Attention les amis ! Nous nous efforçons d'être précis, mais la situation particulière nous oblige à quelques ajustements. Alors vérifiez bien les horaires avant de vous de déplacer.

Les meilleurs cavistes de Paris
Vin et saké naturel, biodynamique ou tradi, rhum, mezcal, whisky, bières artisanales.. Voici les meilleures cavistes de Paris !
Update juillet 2020 - Bistrot le midi, bar à vins le soir, caviste la journée… Le P'tit Pinard, dans le 11e, rejoint notre dossier. En cause, des pifs naturels ou en biodynamie fabuleusement castés, fruit d'une sélection personnelle de plus de 200 références. Le tout à taro réglo, avec pas que des millésimes récents. De quoi claquer le beignet à ceux qui prétendent que le vin naturel vieillit mal !
Pitié, boycottez les pseudo-cavistes commençant par "N", et autres rayons tristounes de supermarchés. Vous avez vraiment envie de boire des vins sans âme, bourrés de pesticides, sulfites et sucre ajoutés (quand ce n'est pas fongicides) ? Des bières industrielles ? Des whisky et sakés tord-boyaux ?
Rappelez-vous : au-delà des étiquettes (bio, nature, biodynamie...), un bon vin ou une bonne bière, c'est avant tout un bon vigneron ou brasseur-artisan. Travaillant dans le respect des sols et de l'homme, dans une logique tout sauf productiviste !
Comptez sur nos amis cavistes pour les dénicher. N'oubliez pas non plus les bars à vins et restaurants qui proposent aussi des flacons à emporter. Quelle chance ! Vous avez l'embrarras du choix pour pimper l'apéro. Vin, mais aussi saké, rhum, whisky, bière, mezcal... On vous a listé ici le meilleur du meilleur. Tchin !
Les meilleurs cavistes de Paris
La Cave des Papilles
Quelle vibe ? Au beau milieu de la vibrionnante rue Daguerre, impossible de rater la devanture jaune citron de La Cave des Papilles. La pimpante enseigne ouverte en 2001 a su, au fil des années, se tailler un joli nom dans le paysage des caves parisiennes. Et pour cause : sur 1 200 références proposées, 80 % sont des vins naturels et/ou élaborés en biodynamie.
A ne pas rater ? Frédéric Cossard en Bourgogne, la Maison Pierre Overnoy dans le Jura ou Jean-Yves Perron en Savoie pour ne citer qu’eux. Côté bubulles, une belle sélection de champagnes (Emmanuel Lassaigne, un Vincent Laval très recherché). Les amateurs de spiritueux (whiskys, cognacs, armagnacs) ne seront pas en reste. A noter surtout, de vrais sakés japonais (rares) du maître du "Junmai", Yoshimasa Ogawahara.
Septime La Cave
Quelle vibe ? L’annexe du Septime, resto étoilé de Bertrand Grébaut, qui fait (à raison) salle comble tous les soirs. Certes, à La Cave, les gens sont plutôt beaux et bronzés mais l’endroit n’est pas pour autant inaccessible. Et surtout : on y déguste les plus beaux crus vivants de la planète. Oui oui, de la planète. Que du vin naturel (ou presque), à partir de 13 € (que l'on peut consommer sur place avec un droit de bouchon à 7 €).
A ne pas rater ? D'excellents vins géorgiens vinifiés en qvevri (jarres géantes), ce 100 % viognier nature (Fleur Sauvage Jouret) fruité et minéral ou, plus bu et rebu, mais toujours aussi bon, cet Hanami Bobinet, cabernet franc acidulé et fruité qui n’a de japonais que le nom.
La Maison du whisky
Quelle vibe ? Rarement on aura visité plus belle cave à Paris. Et pour cause : la Maison du whisky s’échine depuis 1956 à faire découvrir les richesses du single malt, dans ses nombreuses déclinaisons gustatives et géographiques. Plus de 2 225 références ! Si l’Ecosse est, forcément, très largement représentée (des Lowlands aux Orcades, des noms qui font rêver), les étagères accueillent également de nombreuses références en whisky japonais, américains ou même français. N'oubliez pas non plus les rhums, cognacs, vodkas et gins.
A ne pas rater ? Si vous êtes chanceux : un Karuizawa nippon Cask 867 de 12 ans d'âge (1999)


Frenchie Caviste
Quelle vibe ? « Je veux des vins qui aient la gueule de l’endroit où ils sont nés… et les tripes de ceux qui les ont faits. » Cette citation de Jacques Puisais colle parfaitement à la philosophie du chef Greg Marchand et du sommelier Aurélien Massé quand ils ont ouvert le Frenchie Caviste. Ils y proposent une sélection éclectique de vins du monde entier et à tous les prix, faits par des artisans vignerons qui respectent les codes d’une agriculture et d’une vinification propres.
A ne pas rater ? Les vins de Matthieu Barret
La Cave de Belleville
Quelle vibe ? En plein cœur du 19e arrondissement, entre un kebab et une alimentation générale : c'est là que s’est installée cette cave à vin à l'allure digne et racée, avec sa façade bleu nuit et sa ribambelle de fromages et charcuteries. Possibilité de manger et boire sur place.
A ne pas rater ? La Bourgogne en force (Philippe Valette, Rateau, Bouzereau, Gilles Ballorin mais aussi Paul Pillot, Fanny Sabre, Madelin Petit...) Un beau focus sur le Languedoc : Ermitage du pic Saint-Loup, Opi d’Acqui, Monts et Merveilles, La Baronne... Et la Loire : domaines Huet, Alexandre Bain, Sébastien Riffault, Hervé Villemade, Domaine des Huards, Philippe Alliet et Pascal Lambert, Noella Morantin, Grange aux Belles, stop n'en jetez plus ! A noter, en Rhône de très belles choses au nord (Méryl Croizier, Hervé Souhaut...) et sud (Eric Pfifferling L’Anglore, Les Maou...)
La Cave Paul Bert
Quelle vibe ? L'annexe avinée de la fratrie Paul Bert compte une bonne centaine de références tendance nature/biodynamie. Mieux vaut arriver tôt si l’on veut avoir la chance de s’asseoir à l’une des dix places. Mais on peut tout aussi bien rester debout, après tout c’est l’esprit de cette géniale planque à jaja. Possibilité de manger boire sur place.
A ne pas rater ? Les vins volcaniques de Vincent Marie, à Volvic
Bonne Aventure
Quelle vibe ? Niet, la banlieue n'est pas morose : à 300 mètres du Périph', ce nouveau spot pour potes fédère au déjeuner autour de sa bistrote food puis, dès 17 heures, à grand renfort de canons de sang pur, tendance biodynamie/vins naturels. Côté tire-bouchon et décapsuleur, le caviste Mathias Tenret, se fait pas prier pour dégoupiller ses trouvailles !
A ne pas rater ? Les classiques (Villemade, Bouzereau...) et du plus confidentiel et malin : corbières Les Deux Anes (8,50 € la bouteille + 7 balles de droit de bouchon ), vin de France Lard des Choix de Souhaut et Dard et Ribo (14,50 € + 7 €).
Le P'tit Pinard
Quelle vibe ? On prend les même et on recommence ! Charlotte (en cuisine) et Julien (à la cave) ont déménagé leur ancienne cave à manger rue de Cléry (2e) pour ce cool spot spacieux, à deux enjambées de la rue Saint-Maur. Choisissez votre heure/envie : cantine au déj, barav’ le soir, caviste en journée… Des quilles vivantes impeccablement castées, peu chères, fruit d’un vrai travail de ter-ter. Et ce alors que la carte (c’est l’autre très bon point) n’hésite pas à taper dans des millésimes pas tout jeunots : beaucoup de 2017, du 2014, 2015, et même 2000. Façon de claquer le beignet à ceux qui pensent que le vin dit « naturel » vieillit mal !
A ne pas rater ? Un jasnières blanc issu de vieilles vignes : Clos Saint-Jacques 2000 du domaine Gigou à 37 € la bouteille
Fine l'épicerie
Quelle vibe ? Un peu planquée rue de Belleville, cette pépite propose, en plus de plats traiteur fait maison, de sublimes quilles pas bues partout. La sympathique taulière s'y connaît vraiment en pif, et ça, ça change tout !
A ne pas rater ? La cuvée Nature Peinture 2015 du jeune vigneron Raphael Baissas, figure montante de Calce (Vandal Wine/Nada). Lors de notre passage à la fin de l'été dernier, c'était la seule boutique à l'avoir sur Paris.
Maison du saké
Quelle vibe ? Créé par le restaurateur Youlin Ly, cet espace de plus de 500 m2 entièrement consacré à cette boisson réunit un bar à saké (izakaya) et une sakéthèque (comptoir dédié aux achats de bouteilles et de produits d’épicerie fine japonaise, avec la possibilité de déguster le bento du jour sur place ou à emporter). Soit plusieurs milliers de bouteilles qui se bousculent sur les étagères pour nous faire découvrir ce nectar nippon à base de riz, bien plus subtil que l'image réductrice qu'on s'en fait encore.
A ne pas rater ? Les Larmes du Levant 2019, de Tenshin. Cuvée en édition très limitée. Un nigori fin et complexe.
Au Petit Rozey
Quelle vibe ? Xavier Benilous, marchand de biens immobiliers et chineur né, s’est acoquiné avec Stéphane Rozey, libraire reconverti en caviste depuis une dizaine d’années (ex-Bougainville) pour nous pondre ce bouclard titi parigot plus vrai que nature. Sous les couches de peinture d’une banale laverie, les deux compères ont exhumé le squelette d’une ancienne brocante. Conséquence, un troquet qui semble avoir toujours été là… alors qu’il vient de sortir de l’œuf (fin juin dernier).
A ne pas rater ? Pichrochole, le jouissif pineau d’Aunis d’Ariane Laisné (Domaine de Montrieux en Loire)… Ou encore le Calcarius blanc des Pouilles de Valentina Passalacqua, glouglou à mort.
Au Nouveau Nez
Quelle vibe ? Une sympathique squadra emmenée par une cheffe toscane et un sommelier napolitain s'est coulée sans faire de bruit dans cette ex-cave à manger, mutée en vrai resto. De la vallée de l'Etna au Septentrion, jusqu'aux Langhe du Piemonte, le sommelier napolitain vous fera voyager dans toute la Botte, mais pas que : très belle sélection de vins français.
A ne pas rater ? Un chardonnay comme rarement bu : Le Grangeon Mano 2015 (24 €), petit domaine créé par Luc Bauer, en Bugey. Fruité et sans l’habituel gras. Pépite !
BiBoViNo
Quelle vibe ? Marché des Enfants Rouges, on tombe sur cette boutique lumineuse, remplie de boîtes de la même couleur, un violet qui rappelle fortement une fameuse marque de chocolat (aucun rapport pourtant). En entrant, on se frotte les yeux pour y croire : il s'agit d'une cave entièrement constituée de cubitainers ! En discutant avec le gérant de la boutique, ancien sommelier de palaces parisiens, on apprend le concept du lieu : proposer des vins haut de gamme dans ce type de format.
A ne pas rater ? Les beaujolais extraordinaires de Jean-Paul Brun.
Le Bel Ordinaire
Quelle vibe ? Un immense espace très haut de plafond, bourré de produits d’épicerie et de bouteilles de vin avec au milieu une immense table où venir se sustenter de 11h à minuit. On n’en attendait pas moins de cet espace monté par Sébastien Demorand, critique gastronomique émérite !
A ne pas rater ? Principalement des pifs nature, comme ce blanc Alsace minéral et fruité de Philippe Brand, joliment intitulé Liberté de la presse.
Arsouille
Quelle vibe ? Gaffe au moment d’entrer la géoloc’ sur Google : ne confondez pas Arsouille, cave à manger confidentielle ancrée du côté de Trinité/Saint-Lazare, avec L’Arsouille, bar de Montmartre. Si vous cherchez une bonne bouteille de vin nat’ à ramener en soirée ou siffler sur place après le taf, et une vraie bonne cantoche pour la pause déj, cette Arsouille sans L ni apostrophe tombe à pic ! Bravo pour les prix, tenus en laisse.
A ne pas rater ? Le super muscadet nature Les Houx de Jo Landron (16 €) ; le blanc Calcarius des Pouilles de Passalacqua (20 €), ou en rouge le trop bon marsannay de Jean Fournier (26 € la cuvée Saint-Urbain 2017).
Le Siffleur de Ballons
Quelle vibe ? A deux pas du marché d'Aligre dans le 12e, cette charmante cave « à boire et à manger », à la déco épurée, ne peut pas manquer de vous charmer. Un grand bar en bois clair, avec une vitrine ornée d'alléchants fromages... Et, derrière, le plan de travail où les barmans préparent minutieusement les planches et autres mets délectables. Surtout, de nombreuses références comme l’Ivresse des Sens, un cru du domaine Sol-Payré, recommandé par le barman himself.
A ne pas rater ? Les riesling de Binner (Alsace), le nero d'avola d'Arianna Occhipinti (Sicile), le patrimonio d'Aréna (Corse), la roussette de Savoie de Berlioz...
La Cave de l'Insolite
Quelle vibe ? Derrière ce nom un peu fourre-tout – mais qu’est-ce qui est vraiment insolite aujourd’hui ? – se cache un lieu idéal pour dîner durant l’hiver ou l’automne. Au fond de cette cave à vin et restaurant néo-rustique, le voyageur endolori par le froid et la fatigue ira volontiers se réfugier au coin de l’âtre fumant.
A ne pas rater ? Le si frais Pet'Nat de Jolly Ferriol!
Le Verre Volé
Quelle vibe ? Ce bar à vins près du canal est une excellente adresse pour découvrir des crus de toutes les régions du terroir, principalement naturels et bio. Il met en valeur des appellations peu connues mais qui méritent le détour. Les prix restent raisonnables pour acheter une bonne bouteille. Possibilité de manger et boire sur place.
A ne pas rater ? Les très beaux crus du Domaine Mouressipe, et ceux de Philippe Valette
Et après les meilleurs cavistes de Paris...
Les meilleurs bars à vin de Paris
Vous cherchez un bon bar à Paris pour boire un verre ou une bonne bouteille entre amis ? Des grands vignobles de Bourgogne aux petits vignerons indé, voici de quoi étancher votre soif à coup de rouge, rosé et blanc. Classique, bio, biodynamique, ou nature... Pour fauchés ou rupins, il y en aura, c'est promis, pour tous les goûts... Peu importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse !
Les meilleurs fleuristes de Paris
Ras-le-bol de la grisaille urbaine, du bitume où le moindre brin d'herbe ne se risque plus depuis longtemps ? Et si votre 20m² se transformait en un havre de paix ? Ne cherchez plus à pousser les murs, remplacez vos étagères surchargées de babioles par des pots de fleurs ! On remonte ses manches, les mains dans la terre, on arrose, on rempote ! Découvrez notre sélection de fleuristes qui feront de votre chez-vous, un joli coin de verdure.
Les meilleurs chocolatiers de Paris
Pâques, Noël, St Valentin... Mais aussi anniv, naissance, mariage... Chaque fois, c'est la même question : où dénicher les meilleurs chocolats parisiens ? Noir, blanc, au lait... Découvrez ci-dessous notre sélection toute subjective de chocolats, à offrir en cadeau ou à dévorer en solo. Testés et approuvés par l'ensemble de la Rédaction lors d'un grand banc d'essai ! Des dizaines d'heures de tasting, et le dévouement d'une équipe très impliquée. C'est beau.