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14e arrondissement : les boutiques

Du shopping pour se vider les poches dans le 14e

Écrit par
La Rédaction
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  • 5 sur 5 étoiles
  • Shopping
  • Epicerie fine
  • Denfert-Rochereau
  • prix 2 sur 4
  • Recommandé
D’en face, certes, mais de quoi ? Eh bien de la cave Sophie Germain, la première boutique d’Haris Mebtoul, Jessica Morin et Barthélémy Gibault. Le trio a traversé la rue début 2023 pour lancer cette mini-épicerie à cassons (à la place d’une retoucherie), ouverte sur le dehors. Au programme, rien que des produits artisanaux qui patientent sur les étagères ou dans les vitrines réfrigérées. Les charcuteries voyagent entre le terroir français (jambon Prince de Paris ou terrine de campagne) et italien (bresaola, dément roulé de porc à la pistache…). Les fromages suivent le même chemin : saint-marcellin, comté 24 mois ou mont d’or de ce côté des Alpes ; pecorino, parmesan ou gorgonzola de l’autre. En produits plus transformés, on trouve des pizzas surgelées de chez Louie Louie, des baos parisiens signés Mum ou du pesto Papillon. Bref, de quoi capturer le nécessaire pour faire un repas ! A noter que les tauliers préparent aussi des sandwichs pour lesquels tout le quartier fait la queue le midi : classique jambon-beurre et cornichons, avec de la raclette fondante pour les grands froids ou en végé avec chakchouka et chèvre. Le bon plan du 14e ! Chez Time Out, tous les établissements sont testés anonymement par nos journalistes, en payant l'addition à chaque fois, comme n'importe quel client !  
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Super Marché
  • 5 sur 5 étoiles
  • Shopping
  • Créateurs
  • Montparnasse
  • prix 2 sur 4
  • Recommandé
Elle est minuscule, la boutique Super Marché. Quand on y met les pieds après avoir déambulé dans les couloirs réhabilités des Grands Voisins, le charme opère direct. À l’architecture décatie répondent des portants de vêtements qu’on aurait envie de voler tellement qu’ils sont beaux. Bienvenue dans le mini-monde de Monia Sbouaï, la demoiselle à la dégaine et la gouaille 100 % BFF. Elle a créé Super Marché avec l’envie d’inventer sa propre activité. Ses trucs à elle, ce sont le travail social et la mode, deux notions qui, collées ensemble, pourraient prêter à loler si « Monia les doigts de fée » n’avait pas eu l’idée de travailler avec un atelier de réinsertion professionnelle du 93. Ancienne styliste pour de grandes marques qu’on ne citera pas, elle a décidé de créer ses propres collections à partir de vêtements de seconde main voués à pourrir les océans. Chemises, t-shirts, pantalons, jeans… Une fois sélectionnés (les plus neutres possible) et démontés par ses soins, Monia les envoie à l’association Mode Estime à Saint-Denis, dessine des modèles finis à l’appui, pour qu’ils soient montés par des hommes et des femmes en réinsertion sociale. Résultat ? Des pièces upcyclées floquées du logo Super Marché aussi minimalistes qu’éthiques, aussi uniques que pointues, aussi intemporelles qu’unisexes. Vestes, combis, trenchs, chemises, jupes, robes, bananes… On reconnaît toujours une pièce Super Marché à son patchwork cool, ses détails couture, ses couleurs neutres et son allure « work
Tout s'arrange
  • Shopping
  • Montparnasse
  • prix 2 sur 4
« Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort » aurait dit Nietzsche. Une phrase qui n’est pas étrangère à Nathalie, joyeuse propriétaire de la boutique-atelier Tout s’arrange. C’est après plusieurs accidents graves et un licenciement que la jeune femme a décidé de changer son quotidien, et de regarder la vie du bon côté. « Je m’étais fabriqué un petit bracelet avec écrit dessus "tout s’arrange", un objet chéri que je portais au poignet quand j’ai visité l’usine qui avait produit le fer à repasser qui m’a un jour électrocutée, raconte-t-elle avec le sourire. C’est là-bas, dans ce lieu magnifique, que j’ai décidé d’ouvrir ma boutique de bricolage. » D’abord installée rue Vavin, Tout s’arrange déménage en 2013 rue Delambre, pile devant une école primaire. A la sortie des cours, les petits viennent donc coller leur nez devant la vitrine rigolote. On y croise surtout des objets faits maison : des automates, des mobiles, des personnages en cacahuètes, des bijoux, des lunettes loufoques… « Les clients viennent avec des idées, des photos, ou carrément du matériel, et je crée les objets à la demande et parfois à l’effigie de leur cousin, enfant ou petit copine. » Un bric-à-brac chatoyant dans lequel elle vend également des jouets : des micro-dinettes (18 €), des petites voitures, un train domino, et des horloges murales humoristiques (28 €), en plus d'objets qu’elle répare. Mais le petit plus de la boutique, c’est assurément les ateliers que Nathalie, architecte de formation, pro
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  • Shopping
  • Montparnasse
  • prix 2 sur 4
Voilà près de trente-cinq ans que les Cousins d’Alice font lire les bambins. Trente-cinq ans que leur devanture colorée hantée par Alice (aux pays des merveilles) attire l’œil des petits curieux. Mi-magasin de jouets, mi-librairie jeunesse, cette boutique installée à l’angle de la rue Daguerre sauvera plus d’un parent de la torpeur. Et pour cause, ses étagères sont remplies de trouvailles : fusée écologique et patate horloge à fabriquer, cordes à sauter rose bonbon (9,40 €), dragons Papo à noyer dans le bain et costumes de pirates (40 €) pour les goûters déguisés. Vous voilà parés.Côté livres, l’affaire est classée par thème et par âge. D’ailleurs, on vous conseille vivement les rayons « Lutins » et « Contes et merveilles », tous deux très bien fournis. Et comme toute librairie digne de ce nom, elle organise de temps à autre de rituelles séances de dédicace.
Le Repaire des filles
  • Shopping
  • Fripes et vintage
  • Montparnasse
  • prix 2 sur 4
C’est une petite boutique tout en longueur dans l’une des rues les plus commerçantes du quartier. Un dépôt-vente qui sent les bonnes affaires et le délicat parfum de sa propriétaire. Sur les cintres serrés les uns contre les autres, on y croise des jupes en soie à 29 euros, des vestes de tailleur carmin, ou encore des pulls à rayures… Des couleurs et des formes féminines, car ici, pas question de vous habiller comme un garçon et en noir de la tête aux pieds ! Des vêtements désuets au premier coup d’œil mais qui peuvent s’avérer surprenant sur un jean, nous confie avec douceur la maîtresse des lieux. « Je voulais aller à contre-pied de ce que l’on trouve partout. On déniche dans de vieux placards des pièces qui datent mais qui sont vraiment sympas. » Résolument opposée à l’uniformisation, cette ancienne juriste propose des accessoires fantaisies à foison (bracelets en bois à 6 euros et boucles d’oreille à 10) et quelques broches de sa propre création. Prévoyez tout de même quelques minutes devant vous, ce Repaire des filles ne se livre pas au premier regard. Dépôts sur rendez-vous. • Le petit plus : sa vitrine colorée qui se métamorphose quasiment toutes les semaines.  
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Madame de
  • Shopping
  • Boutiques
  • Plaisance
  • prix 2 sur 4
C’est l’histoire d’une paire de boucles d’oreille en diamant qui passe de mains en mains, récoltant à chaque changement de propriétaire de nouveaux secrets… Nous sommes en 1951 et ‘Madame de’ consacre la plume de Louise de Vilmorin. Un film de Max Ophüls plus tard, et Armelle Frantz s’empare à son tour de l’histoire de la comtesse Louise de pour créer son dépôt-vente. Une charmante boutique où tout est trié sur le volet. « Je mets un point d’honneur à ne sélectionner que des pièces en état neuf » assure Armelle. Et pas de doute là-dessus, les sacs sont brillants et les pulls intacts. Les distraits pourraient même croire que Madame de est une boutique ordinaire… Sauf qu’ici les prix se veulent bien plus intéressants que pendant les soldes : sac Vanessa Bruno couleur taupe à 187 euros, jean APC à 66, robe écossaise Zara à 40…  et pour ceux que la déco rétro aguiche, sachez que la maîtresse des lieux cache aux quatre coins de son antre de véritables trésors (carafe art déco et ses gobelets fumés à 88 euros, machine à coudre vintage et projecteur Kodak sénior n°1). Dépôts sur rendez-vous • Le petit plus : une playlist musicale bientôt en ligne sur leur site.  
Mint & Lilies
  • 4 sur 5 étoiles
  • Shopping
  • Décoration d'intérieur
  • Denfert-Rochereau
  • Recommandé
« On a imaginé notre boutique comme un cabanon de vacances. Un endroit où l’on aurait toujours beaucoup de plaisir à se retrouver », raconte Mélanie, ex-RH devenue la moitié du duo Mint & Lilies. Une boutique de déco où tout est beau, de la vaisselle aux plantes vertes, de la papeterie au prêt-à-porter féminin. Le sauvage de la menthe et l’élégance du lys, comme pour souligner que l’antre a été imaginé par deux femmes. « Nathalie était responsable d’un concept store et on s’est rencontrées parce que j’étais l’une des clientes du lieu », poursuit Mélanie.  Ensemble, elles ont trouvé un local dans la très vivante rue Daguerre et imaginé un commerce où le conseil et l’accueil seraient aussi importants que les trésors qui y sont exposés. Une clientèle fidèle vient s’y approvisionner en bijoux (Zag, Izi.Mi), en vêtements de créateurs (Maison Scotch, Harris Wilson, Louise Misha) et en déco scandinave (Nordal), marocaine et parfois même équitable (Nkuku). Niveau prix, comptez 8 € pour un ceropegia, 6,50 € pour un bloc-notes et 162 € pour un gilet doudou Louise Misha.
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Storie
  • Shopping
  • Boutiques
  • Montparnasse
  • prix 3 sur 4
« Une boutique indépendante proposant des objets exceptionnels créés par des gens avec une histoire à raconter. » Voilà comment, en quelques mots, la souriante Fiona Cameron décrit ‘Storie’, un petit espace baigné de lumière ouvert en juin 2011 à quelques mètres de la tour Montparnasse. Des vases en forme d’ampoule, des coussins à motifs, des cadres à photo en étain : de quoi dorloter son intérieur. Mais pas que ; approchez donc du fond, vous verrez sous verre une sélection pointue de bijoux aussi poétiques que la décoration du lieu. Car ici, on ne bichonne pas que les objets, on prend tout autant soin de l’atmosphère décontractée. D’ailleurs, si on y entre par curiosité, on y reste surtout pour papoter : entre récits de voyage et babillage autour de l’artisanat, Fiona a plus d’une « storie » dans son magasin. Des bagues taillées dans des pierres de jaspe par Vanessa Dubbs, des lampes industrielles sauvées par Cyrille Bonnifet, des sacs en lin SUD (dès 25 €), des écharpes en soie fabriquées avec un métier à tisser traditionnel (145 €). Autant de créations qui peuplent cet « anti-Ikea » où chaque meuble, chaque morceau de porcelaine, chaque mètre de soie a été sélectionné méticuleusement. Alors si les prix ne sont pas toujours abordables, la qualité, elle, est toujours au rendez-vous.
Marché aux puces de Vanves
  • Shopping
  • Brocante
  • Plaisance
Occupant le pavé des avenues Georges Lafenestre et Marc Sangnier tous les samedis et dimanches matin, les puces de Vanves sont un véritable paradis pour chineurs. Plus confidentiels que Saint-Ouen, plus authentiques que Montreuil, le marché aux puces de Vanves est devenu au fil des ans la terre d’asile de nombreux brocanteurs d’Ile-de-France. La moyenne d’âge du métier est vieillissante : bien que de plus en plus de jeunes adultes deviennent adeptes des vide-greniers, peu sont ceux qui osent se lancer professionnellement dans la brocante. Les allées d’antiquaires de Vanves n’en perdent pas fière allure pour autant, et déploient au contraire des antiquités de toutes sortes et tous styles. Pièces de monnaie, bijoux et livres anciens ; arts populaire de France, d’Afrique et d’Orient ; photographies, dessins et tableaux ; vinyles et DVD ; fripes vintage et vieux tissus ; vaisselle et argenterie ; outils artisanaux et pin's… Chaque mètre carré de stand déroule des trésors à la classe rétro désuète et charmante. A la fin du marché, les biffins, spécialistes matinaux de la récup’, s’éternisent dans l’après-midi sur l’avenue Georges Lafenestre.
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