A première vue, l’expérience peut paraître intimidante. On est d’abord un peu refroidis par cette porte qu’il faut franchir sous le regard inquisiteur des agents qui montent la garde devant le commissariat. Puis, à la réception, il y a tous ces gens affairés, agités par des ennuis de nature beaucoup trop policière, avec lesquels il faut faire la queue. Mais une fois ces épreuves bravées, on respire. Et on a tôt fait de pousser la porte du musée, indemne (et sans menottes), au deuxième étage.La visite en vaut le coup. Du moins pour qui s’intéresse un tant soit peu à la criminologie...