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L'actu par Time Out Paris

Votre guide de Paris au quotidien : actualité, infos, culture et humour (enfin, on essaye)

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La Rédaction
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Sautez sur l’occasion ! Alexandre Gauthier, le génial chef de la Grenouillère dans le Pas-de-Calais, pose ses casseroles à Paris. Lui qui se fait rare au sud d’Amiens vient pour quatre jours seulement. Ce super-héraut du terroir compte bien propulser l’expérience de la résidence de chef dans une autre dimension. Déjà, il va s’installer dans un lieu inédit, tenu secret (dans le 8e) jusqu’à la réservation, et décoré par le metteur en scène Julien Gosselin. Ensuite, Alexandre Gauthier et son équipe vont démontrer que l’esprit de la Grenouillère demeure toujours intact malgré les avanies. La Grenouillère hors les murs Car la maison-mère de La Madelaine-sous-Montreuil a été dévastée par les crues suite aux pluies diluviennes de l’automne dernier – le restaurant de la famille Gauthier (depuis 1978) s’est retrouvé sous 1 mètre d’eau. Pour goûter la cuisine sensible de ce sorcier des textures, attendez-vous à des prix sur pilotis (320 € au déjeuner, 520 € au dîner) mais qui comprennent six grandes séquences agrémentées d’assiettes satellites et l’accord mets et vins. Une bonne façon de patienter la réouverture de la Grenouillère… Quand ? Vendredi 12, samedi 13 et dimanche 14 avril au déjeuner. Du mercredi 10 au samedi 13 avril au dîner. Réservation

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Printemps, jeunes talents. Ces jours-ci, la jeune création vient s'étaler sur des milliers de mètres carrés dans un de nos triangles d’art préférés de la capitale. A Paris Nord-Est, rien que du nouveau : des photographes émergents venus de toute l’Europe se partagent les murs du Centquatre, des artistes fraîchement diplômés des écoles d’art françaises s’exposent à la Grande Halle de la Villette, et POUSH réunit résidents et invités pour témoigner de l’effervescence artistique du 93. Bref, c’est de la bombe, bébé.  Circulation(s) - Festival de la jeune photographie européenne  Forgotten in the Dark © Tom Kleinberg C’est l’un de nos rendez-vous préférés chaque année. Depuis 14 éditions, le festival Circulation(s) esquisse une cartographie de la création photographique européenne à travers les regards d’une vingtaine d’artistes émergents. Si le médium principal est la photographie, l’expérimentation et l’hybridation des pratiques sont au cœur du projet. Parmi les artistes exposés cette année, certains s’approprient l’intelligence artificielle, d’autres constituent des archives à partir de captures d’écran, d’autres encore réemploient des images de caméras de surveillance… En parallèle, un focus sur l’Ukraine présente des séries de quatre jeunes photographes issus de ce territoire (toujours au 104), et une expo hors les murs de Tom Kleinberg met un coup de projo sur la communauté ballroom de Séoul à la Bibliothèque Claude Lévi-Strauss. Bonus : un studio-photo pour vous faire ti

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C’est l’un de nos numéros fétiches des événements du Disquaire Day. Samedi 20 avril, Phonographe Corp, le média à l’affût des musiques électroniques depuis 2010, revient faire le souk pendant la fête du microsillon avec son raout – le 10e du nom – mi-fiesta mi-marché de disquaires de 18 heures dans son fief de la Rotonde Stalingrad.  Annoncé de midi à 6h, l’événement se déclinera à nouveau en deux faces. Jusqu’à 22h, les visiteurs pourront dégoter des skeuds dans les bacs d’une vingtaine de labels et disquaires avec, en vrac, les cliques électroniques de D.KO Records (Mézigue), Antinote (Zaltan) ou Construct Re-Form (Zadig) ; l’entité plus afro-soul Hot Casa Records ; ou les toqués du synthé de Camisole Records. Entre deux bacs, les diggers pourront se détendre les muscles en dansant (à l’œil) devant plusieurs DJ sets dont un de Voiski. Pour les marathoniens (ou les arrivants tardifs), à partir de 22h, rendez-vous (contre quelques pièces) à l’intérieur avec trois scènes. On repère notamment une carte blanche filée à l’éclectique label électronique lyonnais Bardouin Music, qui ramène dans ses flightcases ses ouailles Hyas, Hastings, Another Pixel et Jacky Jeane. Pensez à prendre des chaussons de danse confortables. Quand ? samedi 20 avril 2024, de midi à 6h.Où ? 6-8 place de la Bataille-de-Stalingrad, Paris 19e.Combien ? entrée libre jusqu’à 22h, de 12 à 18 € ensuite. Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.

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Ce Sample, on l’avait bien senti chez Time Out. On avait été les premiers à causer de cette friche mi-dedans mi-dehors installée dans d'anciens ateliers de matériel de son à Bagnolet, et après y avoir zoné quelques aprèms depuis, nous voilà bien heureux d’apprendre le lancement le 27 avril de sa saison 4. Le temps d’une longue journée intitulée « Sous les sunlights du périph », les visiteurs pourront tester – à prix libre – un échantillon de la prog du Sample cet été. Le pinacle du jour, ce sera bien sûr la réouverture du jardin et ses 2 000 mètres carrés d’espaces extérieurs, avec concerts et DJ sets (on attend les noms mais c’est souvent de très bon goût) à apprécier sous le soleil puis les étoiles. Entre deux entrechats, vous pourrez mater une expo collective pluridisciplinaire avec les travaux de tous les résidents, plonger dans une « installation sonore immersive », profiter d’un marché de créateurs et prendre part à des ateliers.  Quand ? à partir du 26 avril 2024, de midi à minuit.Où ? le Sample, 18 avenue de la République, 93170 Bagnolet. Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.

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Et c’est (re)parti ! Pour la deuxième année consécutive, le festival We Love Green annonce un food court 100 % végétarien et lance le casting des comptoirs qui vont nourrir les festivaliers en foncedalle entre deux concerts de grosses pointures. Au menu : 50 emplacements à attribuer afin de sustenter 100 000 personnes sur trois jours. En 2024, la sélection sera plus relevée qu’une sauce au habanero supplément harissa. Les chef(fe)s vont devoir déposer avant le 10 avril un dossier de candidature détaillant leur menu végé (local, bio et de saison selon une charte écrite par Ecotable) mais aussi la vaisselle employée. Car cette année, une attention particulière sera portée à la réduction des déchets et au bannissement du jetable. Eh oui, manger avec les doigts, c’est bon pour la planète. Qui va être la végé star 2024 ? L’année dernière, l’offre gastronomique, avec aussi peu de protéines animales que de solos de guitare chez Prince Waly, avait rencontré un succès fou : plus de 106 000 repas avaient été avalés, ne laissant aucun stock et permettant de diviser par sept l’empreinte carbone du food court tout en augmentant le panier moyen. Le plat star de 2023 ? Le burger aux pleurotes. Les dossiers seront étudiés par un jury d’implacables professionnels – et on ne dit pas ça seulement parce que notre patron en fait partie. Jugez plutôt : Alain Ducasse et Romain Meder pour une présidence bicéphale, Alice Tuyet, Adrien Cachot, Shirley Garrier et Mathieu Zouhairi de The Social Food, Jo

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Le voguing, toujours plus vite, plus haut, plus fort ! Incroyable phénomène culturel de la décennie écoulée, le voguing, cette danse aux multiples codes et catégories reproduisant les poses des mannequins née dans les arrière-salles de bal new-yorkaises dans les années 1970, s’apprête à passer un nouveau cap dans la reconnaissance. Les 1er, 6 et 8 août, dans le cadre de l’Olympiade culturelle et en plein pendant les Jeux, trois balls voguing auront lieu dans le parc des Champions au Trocadéro – là même où seront célébrés les médaillés. Pour téléguider ces trois “Paris Sports Balls”, les JO se sont tournés vers la Gaîté Lyrique et Vinii Revlon, première légende européenne et visage de de la discipline en France. Des balls express de 15 minutes chrono au format un peu particulier : outre des hommages vogués aux disciplines olympiques par les membres de la House of Revlon, on assistera à des créations artistiques spécialement façonnées par Vinii, en plus de spectacles chorégraphiés par Angelin Preljocaj et Mourad Merzouki, aka les stars de la danse contemporaine et hip-hop en France. Bref, veni vidi voguing !  Quand ? les 1er, 6 et 8 août 2024, de 17h à 17h15.Où ? parc des Champions, place du Trocadéro et du 11-Novembre, 75116 Paris. Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.

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Belleville a la cote. Point culminant de Paris, l’ancien village avec vue se raconte ces jours-ci en images dans deux galeries parisiennes, alors même que la rue de Belleville vient d’être nommée parmi les 30 artères les plus cool du monde. Deux salles, deux ambiances : d’un côté, le Paris populaire des années 1970, exposé à la galerie Roger-Viollet à Saint-Germain-des-Prés ; de l’autre, celui qu’on connaît aujourd’hui, capturé par Thomas Boivin et présenté aux Douches, dans le 10e. De l’un à l’autre, seuls de très maigres indices permettent de comprendre que c’est bien le même quartier qui est représenté.  Le Paris populaire des années 70 Enfants jouant sur le site dit "des Envierges" et la rue Vilin, Belleville © Léon Claude Vénézia / Roger-Viollet Sur les clichés 70’s et colorés des photographes François-Xavier Bouchart et Léon Claude Vénézia à la galerie Roger-Viollet, le “Paris populaire” que représente l’axe Belleville-Ménilmontant est à peine reconnaissable. Le linge y sèche dans les rues, entre gravats et terrains vagues, les voitures sont rares et les routes encore pavées. La vie de quartier se raconte en couleurs, entre les terrasses de café et les jeux d’enfants vacants en totale liberté. Un fascinant retour en arrière.  Du 7 mars au 1er juin 2024.Galerie Roger-Viollet, 6 rue de Seine, Paris 6e. Ici – Belleville, Ménilmontant, Place de la République Belleville © Thomas Boivin Une cinquantaine d’années plus tard, le photographe Thomas Boivin, habitant lui-même l

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Vous en avez assez de rouler hors du lit le dimanche matin pour vous asseoir face aux mêmes assiettes à l’américaine à base de bacon, d’œufs brouillés et de toasts ? Voici des offres qui vont vous redonner foi dans le brunch dominical tout en vous faisant voyager. Brunch palestinien au Dirty Lemon © Joris Allardon Le bar à cocktails Dirty Lemon a mis son réveil pour s’occuper de vos papilles en ce dimanche matin. La cheffe dubaïote Ruba Khoury se replonge dans ses racines palestiniennes pour proposer des plats qui sentent bon le soleil et la vie : shakshuka ; hoummous et viande hachée ; falafels et pita ; knafeh (pâtisserie au fromage doux). On fait couler avec des classiques des brunchs version Dirty Lemon : Bloody Mary clarifié, Spicy Margarita ou Paloma.     Où ? 24 rue de la Folie-Méricourt, Paris 11e Combien ? Assiette 12-18€ Brunch végé de Maslow © Maslow   Le vaste resto garanti sans protéines animales propose un plantureux brunch qui donne une bonne idée de la diversité des recettes proposées chez Maslow. Au programme, des petites assiettes en pagaille : gnocchis à la truffe, champignon pané, frites de panisse, butternut et crème de comté… Les deux atouts de cette adresse (en plus de vous dire que vous ne consommez pas de cadavre) : il y a de la place pour les grandes tablées et les horaires restent compatibles avec un retour d’after puisque le brunch est servi jusqu’à 20h30 ! Où ? 14 quai de la Mégisserie, Paris 1er Combien ? formule 3 assiettes + 1 café : 29€ E

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C’est un peu comme si le film La Piscine de Jacques Deray trouvait sa forme bon plan Time Out. Après une projo dans le bassin extérieur de la piscine de la Butte-aux-Cailles l’an dernier, le festival de court-métrage de haute volée Silhouette a annoncé une nouvelle longueur filmique pour le samedi 27 avril, dans la tout aussi belle (et même classée monument historique) piscine Art déco Alice-Milliat de Pantin.   © Joséphine Brueder / Mairie de Paris   Organisée dans le cadre de l’Olympiade culturelle, la projection – prévue dans le bassin de 25 mètres  en sous-sol – durera une heure et demie. Et Silhouette oblige, ce sont plusieurs courts-métrages déjà vus au festival qui seront projetés à la suite sur l’écran de 10 mètres de large, tous sur « le thème du sport, et même du sport aquatique », nous disent les orgas. Côté pratique, le tarif de la séance sera celui d’une entrée à la piscine – comptez de 3,70 à 5,80 € –, permettant aux spectateurs de bénéficier d’une bouée. Aucune mention de popcorn pour le moment. Quand ? samedi 27 avril 2024, à 20h30.Où ? 49 avenue du Général-Milliat, 93500 Pantin.Combien ? de 3,70 à 5,80 €. Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.

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L’intersyndicale du bon plan est formelle : cette union du rail et du microsillon va secouer le 18e arrondissement. Les samedi 27 et dimanche 28 avril, après plusieurs éditions à Pantin, le disquaire majeur du Nord parisien Dizonord délocalise sa grande vente de vinyles sur les 300 mètres de quais de la Petite Ceinture du Hasard Ludique.  5 € le disque Pendant deux jours,  ce sont 5 000 skeuds qui seront à dégoter entre six stands de vendeurs indés (encore à annoncer) et celui de Dizonord, qui représentera la majorité du stock. Chez ce dernier, on peut déjà annoncer qu’on trouvera tous les styles et toutes les époques – avec un penchant pour le rap, la techno et la house –, mais ce sont surtout les tarifs qui aguichent. Car oui, tout le week-end, les vinyles seront au prix unitaire de 5 € avec une grosse promo sur les lots : comptez 50 balles pour les 15 disques le samedi et 20 le dimanche.  Quand ? samedi 27 et dimanche 28 avril 2024.Où ? 128 avenue de Saint-Ouen, Paris 18e Et pour découvrir notre dossier des meilleurs disquaires, c’est par ici que ça se passe. Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.

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