Las Vegas caracole en tête avec ses clubs démesurés, ses bars planqués et ses raves géantes dans le désert, tandis que Madrid confirme son statut de capitale européenne de la fête, entre soirées queer, bars secrets et clubs cultes. Plus loin, Shanghai, Berlin, Melbourne ou Mexico City dessinent les contours d’une nuit plurielle, vivante, locale, où l’on sort autant pour danser que pour flâner, écouter, manger, ou simplement vivre.
Un nouvel âge d’or de la nuit parisienne s’éveille ! Des collectifs queer à suivre comme la Créole, Divin0 ou le Bunker parsèment la ville de joyeuses fêtes inclusives et intersectionnelles où résonnent dancehall, perreo et afro, montrant que la techno n’a plus le monopole sur les dancefloors. Pour les accros aux BPM, d'exceptionnels clubs en dur ont éclos cette année, entre la petite salle pointue comme Essaim et l’immense temple industriel qu’est le Mia Mao. Le quart nord-est de la ville peut même s’enorgueillir d’offrir, de la Station au Nexus, en passant par le Gore ou le Glazart, la plus grande concentration de clubs d’Europe pour des fêtes non-stop de 48 h. Vous n’êtes pas couchés ! Résultat : Paris décroche la troisième place dans notre classement des meilleures villes du monde pour la vie nocturne en 2025.