitruants « Approchez ! », ici on vous supplie plutôt de ne pas entrer sous le chapiteau, de ne pas vous asseoir. « Toute ma famille est morte. Le cirque est mort. Partez », marmotte-t-il dans un italien farfelu à peine compréhensible. A l’intérieur, la triste affaire semble évidente. Des tombes et des croix habitent la piste couverte de sciure. Le tout à peine éclairé par des guirlandes électriques. La funambule n’est plus, ni le clown blanc et encore moins le directeur du cirque. 
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