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14e arrondissement : les boutiques

Du shopping pour se vider les poches dans le 14e

Écrit par
La Rédaction
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Marché biologique Brancusi
  • Shopping
  • Marchés et foires
  • Plaisance
  • prix 2 sur 4
Le marché biologique de Brancusi est un joli marché de quartier, proche de la place de Catalogne dans le 14e arrondissement. Pimpant malgré sa taille modeste, il exhibe ses couleurs chaque samedi matin, donnant exclusivement dans le bio et bon. Son point fort est qu’il est agréable et relativement calme, car beaucoup moins bondé que ses cousins de Raspail et des Batignolles. Toutefois les prix y sont sensiblement plus élevés. Le nombre restreint de commerçants et de producteurs rend le contact avec les clients plus privilégié. D’ailleurs, les marchands présents suffisent à répondre à la demande : primeurs et maraîchers, boucher, poissonnier, fromagers, caviste… Ils ne versent pas tellement dans le bon marché mais en choisissant judicieusement, on peut s’en sortir pour un prix raisonnable. Libre à vous d’imaginer ensuite les recettes de saison pour concocter des plats goûteux et sains à la fois. Légumes anciens (panais, topinambours, pommes de terre vitelottes…), herbes aromatiques fraîchement cueillies, pains au levain et aux céréales, huîtres et poissons issus d’élevages naturels… Tous les ingrédients sont ici réunis pour une gastronomie bio pleine de saveurs. Un marché pour les gourmets et les palais éthiquement engagés.
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Madame de
  • Shopping
  • Boutiques
  • Plaisance
  • prix 2 sur 4
C’est l’histoire d’une paire de boucles d’oreille en diamant qui passe de mains en mains, récoltant à chaque changement de propriétaire de nouveaux secrets… Nous sommes en 1951 et ‘Madame de’ consacre la plume de Louise de Vilmorin. Un film de Max Ophüls plus tard, et Armelle Frantz s’empare à son tour de l’histoire de la comtesse Louise de pour créer son dépôt-vente. Une charmante boutique où tout est trié sur le volet. « Je mets un point d’honneur à ne sélectionner que des pièces en état neuf » assure Armelle. Et pas de doute là-dessus, les sacs sont brillants et les pulls intacts. Les distraits pourraient même croire que Madame de est une boutique ordinaire… Sauf qu’ici les prix se veulent bien plus intéressants que pendant les soldes : sac Vanessa Bruno couleur taupe à 187 euros, jean APC à 66, robe écossaise Zara à 40…  et pour ceux que la déco rétro aguiche, sachez que la maîtresse des lieux cache aux quatre coins de son antre de véritables trésors (carafe art déco et ses gobelets fumés à 88 euros, machine à coudre vintage et projecteur Kodak sénior n°1). Dépôts sur rendez-vous • Le petit plus : une playlist musicale bientôt en ligne sur leur site.  
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Mint & Lilies
  • 4 sur 5 étoiles
  • Shopping
  • Décoration d'intérieur
  • Denfert-Rochereau
« On a imaginé notre boutique comme un cabanon de vacances. Un endroit où l’on aurait toujours beaucoup de plaisir à se retrouver », raconte Mélanie, ex-RH devenue la moitié du duo Mint & Lilies. Une boutique de déco où tout est beau, de la vaisselle aux plantes vertes, de la papeterie au prêt-à-porter féminin. Le sauvage de la menthe et l’élégance du lys, comme pour souligner que l’antre a été imaginé par deux femmes. « Nathalie était responsable d’un concept store et on s’est rencontrées parce que j’étais l’une des clientes du lieu », poursuit Mélanie.  Ensemble, elles ont trouvé un local dans la très vivante rue Daguerre et imaginé un commerce où le conseil et l’accueil seraient aussi importants que les trésors qui y sont exposés. Une clientèle fidèle vient s’y approvisionner en bijoux (Zag, Izi.Mi), en vêtements de créateurs (Maison Scotch, Harris Wilson, Louise Misha) et en déco scandinave (Nordal), marocaine et parfois même équitable (Nkuku). Niveau prix, comptez 8 € pour un ceropegia, 6,50 € pour un bloc-notes et 162 € pour un gilet doudou Louise Misha.
Storie
  • Shopping
  • Boutiques
  • Montparnasse
  • prix 3 sur 4
« Une boutique indépendante proposant des objets exceptionnels créés par des gens avec une histoire à raconter. » Voilà comment, en quelques mots, la souriante Fiona Cameron décrit ‘Storie’, un petit espace baigné de lumière ouvert en juin 2011 à quelques mètres de la tour Montparnasse. Des vases en forme d’ampoule, des coussins à motifs, des cadres à photo en étain : de quoi dorloter son intérieur. Mais pas que ; approchez donc du fond, vous verrez sous verre une sélection pointue de bijoux aussi poétiques que la décoration du lieu. Car ici, on ne bichonne pas que les objets, on prend tout autant soin de l’atmosphère décontractée. D’ailleurs, si on y entre par curiosité, on y reste surtout pour papoter : entre récits de voyage et babillage autour de l’artisanat, Fiona a plus d’une « storie » dans son magasin. Des bagues taillées dans des pierres de jaspe par Vanessa Dubbs, des lampes industrielles sauvées par Cyrille Bonnifet, des sacs en lin SUD (dès 25 €), des écharpes en soie fabriquées avec un métier à tisser traditionnel (145 €). Autant de créations qui peuplent cet « anti-Ikea » où chaque meuble, chaque morceau de porcelaine, chaque mètre de soie a été sélectionné méticuleusement. Alors si les prix ne sont pas toujours abordables, la qualité, elle, est toujours au rendez-vous.
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Tout s'arrange
  • Shopping
  • Montparnasse
  • prix 2 sur 4
« Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort » aurait dit Nietzsche. Une phrase qui n’est pas étrangère à Nathalie, joyeuse propriétaire de la boutique-atelier Tout s’arrange. C’est après plusieurs accidents graves et un licenciement que la jeune femme a décidé de changer son quotidien, et de regarder la vie du bon côté. « Je m’étais fabriqué un petit bracelet avec écrit dessus "tout s’arrange", un objet chéri que je portais au poignet quand j’ai visité l’usine qui avait produit le fer à repasser qui m’a un jour électrocutée, raconte-t-elle avec le sourire. C’est là-bas, dans ce lieu magnifique, que j’ai décidé d’ouvrir ma boutique de bricolage. » D’abord installée rue Vavin, Tout s’arrange déménage en 2013 rue Delambre, pile devant une école primaire. A la sortie des cours, les petits viennent donc coller leur nez devant la vitrine rigolote. On y croise surtout des objets faits maison : des automates, des mobiles, des personnages en cacahuètes, des bijoux, des lunettes loufoques… « Les clients viennent avec des idées, des photos, ou carrément du matériel, et je crée les objets à la demande et parfois à l’effigie de leur cousin, enfant ou petit copine. » Un bric-à-brac chatoyant dans lequel elle vend également des jouets : des micro-dinettes (18 €), des petites voitures, un train domino, et des horloges murales humoristiques (28 €), en plus d'objets qu’elle répare. Mais le petit plus de la boutique, c’est assurément les ateliers que Nathalie, architecte de formation, pro
  • Shopping
  • Boutiques
  • Plaisance
  • prix 3 sur 4
Des murs immaculés au milieu desquels trois pétillantes trentenaires proposent toute l’étendue de leur fantaisie. Bienvenue chez Hazar and Co ! Cette boutique, c’est d’abord l’idée d’Anne-Cécile. La créatrice avait envie de partager son univers ethnique et poétique. Son créneau : bijoux et accessoires. Bagues, colliers, bracelets, serre-tête – et bien plus encore – qu’elle mélange savamment au cuir, au textile ou au papier. Tout cela côtoie les matières nobles et les coupes confortables de la griffe Ekicé, derrière laquelle se cache Cécile. Un style résolument tourné vers le Japon. C’est d’ailleurs là-bas qu’elle déniche la plupart de ses tissus. Des petites pointes de couleur façon origami qui viennent pimenter une jupe, une blouse… Mention spéciale pour la jupe-culotte remise au goût du jour par la créatrice, également costumière. Changement de cap avec Audrey, la troisième drôle de dame. Sa griffe Ause, c’est du haut de gamme qui s’invite au rayon du prêt-à-porter. Couturière hors pair, Audrey propose des basiques qu’elle revisite volontiers. Vestes et manteaux façon années vingt, du sportswear d’un genre nouveau (un sweat avec des touches de dentelle pour un résultat bluffant). Ause, c’est aussi l’art de la maille, du tricot chic. Ce bon gros gilet que l’on porte en toutes circonstances. A découvrir également, sa ligne de cabas. Hazar & Co, c’est le lieu idéal pour se faire plaisir ou dénicher un petit cadeau et faire mouche à coup sûr. Et il y en a pour toutes les bourse
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Le Repaire des filles
  • Shopping
  • Fripes et vintage
  • Montparnasse
  • prix 2 sur 4
C’est une petite boutique tout en longueur dans l’une des rues les plus commerçantes du quartier. Un dépôt-vente qui sent les bonnes affaires et le délicat parfum de sa propriétaire. Sur les cintres serrés les uns contre les autres, on y croise des jupes en soie à 29 euros, des vestes de tailleur carmin, ou encore des pulls à rayures… Des couleurs et des formes féminines, car ici, pas question de vous habiller comme un garçon et en noir de la tête aux pieds ! Des vêtements désuets au premier coup d’œil mais qui peuvent s’avérer surprenant sur un jean, nous confie avec douceur la maîtresse des lieux. « Je voulais aller à contre-pied de ce que l’on trouve partout. On déniche dans de vieux placards des pièces qui datent mais qui sont vraiment sympas. » Résolument opposée à l’uniformisation, cette ancienne juriste propose des accessoires fantaisies à foison (bracelets en bois à 6 euros et boucles d’oreille à 10) et quelques broches de sa propre création. Prévoyez tout de même quelques minutes devant vous, ce Repaire des filles ne se livre pas au premier regard. Dépôts sur rendez-vous. • Le petit plus : sa vitrine colorée qui se métamorphose quasiment toutes les semaines.  
  • 3 sur 5 étoiles
  • Shopping
  • Dépôt-vente
  • Alésia
Alerte à l’ancienne chez Troc’Mod. On a tout de suite été interpellés par l’enseigne « Brocante » digne de nos grands-parents, et toujours fièrement installée sur la porte de la boutique. Ici, le dépôt-vente est une histoire de famille. Situé 230, avenue du Maine depuis 1969, Troc’Mod a habillé des générations de Parisiennes du 14e arrondissement de vêtements déposés par les plus mode d’entre elles. Aujourd’hui repris par Marianne, la fille, Troc’Mod s’est adapté aux clientes des années 2000. Avec une offre exclusivement femme, c’est, de l’extérieur, un dépôt-vente qui ne paye pas de mine (de l’intérieur aussi) mais vous avez de grandes chances d’y dénicher du Maje, Sandro, Claudie Pierlot, The Kooples, Pablo ou Darel de deux trois ans à peine à petits prix. Alors oui, il y a du Chanel mais on ne va pas chez Troc’Mod pour ça. L’idée, c’est de compléter sa garde-robe de saison de t-shirts, jupes ou petits pantalons à 20 euros max et de petites robes de marque entre 45 et 100 euros. N’hésitez pas non plus à checker les accessoires (big up au sac à dos en cuir See By Chloé à 150 balles) et à venir le mercredi ou le vendredi, jours d’arrivage. Bon à savoir : Troc’Mod n’accepte pas la carte bleue (old school jusqu’au bout). Si l’on ne devait emporter qu’une pièce : Une veste mi-mode mi-bourgeoise idéale pour un mariage signée Claudie Pierlot à 50 balles. Eh ouais.  
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