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Que faire à Paris cette semaine du 25 septembre 2023 ?

Concerts, expos, films, théâtre, bars, restos : notre sélection des meilleures choses à faire cette semaine du 25 septembre 2023.

Écrit par
La Rédaction
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Ce qu’on aime à Paris, c’est que chaque semaine, il y’a du nouveau à faire. Un bar où les cocktails coulent à flot, un petit bistro de quartier ou une expo pour remplir sa caisse à culture. Chez Time Out, on sait que vous n’avez pas toujours le temps de vous rencarder sur les bons plans parisiens. Ça tombe bien, nous, si. Voici un petit paquet d’idées pour savoir où sortir cette semaine du 25 septembre 2023 à Paris et ainsi donner du coffre à votre vie sociale. Cadeau.

Que faire à Paris cette semaine du 25 septembre 2023 ?

  • Théâtre
  • Comédie

Votre mec/meuf ne vous fait plus rire (d’ailleurs, vous n’en avez pas), l’hiver arrive et vous avez déjà regardé tout The Office (ou Friends) trois fois ? Ça y est : vous êtes prêt à payer pour rigoler. Pas de quoi aller pleurer sur la tombe de Marx pour autant : on est là pour la mise en commun des bons plans. Parce qu’avec l’inflation (des prix et des noms de la scène stand-up), on ne sait pas toujours dans quel chapeau donner du porte-monnaie. Pour toi la commu, on a écumé les salles d’humour parisiennes pour sélectionner nos cinq spectacles préférés du moment, dans un dossier toujours remis à jour. Seuls en scène ou two-men-shows, intimes ou complètement absurdes, “drôles mais pas que”, les performances de notre sélection sont aussi différentes que complémentaires – et devraient toutes vous arracher quelques francs éclats de rire. Allez, ça va aller. 

  • 5 sur 5 étoiles
  • Art
  • Le Marais

Pétrie de clichés, la masculinité ne demande qu’à être déconstruite, afin d’en embrasser toutes les formes et manifestations. Et c’est parfaitement ce que s’attelle à faire Carolyn Drake, dans un ensemble de clichés présentés à la Fondation Henri Cartier-Bresson qui fait un immense pied de nez au male gaze et présente une vision sans artifice des corps masculins. On a déjà vu des mecs à poil dans les musées, mais ils correspondent presque à chaque fois aux canons antiques, abdos saillants et pénis discrets. Rien à voir avec les mille physiques capturés par Carolyn Drake – majoritairement des quinquagénaires ou plus. Etrangement, ces modèles nous dérangent parfois, eux qui sont pourtant bien plus proches de la réalité que l’idéal masculin qu’on nous matraque depuis des siècles.

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  • 4 sur 5 étoiles
  • Bars
  • Bars à cocktails
  • Les Halles
  • prix 2 sur 4

La lune de miel entre le Japon et Paris ne connaît pas de temps mort. Dernier exemple en date avec le Sakaba, situé au sein de la nouvelle épicerie/restaurant/café 100 % japonaise iRASSHAi. Planquée derrière les étals de mirins et autres condiments, la chef-barman Audrey Charpenat (passée par le Lavomatic) joue une partition nippone sans fausse note. Cerise sur le manjū : une sélection d’alcools japonais est disponible sous différents formats à la dégustation. Kampaï !

  • Musique
  • Musique

La nuit tombe, les podiums s’endorment mais les dancefloors ne demandent qu’à se réveiller, car la fashonista n’est pas du genre à se coucher après dîner. Vous l’avez compris, du 25 septembre au 2 octobre, la Fashion Week déferle sur Paris avec sa flopée de hypeux modeux à la recherche des soirées et clubs les plus branchés de la capitale. Soit, en gros, une piste de danse entourée de petites tables où mater et se faire mater compte autant que la musique – et où la porte est plus stricte qu’un total look de Rick Owens. On vous a listé cinq endroits à visiter en cette Semaine de la mode. Un dossier à consulter entre deux séances de bisoutage.

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  • 5 sur 5 étoiles
  • Shopping
  • Musique
  • Montmartre
  • prix 2 sur 4

Changement de face pour Balades Sonores ! Classique du vinyle parisien depuis 2012, la boutique a déménagé à l’été 2023 de ses deux planques de l’avenue Trudaine pour un local de 100 mètres carrés situé à deux mètres (de tissu) du marché Saint-Pierre dans le 18e. Une nouvelle balade bien plus spacieuse au milieu d’un stock mastoc de 50 000 disques - pour l’heure majoritairement du neuf - où il y en a autant pour les habitués que pour les novices. À dégoter dans les bacs ? De la pop-rock indé internationale - toutes époques, labels et sous-chapelles confondus, mais aussi des rayons BO de films, l’ambient, musiques électroniques, jazz et hip-hop.

  • 5 sur 5 étoiles
  • Bars
  • Bars à bières
  • 18e arrondissement
  • prix 2 sur 4

Derrière la façade vert bouteille héritée du vieux bistrot précédent, une salle minimale avec briques grattées, tables en bois et carrelage d’origine où se retrouvent toutes les populations bobos de ce quartier en mutation lente. Le Supercoin, c’est d’abord un chouette bar à bières artisanales et méga locales dont le casting des huit becs est inscrit à la craie sur un tableau. Et pour éponger ces mousses de caractère ? Une salivante offre de sandwichs préparés par le co-patron Augustin Greneche dans sa petite cuisine grilled cheese à base de pain de mie de la boulangerie du Square (à 500 mètres) dégoulinant de mozza et de gorgonzola fondu ; version nippone à l’œuf mariné au soja et aubergines rôties. De quoi vous caler un (super) coin à prix copain.

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  • 5 sur 5 étoiles
  • Art
  • Chaillot

Parmi ce corpus de plus de 200 œuvres de Nicolas de Staël, près d’un tiers n’avait encore jamais été montrées au public français. Le mystère. Voilà qui résume assez bien l’aura de Nicolas de Staël, dont on découvre l'œuvre et la vie au fil d’un parcours chronologique à l’accrochage impeccable. La vie de ce peintre n’a cessé de nourrir son mythe. Celui d’un artiste torturé et incroyablement talentueux. Mais on ne peut pas se contenter de la légende. Extrêmement bien documentée, l’exposition nous permet de sortir de cette boîte à fantasmes pour faire la vraie rencontre de ce passionné passé du dessin à la peinture, du figuratif à l’abstrait, avec toujours la même virtuosité.  Fasciné par la lumière, Nicolas de Staël la peint inlassablement Si les peintures sont évidemment les stars de l’expo, le musée d’Art moderne n’en oublie jamais le contexte et présente notamment des extraits du documentaire de François Lévy-Kuentz, Nicolas de Staël, la peinture à vif, où l’on découvre un petit garçon issu de l’aristocratie russe devenir peintre. Et s’éteindre, 1 100 tableaux plus tard.

  • Musique
  • Musique

A peine les beaux jours finis, la Mamie’s nous offre – pour notre plus grand plaisir – une infidélité festive gratuite en s’unissant le samedi 30 septembre avec Rinse France et le fabuleux soundsystem Tweak pour l’une des sauteries intestables de cet été indien. Une réunion de têtes couronnées de la fête qui se déroulera à l’Eclair, cette nouvelle friche de 2,5 hectares ouverte par Soukmachines dans d’anciens labos de matériel de cinéma. Pendant 12 heures (de 14h à 2h), les noceurs vont claquer de l’ischio devant trois scènes : une Rinse, une Mamie’s et une Tweak. Aucun nom n’a encore filtré mais les connexions de chaque chef de scène laissent rêveur. On rappellera que Tweak a par exemple sonorisé la Fête de la musique du label de Mézigue DKO Records, que Rinse héberge les résidences de Belaria, La Créole ou Kendal, et que la Mamie’s est cul et chemise avec le Camion Bazar ou… Cracki Records. Bref, cette soirée à l’Eclair sent la foudre, et a une bonne gueule d’ultime open air immanquable de la saison. 

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  • 5 sur 5 étoiles
  • Bars
  • Folie-Méricourt
  • prix 1 sur 4

L’Orillon vient d’être repris par la fine équipe de Florent Ciccoli, talentueux tenancier de cantoches (Café du Coin, Recoin). Leur projet ? Ce qu’ils savent faire de mieux : des bouclards de quartier où l’on mange diablement bien, de saison et à prix copain. L’autre midi, le menu entrée-plat-dessert à 22 € commence par une pimpante compo de moules, haricots verts et figues en baignade dans un lait ribot, joyeusement poudrée d’épices. Se poursuit par une gracile gamelle de cochon rôti, chou pointu pourpre attendri, raisin, shiitakés et salsa verde. La serveuse garnit aussi des sandwichs jambon-beurre à l’ail de toute bonté. On y boit une bulle blanche-rouge de chez Robinot parmi une tripotée de vins naturels. C’est de l’or en bar ! 

  • Art
  • Art

Prêt à quitter votre enveloppe charnelle et à embrasser votre alter ego virtuel ? Dès ce week-end et jusqu’au 7 janvier 2024, Némo, la Biennale d’arts numériques, revient pour trois mois d’expérimentations artistiques au-delà du réel. Intitulée “Je est un autre ?”, cette nouvelle édition explore les questions d’identité à l’ère du numérique, jusqu’à, peut-être, nous faire sortir de notre corps – à moins qu’on ne préfère l’augmenter… En plus de son exposition principale au 104, qui présentera notamment une installation XXL de Christian Rizzo, Némo propose tout un tas d’expériences délirantes. Entre spectacles augmentés, concerts immersifs et débats métaphysiques, on vous a sélectionné quatre événements à ne pas manquer. 

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  • 5 sur 5 étoiles
  • Théâtre
  • Champs-Elysées

Cette pièce de théâtre est sans conteste le concert le plus fou qu’on ait vu cette année. One Song, performance collective et jubilatoire de Miet Warlop présentée en ouverture du Festival d’Automne, est un spectacle entièrement inédit. A cheval (d’arçons) entre un concert de rock, une séance de HIIT et un exorcisme collectif, la pièce prend ses appuis sur une même chanson pop-rock particulièrement entêtante, jouée en boucle pendant près d’une heure par les comédiens. Les athlètes, ce sont les musiciens qui s’apprêtent à faire le show… en travaillant leurs abdos. Le chanteur performe sur un tapis de course, la violoniste fait des gammes de gymnastique… La situation confine à l’absurde, tout ça n’a apparemment aucun sens, mais voilà : One Song vibre de bout en bout d’une inexplicable cohérence.

  • Que faire
  • Évènements & festivals

Hauts les cœurs ! La fin des beaux jours a sonné… Enfin, pas tout à fait. Pour clôturer l’été – et fêter sa fermeture –, notre friche préférée Jardin21 organise une ultime bamboche ensoleillée. Ce samedi 30 septembre, de 12h à 4h du matin, l’ancien verger posé sur le canal de l’Ourcq va arroser une dernière fois son potager avant de rempoter pour l’hiver. Soit plus de 10 heures de festivités en toute gratuité. Avant la déconfiture, donc, l’atelier confiture (à 15h, avec les derniers coings du jardin). Pour garder le sourire toute la journée, on enchaîne avec un blind test sobrement intitulé le “bad bitch meufs revenge song” à 17h, suivi d’une session écolol du plateau de stand-up nomade 100 % bio, le Greenwashing Comedy Club (car, comme dirait l’autre, rira bien qui triera le dernier). Si vous voulez juste une dernière danse avant l’ombre et vous savez quoi, ça se passe de 20h à 4h du mat’.  

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  • Restaurants

Si les détails d’un lieu « branché » varient avec le temps, le principe, lui, reste intangible depuis les premières huttes humaines : ce sont les endroits qui cochent toutes les cases du loto de l’époque tant en termes de nourriture (les tapas hier, le végétal demain ?) que d’atmosphère. Des lieux où la clientèle, le look et la musique comptent autant que l’assiette. On y va pour glaner le futur du cool ou se sentir adoubé par la grande famille de la hype, mais aussi pour dauber sur le retour de Von Dutch (mais vous aviez dit la même chose de la banane), avant d’aller guincher dans le club qui va bien. Bref, pendant ou après la Fashion Week on a tous une bonne raison de chercher les restaurants les plus branchés de Paris. Enfilez vos claquettes Lidl et en avant !

  • 5 sur 5 étoiles
  • Restaurants
  • Espagnol
  • 20e arrondissement
  • prix 2 sur 4

Un décor qui claque où Iñigo Ruiz Rituerto, chef basque-espagnol passé par le Jourdain, illumine tout le quartier avec sa formule magique du midi. Pour 20 €, on se régale d’une cuisine simple, équilibrée et franche. Entame avec un velouté froid de carotte électrisé par des pickles de poivron, qui tient en respect l’inquiétante chaleur de ce mois de septembre. Avant de voir débarquer une moelleuse courgette farcie aux légumes, feta et grains de riz croustillants sous une sauce piquante mojo picon directement importée des Canaries. Toujours prompt à lutter contre l’inflation, le chef propose aussi un combo sandwich et dessert (13 €) avec des recettes qui changent tous les jours. Le soir, l’ambiance passe prestement les Pyrénées avec des assiettes à partager : ajo blanco (soupe froide d’amande) ; tacos basque au thon et poivrons ; tempura de poulpe ; arancini de paella… Muy bueno !

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  • Restaurants
  • Dans nos Assiettes

Vous regrettez la canicule estivale, les joues rouges et les tempes moites ? Le collectif Hot In Here vous a compris et installe un dôme de chaleur sur vos papilles avec la deuxième édition de leur festival du piment Paris on Fire chez HOBA, la halle installée dans le parc Martin-Luther-King. On y retrouve les ingrédients qui ont fait le succès du premier rendez-vous comme le concours de mangeur de bouchées de plus en plus chargées en capsaïcine, des dégustations de sauces à la limite de l’arme à feu sélectionnées par Sauces Piquantes Review, et les défis de la Spice Roulette (oserez-vous manger ce bonbon apparemment inoffensif ?). On pourra aussi faire chauffer le dancefloor avec les mix caliente de Pepiita, Babouche et CEO, slurper un bol exclusif concocté par Just Ramen, remplir son cabas ignifugé des bombes choisies par Penny and Ka ou participer à un atelier pour fabriquer sa propre sauce pimentée. Alors, qui est chaud ?

  • Musique
  • Musique

Le samedi 30 septembre, la Prairie du Canal, la ferme installée dans une ancienne usine de mobylettes à Bobigny, va moissonner la deuxième saison du festival Ici C’est Prairie. Sur l’étiquette, toujours les mêmes ingrédients : du rap, des sports urbains et des plantes. Sur les 2 000 mètres carrés de l’exploitation, les orgas planteront deux scènes où l’on croisera essentiellement des têtes du rap encore vertes. Dans la prog : Jwles, aventureux rimeur adoubé par Rim’K dont les prods se sont récemment teintées d’électronique, mais aussi deux cartes blanches filées aux diggers de pépites que sont les collectifs Chineurs de Rap et Professeur Promesses. Le reste du programme sera traversé de plans jardinage, vente de plantes et bails sportifs. L’an dernier, il y avait du roller, de l’escalade mais aussi du parkour et du skate.

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  • 4 sur 5 étoiles
  • Musique
  • Arts et Métiers

Ouverte en 2021, l’échoppe du 11 rue Vertbois est le maillon vinylistique de Rupture, cette chaîne arty façonnée par Alexandre Sap qui se déploie à travers quatre villes et trois pays entre galeries, librairies et disquaires. Et pas de doute, ce café-disquaire fait partie de la maison, avec sa dégaine ultra-lookée pensée par le designer Pierre Gonalons. Ici, l’ambiance est au chinage contemplatif, où, entre café et bière, à savourer sur les assises molletonnées, vous allez enchaîner, doucement, les bacs. Un conseil, soyez curieux : car si le stock n’est pas énorme – 2 500 réfs tout de même, majoritairement de l’occase mais aussi des nouveautés pointues –, il y a largement de quoi ressortir heureux.

  • 5 sur 5 étoiles
  • Art
  • 4e arrondissement

C’est la rencontre que le monde de la photo attendait : celle de l’immense fonds du Musée national d’art moderne et de la collection de Marin Karmitz, fondateur des cinémas MK2 et grand amateur de photographie. Organiser ce type de dialogue avec une parité quasi totale n’avait encore jamais été tenté par un musée d’une telle envergure. On prévient : l’expo fera date. C’est à travers le très vaste sujet du corps que les œuvres de Beaubourg et de Marin Karmitz conversent, offrant un véritable best of de la discipline en sept sections, où la chronologie s’efface au profit d’un parcours thématique. Si, bien évidemment, on se presse pour découvrir les chefs-d’œuvre iconiques de la photographie, ils deviennent surtout intéressants lorsqu’ils sont confrontés à des clichés moins connus. Cet ensemble de plus de 500 photographies et documents, à la qualité déjà indéniable, prend une tout autre dimension grâce aux différentes “manières de voir” qui sectionnent la déambulation.

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  • 4 sur 5 étoiles
  • Restaurants
  • Fast-foods, snacks et sandwicheries
  • Saint-Ambroise
  • prix 2 sur 4

Voilà un petit deli cornaqué par David Kelly, passé par Sausalito, où tous les exilés de Sa Majesté (et les curieux de cette cuisine) vont pouvoir retrouver le goût des pauses déj à la mode brit. On entame avec une pork pie (une boulette de viande habillée de pâte) un peu étouffe-anglican malgré le trempage dans l’excellent ketchup du chef à la prune et au chipotle. Le sausage roll saupoudré de fenouil avec une saucisse maison convainc nettement plus. On enchaîne avec un enthousiasmant sandwich végé (houmous de carotte, curry bien relebé, roquette et coriandre) dodu comme une joue de Churchill. Le classique de la maison au rôti de bœuf et raifort n'a pas l’air mal non plus. Pour s’hydrater, nulle Guinness mais des sodas Karma. En dessert, c’est une part de flapjack, gâteau aux flocons d’avoines et au golden syrup (une sorte de mélasse anglaise) qui pousse loin les potards de la glycémie.

  • Shopping
  • Librairies
  • prix 1 sur 4

Chers lecteurs, chères lectrices, avec ce dossier, vous venez de trouver le marque-page à même de vous aiguiller dans le touffu rayon des librairies à Paris. Si le secteur souffre assurément de l’ogre numérique, les boîtes à livres parisiennes continuent de résister avec un solde ouvertures/fermetures positif en 2022. Dans cette sélection non exhaustive mais aussi longue qu’une phrase de Marcel Proust, on a sélectionné les librairies avec un petit truc en plus, une allure particulière ou un fonds qui dépote. Que vous soyez à la recherche d’un fanzine introuvable, d’une ambiance chaotique ou d’un vendeur de BD passionné, croyez-nous, vous trouverez votre bonheur ici.

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  • 4 sur 5 étoiles
  • Restaurants
  • Méditerranéen
  • Saint-Georges

Le soir, chez Gargouille, ça dépote de petites assiettes qui enquillent les miles autour de la Méditerranée, à faire couler avec des jajas nature. On a vu plus original comme proposition mais le binôme Jules Behar et Félix Barthe (venu de chez Guy Savoy) maîtrise si bien son sujet qu’on se laisse emporter sans rechigner. Déboulent sur la table, rapidement débordée, un labneh plus suave qu’un crooner italien à attaquer à coups de pita au zaatar ; un frais carpaccio de sériole sous des amandes et un pesto d’asperge puis une courgette farcie aux légumes alanguie sur une crème de feta et un éboulis de tomates rôties. Angoissés à l’idée de sortir sans sucre, on se laisse tenter par une maousse baklava qui remet la glycémie à niveau. La carte des vins baguenaude loin des sulfites ajoutés avec beaucoup de propositions au verre. Inutile de faire la grimace, Gargouille est une bonne adresse !

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