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1er arrondissement : les boutiques
Des Tuileries aux Halles : toutes nos adresses pour déplumer votre banquier.
Les meilleurs disquaires indépendants de Paris
Non et non, il n'y a pas que la Fnac ou l'iTunes Store pour acheter de la musique ! On peut aussi visiter l'un des nombreux disquaires parisiens, tenus par des êtres tout ce qu'il y a de plus réels, équipés le plus souvent de deux bras, deux jambes et d'une tête, et tout à fait disposés à vous conseiller ; ce qui tombe plutôt bien puisqu'en général ils aiment ça, la musique. Oui Paris ne manque pas de boutiques de disques, malgré les fermetures en série ces dernières années, dans le 9e (Planet Rock), le 18e (Planet Music) ou le très sinistré 5e arrondissement (les cinq Jussieu Music, Dysphorie). Et si dans les années 1990, la grande distribution avait déjà englouti une bonne partie du secteur, les grandes enseignes sont aujourd'hui elles-mêmes menacées par la vente en ligne. Quid de la situation des indépendants ? Disons qu'elle est comparable à celle des libraires, qui affrontent depuis 20 ans la chute des ventes... A ceci près que les disquaires, eux, n'ont jamais profité d'une TVA réduite ou d'un prix unique. Pas de quoi décourager les toqués du microsillon ! Souffle Continu, Music Fear Satan, Bigwax Records, Walrus et bien d'autres... On ne compte plus les ouvertures de très bonnes crèmeries ces dernières années. De quoi troquer cuivre et papier-monnaie contre plastique et vinyle. A vos marques, prêts, diggez ! En quête de bons plans ? Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir une fois par semaine le meilleur de Paris.
Nous
Après avoir fait le deuil de feu Colette, une nouvelle enseigne brancho-modeuse reprend le flambeau de la hype dans le 1er arrondissement. À l'origine ? Deux ex-employés de l'enseigne qui, plutôt que de passer par la case Pôle Emploi, poussent à fond le curseur du concept store, quitte à singer son illustre ancêtre. Moins foutraque et plus masculin, dans une déco minimaliste à souhait (murs bruts, rampes lumineuses et vitrine arty qui change tous les mois), la boutique balance les mêmes sacro-saints fashionisants : de la street culture (sneakers, t-shirts et muret en graffiti Lego…), techno pointue (le smartphone chinois OnePlus 5T Sandstone vendu en exclu) et de l’horlogerie à cinq chiffres (Rolex pimpées par Mad à 55 000 €) qui donne envie de paraphraser Booba : « J’ai le prix d’une Clio sur le poignet. » Ne crachons pas dans la soupe ! Si lesdits produits sont chers, on se laisserait bien tenter par quelques articles de niche. On pense au toujours très cool magazine Antidote ou à ce skate estampillé Araki, photographe génial du shibari. 3 500 € tout de même. Et oui, la hype a un prix.