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9e arrondissement : les boutiques
Du shopping pour toutes les bourses
Les meilleurs disquaires indépendants de Paris
Non et non, il n'y a pas que la Fnac ou l'iTunes Store pour acheter de la musique ! On peut aussi visiter l'un des nombreux disquaires parisiens, tenus par des êtres tout ce qu'il y a de plus réels, équipés le plus souvent de deux bras, deux jambes et d'une tête, et tout à fait disposés à vous conseiller ; ce qui tombe plutôt bien puisqu'en général ils aiment ça, la musique. Oui Paris ne manque pas de boutiques de disques, malgré les fermetures en série ces dernières années, dans le 9e (Planet Rock), le 18e (Planet Music) ou le très sinistré 5e arrondissement (les cinq Jussieu Music, Dysphorie). Et si dans les années 1990, la grande distribution avait déjà englouti une bonne partie du secteur, les grandes enseignes sont aujourd'hui elles-mêmes menacées par la vente en ligne. Quid de la situation des indépendants ? Disons qu'elle est comparable à celle des libraires, qui affrontent depuis 20 ans la chute des ventes... A ceci près que les disquaires, eux, n'ont jamais profité d'une TVA réduite ou d'un prix unique. Pas de quoi décourager les toqués du microsillon ! Souffle Continu, Music Fear Satan, Bigwax Records, Walrus et bien d'autres... On ne compte plus les ouvertures de très bonnes crèmeries ces dernières années. De quoi troquer cuivre et papier-monnaie contre plastique et vinyle. A vos marques, prêts, diggez ! En quête de bons plans ? Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir une fois par semaine le meilleur de Paris.
Monbleu
Pour qui ? Les mordus de fromage, en quête d'un spot sympa où traîner du matin au soir Plat culte ? Le chèvre fumé à la baie de genièvre Damien Richardot, ex-ingé muté en serial restaurateur (Chez Vous, Le Métropolitain, Café Pinson) est allé chercher dans ses montagnes hautes-savoyardes le jovial et talentueux Pierre Gay, MOF fromager 2001. Résultat, une fromagerie-resto-lieu de vie de 300 m2, bien ancrée dans son époque : chaises en cuir, bois clair, beaux bouquets de fleurs séchés de Miyoko Yasumoto (Une Maison dans les Arbres). Au rez-de-chaussée, pas moins d’une centaine de références de saison (spécialité sur les Pays de Savoie et le Jura), à dévorer sur place ou emporter. Chèvre fumé à la baie de genièvre, comté 36 mois exceptionnel, ou trop bonne tomme fermière des Aravis... Miam. Et puis ces 80 références de vins naturel / bio / en biodynamie (à prix caviste). Ce jour-là, le chef Franck envoie un feuilleté au Bleu de Laqueuille (14 €) suivi d’un porn cheeseburger au morbier, assorti de pommes grenaille et saladette (17 €). Petit bémol au dessert sur le moelleux au choco et copeaux de vieux gouda, lourdingue (7 €). Pouce en l’air pour le galopin offert au comptoir chaque midi (ce jour-là, une Pills tchèque à la pression), la formule déj à 16,50 €, et ce Happy Kids Hour (de 16 à 18h, en semaine) offrant aux bambins des mamans venues boire un thé une tartine fourrée de chocolat. Brunch dominical avec toujours autant de bons fromages fermiers, plein d'options salées et s
La rue Clauzel, Q.G. des dépôts-vente ?
Plus besoin de quadriller la ville pour rhabiller les petits derniers et redonner quelques couleurs à votre penderie. Il suffit de s'envoler vers Saint-Georges dans le 9e et d'emprunter la rue Clauzel à deux pas de la rue des Martyrs. Dans cette petite rue, trois dépôts-vente ont élu domicile, un pour (presque) chaque membre de la famille.