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Depuis une dizaine d’années, les brigades des palaces alimentent le meilleur du sucré parisien. Dans le sillage de Cédric Grolet au Meurice ou tout récemment de Maxime Frédéric du Cheval Blanc, Benjamin Roc, passé ce même palace (et le George V), nidifie à son tour. Avec la maîtresse d’hôtel Clémentine Rapp, ils ont ouvert en duo une boulangerie de charme dans une boutique XIXe classée, fresque rétro au plafond incluse, au cœur du 15e.
Vu le pedigree du chef, on se tourne illico vers le sucré. Une gamme simple, plutôt traditionnelle, mais exécutée avec beaucoup de maîtrise, de la tarte au citron au paris-brest, parfaitement orgasmique sans être ni trop gras ni trop sucré – il reste même excellent le lendemain, c’est rare pour un chou. Ne passez pas à côté du gâteau neige – un classique du goûter au George V et au Cheval Blanc –, sorte de gâteau de Savoie aussi simple que roublard, dangereusement addictif. Les viennoiseries ont de la gueule aussi, comme ce roulé à la cannelle truffé de cubes de pain d'épices.
Côté pains, là encore, pas trop d’extravagance mais du beau boulot au levain naturel. Le petit épeautre est dense et humide comme espéré et la meule aux céréales joliment croûtée. Une aubaine pour le 15e, qui pioche là une excellente boulangerie-pâtisserie.
Chez Time Out, tous les établissements sont testés anonymement par nos journalistes, en payant l'addition à chaque fois, comme n'importe quel client !
Les amoureux du kaki auront certainement déjà cette adresse dans leurs petits papiers. Installé depuis toujours derrière la gare Montparnasse, le surplus Doursoux ne jure que par la parka et la ranger qui fait mal. Ambiance régiment d’infanterie garantie.
Si cette boutique n’est pas un bon plan à proprement parler (les prix y sont plutôt onéreux), elle est assurément l’adresse parfaite pour quiconque cherche à mettre la main sur du matériel de qualité, une veste paramilitaire qui résisterait à Katrina, une marinière qui ne bouloche pas au second lavage, des godillots tout terrain et même des masques à gaz. Treillis, sac à dos de randonnée et blouson en cuir côtoient ainsi de véritables objets de collection pour les nostalgiques du service militaire (oui, ils existent) : insignes soviétiques, boussoles et calots de la Seconde Guerre entre autres. Un dédale de sahariennes britanniques (89 €), de parkas en gore tex (230 €) et de pulls en laine vierge (75 €) rangés très étroitement et qui font le trésor de Doursoux.
Si vous cherchez quelque chose en particulier, demandez plutôt de l’aide à l’entrée, l’organisation de la boutique peut sembler bien hostile aux nouveaux arrivants. Les autres verront dans ce lieu atypique une sorte de petit musée militaire. A ce propos, visez donc le scaphandrier en cuivre au fond du magasin.
Passer le seuil de Kioya, c’est comme franchir une frontière imaginaire entre l’effervescence parisienne et la quiétude japonaise. Oubliés le bruit, la pollution, les soucis. Ici, tout n’est que calme, douceur et tranquillité. Entre les sobres murs blancs, les grandes baies vitrées, les portants en bambou et bois sombre, le bruit de la fontaine shishi-odoshi et le parfum d’encens envoûtant (mais non entêtant) qui flotte dans l’air, il règne une atmosphère de bien-être et de sérénité qui peut nous retenir des heures. Tout comme la gentillesse de Yasuko – qui signifie « fille paisible », ça ne s’invente pas. Derrière la caisse, au-dessus de laquelle est tracé le cercle Enso – symbole zen de l’absolu –, celle-ci nous accueille avec un sourire capable de réchauffer trois mois d’hiver.
Un peu d’Asie véritable en plein Paris
Ouverte il y a seulement deux ans au bout de la rue Dombasle, dans le 15e, cette boutique d’articles japonais allie, à l'image de l'esprit nippon, modernité et tradition. Et les articles en vente ne sont certainement pas des contrefaçons ! Quatre-vingt-dix pour cent des produits sont importés du Japon et ciblent principalement l'art de la maison. Ainsi, entre d'authentiques vases ikebana et leurs versions plus design (où reposent, lascives, de superbes roses que Yasuko change toutes les semaines), des articles textiles en soie cousus main et des bols à soupe miso affublés d’un chaton kawaï ; mais aussi des bols à thé en céramique de l'artiste...
La devanture en effraierait plus d'un... Ce jaune poussin délavé, cette enseigne coiffée d’un néon de l’après-guerre. Si l’on vient à ‘Mi-prix, ce n’est assurément pas pour la déco, mais bien pour se fournir en grolles de marques sans se mettre la Banque de France à dos. Fermez les yeux et imaginez-vous fouler le bitume avec ces fameuses semelles écarlates. Escarpins Prada, compensées Dolce Gabbana, nu-pieds Paul & Joe... C’est presque Rodeo Drive à Porte de Versailles.
Une adresse de la rive gauche bien connue des modeuses parisiennes et pour cause, on y trouve de très belles pièces moyennant 50 € à 200 €. Et si vous ne voulez pas vous déplacer pour rien, n’hésitez pas à leur passer un coup de fil pour vous tenir informé des arrivages. Un bon plan qui ne laisse pas les hommes au bord de l’autoroute : tout le monde peut trouver son bonheur dans cet antre de la dégrif’ où les pompes (à fric) sont achalandées dans un rudiment digne d’un bazar bon marché. Ne soyez pas pressés, les plus attentifs dégoteront à coup sûr les meilleures affaires.
C’est vrai qu’il y a de quoi perdre la boule chez Ding Fring quand on voit le prix des nippes. Ce réseau de boutiques solidaires créé par l’association Le Relais, qui milite pour la réinsertion par le travail et se spécialise dans la valorisation textile, affiche des tarifs incroyablement bas.
Partenaires d’Emmaüs France, ils collectent des dons de vêtements, accessoires, linges de maison et autres, afin qu’ils soient triés : les plus belles pièces partent dans les magasins Ding Fring, le reste est recyclé. Un concept d’entreprise modèle, avec une démarche sociale et écologique intelligente dont les clients profitent. Côté prix on démarre à 6,50 € pour les vêtements, les jeans Levi’s sont vendus à 16 € et les blousons en cuir à 35 €. Les rayons changent en fonction des arrivages, la pioche sera donc à chaque fois différente. A vous d’avoir le bon coup d’œil pour repérer ce qui ferait mouche dans votre garde-robe : un sac rétro en croco à peine élimé, une jolie robe délicieusement anachronique, ou bien le chapeau de feutre ringard dans le bon sens du terme qui n’attendait que vous.
Autre adresse : 340 rue des Pyrénées, 20e
Illuminée comme le château de Versailles, la Maison du Vitrail attire obligatoirement les passants à elle, tels des papillons de nuit sur une lampe. Et, ils ont bien raison de se laisser brûler les ailes à sa chaleureuse lueur. Car, en pénétrant dans cette boutique atypique, on se dit que l'intérieur vaut mille fois sa vitrine, pourtant joliment arrangée.
Les plafonds hauts sont embellis de lustres finement ouvragés et les murs blancs ornés d'horloges sculptées dans de véritables vinyles Polydor. Les étagères abondent de vaisselle enluminée, de tasses peintes façon Klimt ou Mucha, de presse-papier en verre sulfure à 20 € et de bibelots hétéroclites. Au milieu des lampes art déco chamarrées, étiquetées 700 € pièce, des carnets de notes aux couvertures amusantes ou élégamment illustrées, allant de 5 à 20 €, et des stylos fantaisie incrustés de pétales dorés, n'excédant pas la dizaine d'euros, se glissent quelques bijoux précieux, des chandeliers étincelants et même des cannes à pommeau d'argent miroitant. Il y a tant de pépites à dénicher que vous ne repartirez forcément pas les mains vides ! Et c'est ce fourmillant tourbillon, harmonieusement classé par teintes (rouge blanc et acier à l'entrée, bleu sur le côté, orangé au fond...), qui rend cette boutique-atelier tout bonnement magique. Et ce depuis quarante ans.
Vendre son savoir-faire, mais aussi le transmettre
Boutique-atelier ? Oui, vous avez bien lu. A l'arrière du magasin besogne en effet une petite troupe d'habiles...
Il est des boutiques qui, sans qu’on n'en ait franchi le seuil ni poser un pied dedans, nous plaisent déjà. Est-ce la devanture bleu marine tout illuminée d’une lueur orangée ? Est-ce le sourire chaleureux du gérant qui ne se force pas pour être avenant ? Ou simplement le foisonnement d’objets design et colorés, pour autant parfaitement rangés et harmonieusement arrangés, dont on parvient à avoir un aperçu de l’extérieur ? Après réflexion, c’est un peu tout cela à la fois.
Ouvert il y a seulement trois mois au numéro 20 de la rue Desnouettes – artère tranquille du 15e arrondissement qui abrite également le restaurant Afaria –, le nouveau repaire des férus de décoration d’intérieur originale (et abordable !) s’appelle Le monde en Seine. On y rentre comme on le ferait chez des amis, sans timidité ni chichis tant la gentillesse de Florent met immédiatement à l’aise. Sa bonne humeur envahit le lieu tel le parfum d’ambiance des bougies qui emplissent ses étagères. Car, et c’est là leur atout, Florent et sa femme ont monté cette affaire alors qu’ils sont issus d’univers qui n'ont pas grand-chose à voir avec le commerce – le domaine informatique pour l’un, le monde de la presse et du graphisme pour l’autre. Plus bienveillant qu'obnubilé par les bénéfices, le couple a donc fait du client sa priorité, n’hésitant pas à ouvrir du lundi au dimanche et jusqu’à 20h en semaine pour ceux qui travaillent. De même, lorsqu’on vient chercher un cadeau, Florent demande d’abord notre budget...
Pour qui ? Ceux qui ont envie de cuisiner libanais... Et les autres, les flemmards des fourneaux rêvant de bons mezzé !Plat culte ? Les poivrons farcis au fromage, les chaussons aux épinards fatayer
Une épicerie familiale aux allures de supermarché, très prisée de la communauté libanaise de Paris, avec un vaste choix de fruits secs et d’épices, d’olives en self-service... Le rayon fruits et légumes frais du Liban est réapprovisionné chaque semaine. Les locavores hurleront : en toutes saisons, on y trouve blettes, concombres ou chicorée, ornés de petits drapeaux à l’effigie du cèdre du Liban.
Pour les flemmards des fourneaux, le coin traiteur est là. Tout y est : poivrons farcis au fromage (attention, ça arrache !), taboulé au persil, hommos bien sûr, galettes manouché au thym ou au fromage, chaussons aux épinards fatayer... Sans oublier les fameuses boulettes de viande kebbe à base de boulgour et de pignons. Pour la touche sucrée, on retrouve bien sûr les traditionnelles pâtisseries feuilletées : les célèbres baklavas au miel, pignon et à la pistache, ou encore les namouras à base de semoule, d’amandes et d’eau de rose (15 € le kilo). Bref, de quoi faire la razzia !
Dans le 15e, c’est au Divan qu’on s’affale pour dégoter des bouquins ! Installée rue de la Convention depuis 1996, polishée en 2016, cette librairie placée sous le haut patronage de Gallimard se déploie sur un immense plateau de 440 mètres carrés. Dans le quartier, toutes les générations y sont passées au moins une fois, du lycéen venant chercher un dictionnaire de langue au lecteur plus âgé qui va s'acheter le dernier livre des confidences du président après avoir rempli son panier au marché (qui sommes-nous pour juger ?).
Il faut dire que le fonds de plus de 60 000 volumes est pléthorique avec les nouveautés, les classiques (Giono, Beckett, Orwell, Sarraute…), mais aussi des mangas, des recueils de poésie et de magnifiques livres d'art allant de l'atlas historique du monde biblique aux ouvrages d'expos actuelles telles que Magritte. On apprécie les conseils accrochés avec des trombones aux livres et les bons plans des librairies dispensés de vive voix : on a un jour été mis sur la piste du livre Travaux de l’écrivain prolétarien George Navel et on lui dit encore merci.
Et puis on est bien au Divan, entre son espace papeterie pour les cadeaux, ses banquettes pour bouquiner, son baby-foot (!) et ses nombreuses tables rondes, séances de dédicaces et conférences avec des écrivains organisées autour du petit îlot central, réplique d’un salon avec… divan ! Dernière confession : un espace dédié à la jeunesse se trouve de l’autre côté de la rue.
Voilà enfin une adresse où votre poussette ne sera pas accueillie par des soupirs. Boutique-café vivante et colorée nichée dans le 15e, Mombini, l’antre de Dac et Elisa, est une véritable oasis de bonne humeur. Une petite pépite à découvrir d’urgence, que vous soyez papa, maman, enceinte ou loin de l’être.
170 m2 pour petits et grands
« Après notre tour du monde, Elisa et moi avions besoin de nous lancer dans une nouvelle aventure, raconte Dac. Jeunes parents, on s’est vite rendu compte que ce n’était pas facile de sortir à Paris lorsqu’on a des enfants. Surtout pour ceux qui en avaient l’habitude avant. Très vite, on a rêvé d’un endroit à la fois convivial et ludique. Un lieu de rencontre et un espace où les enfants pourraient développer leur confiance en eux. » Mombini, contraction de « moms » et de « bambinis » était né.
C’est dans un bel espace de 170 m2 que la magie opère. Un rez-de-chaussée où l’on peut à la fois dégoter un mobile en forme de nuage et croquer un carrot cake, et un étage lumineux pour apprendre le portage en écharpe (35 € la séance de deux heures), le massage pour bébé ou encore le yoga (22 € pour une heure et demie). « C’était important pour nous d’accompagner les mamans, de leur offrir un lieu de vie où elles peuvent partager leurs expériences. » Qu’il s’agisse d’éveil corporel, de cours d’anglais ou de communication par les signes, les ateliers proposés sont tous élaborés par des experts dans leur domaine.
Trois en un
Côté boutique, Elisa et Dac...
Un e-mail que vous allez vraiment aimer
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