Lorette et Jasmin
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16e arrondissement : les boutiques

Quand on aime, on ne compte pas !

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  • 16e arrondissement
  • prix 2 sur 4
  • 5 sur 5 étoiles
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Hugo Desnoyer est depuis des années le boucher star et le boucher des stars. Mais la vraie vedette, c’est sa viande. Le bonhomme connaît intimement ses éleveurs (et même le nom des bêtes). Après l’ouverture en 2009 de la célèbre boucherie rue Boulard (14e) qui fit son succès, de kebabs gourmets (Grillé à Paris et la Défense), il lance en 2014 une boucherie/restaurant dans le 16e avec une idée novatrice : une grande table d’hôtes en forme de billot placée au cœur de la boucherie face aux plans de travail, à réserver ou privatiser. Et l’été, la terrasse devient le lieu animé du quartier où se croisent voisins et têtes connues. C’est surtout le rendez-vous des viandards amoureux de la qualité et du respect des bêtes ! Avant de déguster, on choisit d'abord son morceau sur l'étal : parmi les incontournables, la bavette, l’onglet de limousine pur cru et le carpaccio de veau de lait de Corrèze. Vous trouvez également du filet de bœuf (64,90 €/kg), de l’entrecôte (63,85 €/kg), de la côte de bœuf (58,85 €/kg)… A glisser également dans le cabas ? D'excellents ris (69,80 €/kg) et foie de veau (49,50 €/kg), ou une belle tranche de gigot d’agneau de Lozère (42,60 €/kg). Les viandes sont rassises pendant deux à trois semaines (on dit maturées pour plus de quinze jours). Et pour accompagner cette barbaque d’exception ? Des quilles bien castées, comme ce saint-amour de Frédéric Cossard !
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Tenue par la maison d’édition Cahiers d’Art et le libraire Walther König, la librairie du Palais de Tokyo est une référence dans le domaine des imprimés d’art. Constamment peuplée de touristes, on y trouve aussi des Parisiens à la recherche du dernier numéro de leur magazine de mode préféré. On en profite donc pour jeter un coup d'œil à la sélection, après avoir fait un tour à l'exposition contemporaine proposée par le Palais. Sur les 450 mètres carrés du lieu, on y retrouve les grandes références telles que Vogue et i-D pour la mode, tout comme Monocle et le Journal des arts pour le domaine de l'art contemporain, mais également des magazines réputés pour leur approche avant-gardiste comme Purple, Please, Sleek ou bien Edwarda. Et on n'hésite pas à acheter quelques cartes postales et DVD d'artistes souvent liés aux sujets d'exposition et à découvrir des livres de photographie, d'architecture et de design. On y achète quoi ? La première monographie de la peintre Claire Tabouret, une affiche de Marcel Duchamp en série limitée et, bien sûr, le catalogue d’une des expos en cours. 
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  • 16e arrondissement
  • prix 3 sur 4
Au bal masqué
Au bal masqué
Au Bal Masqué, vous ne trouverez pas de déguisements, mais bien des costumes ! Cela fait dix ans que ces passionnés d’histoire, de tissus, dentelles et de jeux de rôle ont pris place dans un passage commerçant aux allures rétro. Le personnel conseille les clients avec tact, pour leurs soirées à thème ou leurs bals costumés. Sitôt franchi le seuil de la porte, les XVIIe et XVIIIe siècles ne sont plus si loin. Compter tout de même 25 euros la location d’une chemise d’époque et 350 euros pour une robe en crinoline, nettoyage compris. Les masques vénitiens ornent fièrement cette boutique à l’aura d’un petit musée. Les masques simples ou voluptueusement plumés sont fabriqués en Italie. Les années 1970 ont aussi du succès, et le Bal Masqué propose de très beaux exemplaires évasés aux motifs psychédéliques. Pour compléter une parure, il est également possible d’acheter quelques accessoires « industriels mais de qualité », notamment des masques et perruques pour environ 15 euros.
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  • 16e arrondissement
  • prix 2 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
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Un rêve gourmand devenu réalité. Le pâtissier Philippe Conticini, inventeur des verrines (chez Peltier, au début des années 2000) et auteur d’un livre sur le Nutella, ne cesse pas d’étonner son public dans sa pâtisserie de Saint-Germain ou plus récemment dans sa boutique-salon de thé dans le 16e. Dans un décor délicieusement contemporain, fait de dômes en verre suspendus, il réinterprète les bases de la pâtisserie française, en y ajoutant sa touche personnelle. Le Saint-Honoré devient alors rectangulaire pour que l'on puisse le couper en tranches, le Paris-Brest cache du praliné pur et coulant à l’intérieur de sa crème et le mille-feuille du dimanche se gorge de vanille. Chaque mois, il met en valeur des fruits de saison dans une tarte et un fruitier, une « libre interprétation » du fraisier. De quoi s'accorder un péché mignon en toute impunité...
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  • Créateurs
  • 16e arrondissement
  • prix 2 sur 4
Lorette et Jasmin
Lorette et Jasmin
Déjà cinq ans que Laurence (alias Laurette) a repris Passy Puces. Cinq ans pendant lesquelles elle a changé la déco, le nom et ajouté son grain de sable. Un parti pris beaucoup moins fourre-tout que la précédente propriétaire, mais tout aussi familial. « Je suis toujours très touchée de la fidélité des clientes » avoue-t-elle en plissant du doigt des drapés. Sur ces cintres, le vintage côtoie la haute couture, le prêt-à-porter se mélange au luxe. « J’essaye de coller avec la demande. J’ai, par exemple, toute une clientèle fan de la collection Pleats Please d’Issey Miyake. Pour elle, je garde toujours quelques pièces triées dans un coin… » Une sélection un brin « madame » (tailleur Chanel, chaussures Vivier) mais dans laquelle l’on n’est jamais à l’abri d’une surprise : un chemisier à pois en soie à 70 euros ou une paire de Repetto ? Reste à faire ce « petit » détour dans le 16e. • Le petit plus : la location de sacs griffés.  
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  • Chocolateries et confiseries
  • 16e arrondissement
  • prix 3 sur 4
A la mère de famille
A la mère de famille
Cette chocolaterie, la plus ancienne de Paris, fait le bonheur des gourmands depuis 1761. Jadis fondée dans un Montmartre encore très champêtre, la marque n’a rien perdu de son esprit de famille. Une recette simple à ce succès : un service agréable et de qualité, des produits aussi bons que beaux, et un packaging distingué et rétro propice à des idées cadeaux ; le tout étant, autant le dire dès maintenant, plus qu’appétissant. Rochers, mendiants ou macarons, vous pourrez profiter de divers assortiments (de 26 euros les 300 g à 80 euros le kilo) composés selon votre penchant - plus ou moins noir, lait ou praliné. Pour varier les plaisirs, caramels ou pâtes de fruits colorées font honneur à la tradition. A découvrir, les délicieux toucans (du praliné, des noisettes et de la nougatine, feuilletés et savamment enrobés de poudre de cacao). Les palets secs ou fourrés à la ganache sont, quant à eux, proposés légèrement parfumés au cacao, moka ou à l’orange. Reconnue pour la qualité de son praliné, A la mère de famille agrémente ses petites perles de douceur, de caramel, de citron ou encore de framboise. Vous trouverez aussi pour 5 euros, des tablettes de chocolat aux divers degrés d’amertume (pour un plaisir simple), aux noisettes ou aux noix. Pour ceux qui chercheraient un substitut tout aussi addictif mais plus fin et plus sain que les fatals pots de pâte à tartiner Nutella, les boutiques d’A la mère de famille proposent la huitième merveille du monde à 11 euros, le pot de 500...
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