Bâle

En vingt ans d’existence, la Fondation Beyeler est devenue LA référence des musées suisses. Ouvert en 1997 pour devenir l’écrin qui accueillera la collection d’Ernst et Hildy Beyeler, ce magnifique musée a autant conquis par sa pantagruélique offre artistique que son design et son magnifique jardin anglais du Berowergut. Depuis l’arrivée à la direction du Bâlois Sam Keller en 2008, la Fondation Beyeler ne cesse de se développer avec un doublement des collections et des expositions restées dans les annales comme celle sur Gauguin en 2015. Avec les travaux d’agrandissements qui viennent d’être confiés à l’architecte Peter Zumthor, nul doute que la Fondation Beyeler deviendra l’un des centres névralgiques du circuit artistique mondial.

A Bâle, les buvettes des bords du Rhin sont des institutions. En été, elles sont prises d’assaut, prenant l’allure de lieu idéal pour chiller. Pour les plus sportifs d’entre vous qui se seront aventurés vers le viaduc Dreirosenbrücke, on vous conseille la Dreirosen Buvette. Pour une bonne glace, c’est à la Rhyschänzli Buvette qu’il faudra aller pour notamment goûter la glace caïpirinha. Pour manger des bons petits plats, on vous conseille chez Flora et chez Saint Louis pour déguster des fruits de mer de qualité. Mais notre chouchou est assurément l’Oetlinger Buvette où l’on peut profiter d’un barbecue en libre-service. Le spot parfait pour profiter d’un apéro entre amis !

Bâle, c’est aussi la ville idéale pour flâner. La plupart des rues du centre de la ville sont piétonnes, vous pouvez ainsi vous réveiller avec les douces odeurs du marché. L’après-midi, rendez-vous sur la florissante Andreasplatz, pavée de galets, où la terrasse du café (le zum Roten Engel) invite la jeunesse à chiller au soleil. Empruntez ensuite la rue commerçante Spalenberg où se dresse la jolie façade d’une ancienne boutique de denrées coloniales, reconvertie aujourd’hui en maroquinerie. Plus haut, dans les hauteurs, de sublimes maisons dressées sur pierre, des architectures contemporaines ainsi que des demeures bourgeoises s’intègrent parfaitement au paysage urbain, offrant une bonne dose d’histoire aux badauds.

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