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Le collier de pâtes que vous lui aviez offert pour la Fête des mères 1991? Mangé en bolo. Les bouquets de fleurs accumulés au fil des années ? Ils gisent piteusement dans un pot-pourri bafouant dix-neuf lois d'hygiène et de propreté. La boîte de chocolats fourrés achetée à la va-vite chez le boulanger ? Cachée au fond d'un placard verrouillé pour éviter les tentations... Bref, vous êtes à cours d'idées de cadeaux pour la Fête des mères ce dimanche et cela commence à sérieusement vous angoisser. Et si, pour changer, vous lui offriez une balade avec vous, bras-dessus, bras-dessous dans un musée ou une galerie d'art ?
D'autant que les expositions actuellement proposées sont à l'image des profils maternels : plurielles. Qu'elle soit coquette, coquine, classique, rétro-chic ou anticonformiste, votre chère et tendre môman trouvera donc forcément culture à son intérêt. Tandis que vous serez, à n'en pas douter, considérés comme l'enfant prodige ayant trouvé le cadeau parfait.
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Comme son titre l'indique, l'exposition Carambolages provoque un immense carambolage d'œuvres d'art. Ni chronologique, ni thématique, le parcours, plus mental que scientifique, mélange joyeusement les créations selon leurs affinités poétiques. Cent cinquante d'entre elles, de François Boucher à Annette Messager en passant par Rembrandt, Man Ray ou Alberto Giacometti, se retrouveront ensemble dans les galeries du Grand Palais sous la direction du grand historien de l'art et commissaire d'exposition Jean-Hubert Martin. Bref, l'exposition Carambolages sera probablement surprenante, percutant les genres, les supports et les époques.
Cinquante ans après la sortie du premier album du Velvet Underground – sur la pochette duquel on pouvait voir une banane dessinée par Andy Warhol – la Philarmonie de Paris retrace la genèse du célèbre groupe des années 1970. Au travers de l'exposition 'Velvet Underground', la première produite par la Philharmonie de Paris, elle refait le portrait d’un des combos les plus obscurs mais aussi les plus influents de l'histoire du rock. Lou Reed et sa bande ayant en effet inspiré Iggy Pop, David Bowie et bien d’autres.
« Gravement beau. » Voici comment Vincent van Gogh décrivait à son frère Théo, dans ses correspondances, Auvers-sur-Oise. Cette petite commune est en effet un hameau de verdure paisible et charmant, situé à une trentaine de kilomètres de Paris seulement. « Pleine campagne caractéristique et pittoresque » (toujours selon les dires du peintre néerlandais), Auvers a d’ailleurs su séduire de nombreux artistes, principalement impressionnistes. Ainsi, Vincent van Gogh mais aussi Charles-François Daubigny, Paul Cézanne ou Camille Pissarro sont venus y puiser l’inspiration.
« N’oubliez pas que personne ne peut annuler le printemps. » Choisie pour illustrer l’immense exposition qui lui est consacrée à la Fondation Louis Vuitton (David Hockney 25, jusqu'au 31 août), cette phrase de David Hockney résume à elle seule ce qui anime ses pinceaux. La couleur, d’abord : éclatante, omniprésente. Puis la nature, qu’elle vienne de son Yorkshire natal ou de sa Normandie d’adoption – qu’il vient d’ailleurs de troquer pour Londres. Et surtout, la joie. Celle qu’il cueille chez ses amis, dans un bouquet de fleurs, une goutte de pluie ou le reflet bleuté d’une piscine californienne. Loin du cliché de l’artiste torturé, Hockney prône l’enthousiasme et l’exubérance, sur la toile comme à la ville. Jusqu’à se teindre les cheveux en blond dans les années 1960 après avoir vu une pub clamant que « les blonds s’amusent plus ». Portrait en cinq épisodes d’un immense esprit libre.
Alors que le printemps avance à pas de loup, le terrain des expositions parisiennes s’annonce sacrément fertile en ce mois de mars 2025. Histoire de vous guider au milieu des programmations, on a sélectionné trois nouvelles rétrospectives qui vont secouer les cimaises de la capitale, entre célébrations d’artistes afro-descendants et de femmes.
Paris Noir, au Centre Pompidou
Parmi les dernières expositions précédant la fermeture de Beaubourg, c’est celle qui nous fait le plus de l’œil. Du 19 mars au 30 juin 2025, Pompidou présentera Paris Noir célébrant les œuvres de 150 artistes afro-descendants dans le Paris arty de la seconde moitié du 20ᵉ siècle. À travers cette rétrospective qui explorera moult courants artistiques (surréalisme, abstraction afro-atlantique, figuration libre…), l’institution tentera de questionner la conscientisation identitaire de ces artistes, leurs désirs d’émancipation, mais aussi leur rôle clé dans la « redéfinition des modernités et postmodernités ». À voir également : cinq installations et autant de regards contemporains sur le sujet, réalisées spécialement pour l’expo par les artistes Bili Bidjocka, Valérie John, Nathalie Leroy Fiévée, Jay Ramier et Shuck One.
Quand ? Du 19 mars au 30 juin 2025 Où ? Centre Pompidou, rue Saint-Martin, Paris 4ᵉ.
FEMMES, à la Galerie Perrotin
Avec cette expo, la quatrième chez Perrotin, Pharrell va rendre hommage aux artistes questionnant les notions d’identité et de féminité qui l’inspirent. Ça donne un panel tendance piste aux étoiles d’une quarantaine d’artistes, tous genres et générations confondues, issus en grande majorité des diasporas africaines et afro-descendantes. Ce sera l’occasion de voir (à l’œil) les peintures géométriques célébrant la culture Ndebele (un peuple vivant en Afrique du Sud) de Dr Esther Mahlangu ; les œuvres mêlant sérigraphie et tissage de la Kényane Jess Atieno ; les sculptures en terre cuite de l’icône sénégalaise Seyni Awa Camara ; les photos de la star ghanéenne Prince Gyasi ; celles du très modeux Gabriel Moses ; les toiles représentants des figures féminines à l’aide de peinture et tissus de l’Américaine Tschabalala Self ; ou les singulières pièces de Kennedy Yanko, réalisés à base de toiles au sens de peau servant à recouvrir des matériaux. Enfin, on sera aussi très happy de revoir le travail de l’activiste visuel.le sud-africain.e Zanele Muholi, deux ans après son triomphe à la MEP.
Quand ? du 20 mars au 19 avril 2025. Où ? 76 rue de Turenne, Paris 3e.
Corps et âmes, à la Bourse de Commerce
Après l’arte povera en 2024, la Bourse de Commerce commence 2025 avec un riche programme : sous la coupole de l’institution, une quarantaine d’artistes issus (photographes, peintres, plasticien.nes…) auront pour mission de sonder la diversité des liens entre le corps et l’esprit. Rien que ça ! Autant de visions qui permettront - on l’espère - d’aborder toutes les mystérieuses facettes du sujet. Sur le dépliant, on découvre un casting comme d'habitude grandiloquent avec les clichés jamais vus en France de la photographe Deana Lawson célébrant les communautés et identités afro-américaines ; les peintures de la Batave Marlene Dumas interrogent les rapports sexués ; et les sculptures hyperréalistes de l’Américain Duane Hanson démontent nos aspirations occidentales.
Quand ? Du 5 mars au 25 août 2025. Où ? 2 rue de Viarmes, Paris 1er
Qui a dit que voir de l'art coûtait un bras ? En ce moment, Paris déborde d’expos gratuites qui en mettent plein les yeux sans vider le portefeuille. Plongée moite dans les nuits berlinoises, hommage aux femmes noires sous la houlette de Pharrell Williams, et balade photographique à travers l’Italie aux Douches la Galerie… De quoi nourrir l’âme sans sortir un centime. Petit circuit des immanquables.
Les expos gratuites à ne pas rater à Paris en ce moment
THE DOG IN ME, à la Galerie Double V (jusqu'au 29 mars)
Animal totem, muse domestiquée ou miroir de nos névroses ? L’expo THE DOG IN ME, présentée à la galerie Double V, interroge la place du chien dans la création contemporaine. Onze artistes s’y frottent, de Maude Maris à Thomas Mailaender, en passant par Alice Guittard et Elvire Bonduelle, pour questionner notre relation à cet éternel compagnon, entre affection sincère et domestication imposée. Le chien est partout et jamais là où on l’attend : tantôt icône pop, tantôt vestige d’un imaginaire ancestral, il traverse les œuvres comme un double fidèle et ambigu. Des grottes préhistoriques aux selfies Instagram, il accompagne l’humain. Mais qui dresse qui, au fond ?
"The Dog In Me", Galerie Double V
Quand ? jusqu'au 29 mars Où ? 37 rue Chapon, 75003 Paris
FEMMES, à la Galerie Perrotin (du 20 mars au 19 avril)
Pharrell Williams ne se contente pas de produire des tubes : il curate aussi des expos. Et pas n'importe lesquelles. Avec FEMMES, il réunit des artistes autour d’un sujet qui le fascine et l’inspire depuis toujours : la représentation des femmes noires. Pas de discours creux, ni de symbolisme à la truelle. Résultat ? La promesse d'une exposition chorale et percutante, conçue comme un hommage et un manifeste, où près de quarante artistes afrodescendants, toutes générations confondues, déploient leur vision dans un dialogue explosif de formes, de couleurs et d’émotions.
Quand ? du 20 marsau19 avril Où ? Galerie Perrotin, 76 Rue de Turenne, 75003 Paris
Voyages en Italie, aux Douches la Galerie (jusqu'au 3 avril 2025)
L’Italie version Hervé Guibert ? Pas celle des cartes postales. Pas de Vespa rouge, pas de pasta fumante, pas de soleil éclatant. Juste un pays qui se laisse deviner à travers des visages énigmatiques, des corps qui s’abandonnent et des objets qui parlent à sa place. Avec Voyages en Italie, Les Douches la Galerie remonte le fil d’un itinéraire intime, de la Villa Médicis aux rivages de l’île d’Elbe, dernier refuge du photographe-écrivain. Ses clichés sont du morse. Des amis, des amants, figés comme des mythes oubliés : Thierry, nu, taillé comme une statue antique ; Mathieu, un sphinx alanguis ; Christine, une apparition bienveillante. Et lui, furtif, toujours en reflet, comme s’il s’excusait d’être là. Puis ce bureau, figé dans un équilibre bancal : papiers épars, livre entrouvert, jouet abandonné… et ce foutu couteau planté dans le bois. Un geste de frustration ? Une ponctuation brutale ? Un symbole dont il avait le secret ? Va savoir.
Hervé Guibert, "AutoReflet dans fenêtre avec Rollei", 1988. Tampon à sec Hervé Guibert. Tirage gélatino-argentique d'époque
Quand ? jusqu'au 3 avril 2025 Où ? Les Douches la Galerie, 5 rue Legouvé, 75010 Paris
Miniature, une exposition à la loupe, à Artistik Rezo (jusqu'au 5 mars 2025)
Ici, pas de toiles mastodontes ni d’installations qui prennent tout l’espace. Pour fêter ses 10 ans, la galerie Artistik Rezo et le collectif FIGURE misent sur le minuscule avec MINIATURE, une exposition où chaque œuvre ne dépasse pas 5 cm. Autant dire qu’il va falloir plisser les yeux (ou sortir la loupe fournie à l’entrée). Pas de coups de rouleau ni d’effets de manche : chaque œuvre se joue en détails, obligeant l’œil à zoomer, fouiner, s’arrêter sur ce qu’il aurait balayé d’un regard distrait ailleurs. Un vrai casse-tête pour les 80 artistes invités, qui doivent tout dire en un post-it (l'équivalent en termes de taille). Tout est à vendre et à emporter illico. Vous décrochez, vous payez, vous partez. Pas de liste d’attente, pas de facture indécente, pas de « on vous rappelle ». De l’art instantané, comme un bon café : serré et percutant.
Quand ? jusqu'au 5 mars 2025 Où ? Galerie Artistik Rezo, 14 rue Alexandre Dumas, 75011 Paris
NACHTS, à la Cité de la Mode et du Design (du 18 au 21 avril 2025)
Trois nuits pour plonger dans l’underground berlinois, sans traverser le périph’. Après avoir investi le Centre Pompidou en 2023, Mischa Fanghaenel, ex-cerbère du Berghain, débarque à la Cité de la Mode du 18 au 21 avril prochains pour une nouvelle exposition. Ici, inutile de supplier Sven (Marquardt, le physio tatoué qui recale tout le monde au Berghain) à l’entrée : photos, installations et BPM hypnotiques s’emmêlent pour une descente en règle dans l’underground berlinois. Un shoot visuel et sonore, entre la crasse magnétique de Berlin et le vernis décadent de Paris, sous la baguette de FVTVR, l’antichambre créative d’Assembly (le repaire d’Arnaud Frisch), où l’art flirte toujours avec la nuit.
Quand ? du 18 au 21 avril 2025 Où ? FVTVR, Cité de la Mode et du Design, 32 Quai d'Austerlitz, 75013 Paris
Les Jours heureux, Salle Saint-Jean, à l'Hôtel de Ville (jusqu'au 1er mars 2025)
L’été 2024 a filé aussi vite qu’un 100 mètres en finale. Mais pour ceux qui ont encore des frissons en repensant aux Jeux, l’Hôtel de Ville ouvre une ultime fenêtre sur cette euphorie collective avec Jeux olympiques et paralympiques, Les Jours Heureux. Pas un pensum sur l’héritage olympique, pas une expo figée dans le marbre. Juste un shot d’émotions brutes : les cris dans les tribunes, la tension des finales, la magie des cérémonies signées Thomas Jolly. Plongée directe dans le grand bain. On déambule à travers un tunnel où les cérémonies rejouent leur grand show, on fouille du regard les portfolios des photographes qui ont capté l’instant parfait, on frôle les objets cultes qui ont fait ces Jeux. Et pour ceux qui ont encore l’ego en or, un podium olympique attend les bras levés et les sourires vainqueurs.
C’est une molécule d'éther en forme de boule à facettes de l'artiste Jeanne Susplugas qui accueille le visiteur à la Philharmonie. Quel rapport entre l'éther et le disco ? On ne saura pas. Et c’est un peu le caillou dans la platform boot de cette expo Disco I’m Coming Out : on a bien du mal à en tirer des informations.
Au-delà du kitsch
La curation, menée par Jean-Yves Leloup, Marion Challier et Patrick Thévenin, mixe des pièces grand public instagrammables et des éléments de contexte social pour présenter toutes les facettes de ce style musical trop souvent réduit à quelques tubes kitsch. On déambule donc entre sa naissance à partir de la soul américaine dans le cerveau de producteurs de génie, son rôle essentiel dans la culture club (née dans le Loft new-yorkais de David Mancuso à partir de 1970) et la fin de la fête avec l’autodafé de disques disco dans un stade de Chicago en 1979. Une petite décennie éclatante qui marque encore profondément la musique et l'art.
Néons, façettes et égalités des droits
Un néon du Paradise Garage (mythique club de New York), des boules à facettes molles du collectif néerlandais Rotganzen ou la batterie du pionnier français du genre Cerrone côtoient un coin dédié aux luttes de l’époque (un collage des photos de Fred W. MacDarrah de manifs pour les droits des civiques, des gays ou des femmes) et aux icônes queers (le fantastique et trop sous-estimé Sylvester).
Une façon de retranscrire le mélange d’hédonisme et d’activisme qui bouillonnait sur les dancefloors à la fin des 70’s, mais qui se fait malheureusement au détriment de la lisibilité générale. Bon courage pour trouver, par exemple, la définition rythmique du disco, cachée dans une interview en vidéo du batteur Earl Young. Une partie de la (trop) vaste piste de danse reconstituée du Studio 54 aurait pu être dédiée aux différentes évolutions du disco (la Hi-NRG, l’italo, voire la French Touch) pour clarifier un peu le contexte. La diva disco Gloria Gaynor chante I Will Survive, nous, on survole.
Avoir 231 ans et faire sa première fois. Du 24 janvier au 21 juillet 2025, le Louvre accueillera pour la toutoute première fois de son histoire, une exposition entièrement consacrée à la galaxie de la mode. Cette rétrospective sera tricotée par Olivier Gabet et Nathalie Crinière, qui ont annoncé vouloir questionner l’influence des musées et de leurs collections sur les créateurs. Le vestiaire, qui dialoguera donc avec les œuvres du Louvre, devrait être composé de 65 tenues et 30 accessoires haute couture avec, à la volée, des créations Chanel de Karl Lagerfeld – grand arpenteur du Louvre –, ainsi que des pièces griffées Yohji Yamamoto, Dolce & Gabbana, et un focus sur Marie-Louise Carven, “la couturières des petites dames”. Fa-fa-fashion !
Quand ? du 24 janvier au 21 juillet 2025. Où ? musée du Louvre, rue de Rivoli, Paris 1er.
Du Cœur à la main : Dolce & Gabbana
En 2025, Dolce & Gabbana fêtera 40 ans de création. Et trouvera au Grand Palais un écrin à la mesure de son exposition événement inaugurée au Palazzo Reale à Milan. Des inspirations multiples du duo de stylistes (céramique sicilienne, verrerie vénitienne…) aux pièces uniques conçues à la main dans leurs ateliers, l’exposition tisse les mille et un liens entre la culture italienne et cette haute couture de la démesure que cultive la maison. À travers dix salles immersives et une scénographie aussi folle que leurs robes, on se balade dans la tête (et dans le cœur) des créateurs.
Quand ?du 10 janvier au 31 mars 2025 Où ? Grand Palais, 3 avenue du Général Eisenhower, Paris 8e
Temple of Love
En 2025, Rick Owens défilera au Palais Galliera ! Du 28 juin 2025 au 4 janvier 2026, le musée parisien célèbre l’enfant terrible de la mode américaine avec une rétrospective à la hauteur de sa démesure. Au cartel ? Plus de 100 silhouettes sculpturales, des archives jamais vues et des œuvres d’art qui retracent sa carrière, de ses débuts grunge à Los Angeles aux podiums spectaculaires qui ont redéfini l’avant-garde. Tout comme Owens, le musée ne fera pas les choses à moitié, les créations de l’Américain investiront aussi la façade et le square adjacent.
Quand ? du 28 juin 2025 au 4 janvier 2026 Où ? 10 avenue Pierre 1er de Serbie, Paris 16e.
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