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© Sonic Protest

Que faire à Paris ce week-end du 22 au 24 mars 2024 ?

Concerts, expos, films, théâtre, bars, restos : notre sélection des meilleures choses à faire ce week-end à Paris !

Écrit par
La Rédaction
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Les Parisiens l’attendent tel le (Leo) Messie. Tous les jeudis, les groupes d’amis échafaudent leurs plans d’attaque, entre nuits sans fin, expos à gogo ou restos tout chauds. Vous l’avez reconnu : le week-end est en approche ! Comme d’habitude, chez Time Out Paris, on a trié notre caddie de bons plans au tamis pour vous savoir quoi faire à Paris ce week-end du 22 au 24 mars 2024 et avoir plein d’anecdotes à raconter lundi.

Les meilleurs plans du week-end du 22 au 24 mars 2024

  • 5 sur 5 étoiles
  • Bars
  • Bars à vins
  • 19e arrondissement
  • prix 2 sur 4
  • Recommandé

Nouveauté dans la clique de Chambre Noire : Centre Culturel, une vaste cale à deux salles dans un ancien garage à scooters retapé en spacieux barav à tomettes, banquette de bois blond et cuisine bien équipée où des chef(fe)s résident(e)s viennent occuper la cambuse. Dans les gamelles ce soir-là, une popote d’inspi sicilienne, impeccable pour éponger, ourdie par la cuistote affûtée Tori Sharp : bol de pâtes larges comme des boucles de ceinture dans une sauce puttanesca (tomate-piment-anchois) ; pimpante salade de feuilles de saison astiquée de bagna cauda (sorte d’anchoïade). Mais pour l’heure, dans les verres, on fait pleuvoir les jus habituels de l’arsenal de Chambre Noire avec une prédilection pour les vins allemands pas bus ailleurs, comme ce succulent pinot noir de Moselle par Madame Flöck (40 € la bouteille), parmi des dizaines de refs conseillées par la superlative sommelière Leonora Nørtoft Saabye. De l’autre côté de ce local, il y a la même surface (encore dans le zbeul des travaux à notre passage) qui va vite devenir espace d’expos, d’événements et de concerts, calfeutrée par une grande armoire à pinards.

Au festival Chorus, un grand panorama des scènes rap francophones
© Dinos

2. Au festival Chorus, un grand panorama des scènes rap francophones

Bien sûr, le festival Chorus des Hauts-de-Seine n’est pas qu’un festival de rap, loin de là… Mais que la partie rap est belle avec nombre de scènes différentes (mais peu de femmes) représentées ! On repère des top noms comme SDM, Dinos, Yamê, Favé ; Luidji et Tuerie de la bande Foufoune Palace aux voix de cristal-texte ; le Montreuillois Prince Waly ; le Nordiste Bekar ; et les nouvelles têtes Yvnnis, Danyl, RSKO ou Houdi. Dans le reste du dépliant, de très belles choses (et plus de femmes !) : Amahla, Chloé, Silly Boy Blue, Greentea Peng, Imarhan, le Jet Lag Gang ou Vanille. 

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  • 4 sur 5 étoiles
  • Bars
  • Bars à cocktails
  • Le Marais
  • prix 3 sur 4
  • Recommandé

Aux manettes de cette élégante adresse pierre, bois et lumière tamisée d’une douzaine de places, on trouve Frédéric Paolini, nippophile 3e dan en veste blanche, qui a œuvré dans le silence ouaté d’Ogata. Son but avoué ? Atteindre le niveau ultime du service à la japonaise, anticiper les désirs des clients en conservant une discrétion de ninja. Reste qu’il propose une carte de cocktails ramassée d’un équilibre fou comme ce Scottish Hunter (scotch Islay, Drambuie, sirop de gingembre) puissant et épicé au goût fumé délicat, ou le frais et herbeux Emerald Splash (umeshu, Chartreuse verte, tonic). A noter que la glace est taillée par le patron tous les jours à partir d’un gros bloc pour garantir un contrôle total de la dilution des potions. On accompagne cela de superbes collations japonaises (les otsumami) à prix tenus. Une parenthèse japonaise réussie !

  • Que faire
  • Vivre en Ville

Le dimanche 24 mars, la Course des garçons de café, inventée au début du XXe siècle et rebaptisée Course des cafés dans un souci de parité, prendra un nouveau départ sur le parvis de l’Hôtel de Ville. Rien à faire des JO : nous, on veut voir la guerre des plateaux. Le jour J, quelque 200 serveuses et serveurs professionnels s’affronteront sur un parcours de 2 km formant une boucle dans le Marais, avec un village plein d’animations pour les spectateurs sur le parvis. Chaque participant se verra affublé d’un plateau sur lequel seront posés un verre d’eau, un croissant et un café, l’objectif étant de franchir le plus vite possible la ligne l’arrivée sans rien faire tomber (en marche rapide et non en courant, on n’est pas des sauvages). Au-delà de la performance, on sera là pour le drama : que celui qui n’a jamais applaudi un plateau de bières s’effondrant par terre nous jette la première pierre. 

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  • 4 sur 5 étoiles
  • Restaurants
  • Fast-foods, snacks et sandwicheries
  • Louvre
  • prix 2 sur 4
  • Recommandé

Voilà donc Micho, l’émanation durable de l’éphémère boutique de sandwichs lancée rue de la Michodière (d’où le nom) par Julien Sebbag durant la funeste période Covid. L’adresse a une bonne dégaine de deli brooklynite avec un long comptoir où harponner un mange-debout pour boulotter en regardant bosser les cuistots, des vieux postes de radio, du bois blond. La carte propose cinq sandwichs d’inspi séfarade : havita (omelette fine aux herbes), shawarma de poulet et aubergine… On opte pour le stew. Le moelleux pain brioché hallah, concocté par ces fortiches de Mamiche, enserre un ragoût de bœuf émietté délicieusement juteux, coloré de tahiné, de pickles de chou rouge et croustillé par des morceaux de noisette. Un grand sandwich aussi gourmand que régressif, bon à se lécher les doigts. En liquide, quelques quilles nature à piocher sur les étagères (La Grande Ourse de Pascal Chalon, Sansoufrir de Claude Quenard), bière La Mie ou infusion Le Bénéfique. Pas d’avis tiède, Micho, c’est complètement bon.

  • 5 sur 5 étoiles
  • Art
  • Recommandé

Plus qu’une expo où l’on contemple les œuvres avec distance, cet événement invite le visiteur à vivre une expérience sensible où l’on peut toucher les matériaux, s’asseoir sur les sièges signés Studio Mumbai (fondé par Bijoy Jain) ou slalomer entre les sculptures simplement posées au sol. Ici, la matière est reine. On vit dans l’architecture, on s’aime, on pleure, on vieillit entourés de murs. Avec l’humble discrétion qui le caractérise, l’Indien explore et grappille du côté de la sculpture, de l'artisanat, du design d’objet. Et puisqu’il ne s’agit pas d’une exposition comme les autres, ne cherchez pas les cartels explicatifs à côté des pièces : il n’y en a pas. Deux choix s’offrent à vous : vivre pleinement cet instant presque méditatif ou vous diriger vers les médiateurs dispersés un peu partout, qui se feront un plaisir de vous aiguiller. Nous, on a choisi la première option.

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  • Musique
  • Musique

A chaque mois de mars depuis 2003, le Sonic Protest revient faire chavirer les normes musicales établies et ouvrir au pied de biche les synapses du public en honorant les franges les plus curieuses et libres des musiques expé, improvisées, bruitistes et sans-dénominations stylistiques. Il semble difficile de ne pas commencer par les deux concerts de Ryoji Ikeda à l’Ircam. Sensei trapéziste des fréquences électroniques, le Japonais présentera pour la première fois en France son album Ultratronics sorti en 2022. Aussi à voir ? La soirée où se côtoient la plasticienne/lyriciste Anna Holveck et le Sexton Ming’s Porridge Van, projet de l’inclassable Anglais Sexton Ming ; le passage des impétueux noiseux Suédois de Brainbombs ; les 7e Rencontres autour des pratiques brutes de la musique ; ou la venue des hurluberlus belges de Spagguetta Orghasmmond, dont les titres sonnent comme un groupe de village d’Emilie-Romagne qui aurait mangé un orgue Hammond.

  • Que faire
  • Évènements & festivals

Dans son nouveau spectacle, joué à guichets fermés ces jours-ci à Paris, Waly Dia parle d’un monde où les racistes ont leur chaîne dédiée à la télé. En mars, l’humoriste politique se voit offrir l’occasion de leur donner une petite leçon… en vous faisant la dictée. Du 19 au 24 mars, le Grand Festival est de retour au palais de la Porte Dorée, et avec lui un de nos rendez-vous grand-parisiens préféré : la dictée pour tous. Un événement qui s’inscrit dans la Semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme. Voilà dix ans qu’Abdellah Boudour organise ces dictées géantes, ouvertes à toutes les générations. Pour cette édition anniversaire, le casting de lecteurs est un vrai sans-faute. Sur l’estrade, aux côtés du comédien Waly Dia, la championne du monde de boxe Sarah Ourahmoune et la journaliste Emilie Tran Nguyen, toutes deux unies dans la lutte contre les discriminations.

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  • 4 sur 5 étoiles
  • Bars
  • Bars à cocktails
  • Pigalle
  • prix 2 sur 4
  • Recommandé

Côté salle, Minore semble avoir gagné à la loterie immobilière : des volumes harmonieux entre le beau bar central et la salle en bois brut, la chouette terrasse déjà prête pour les apéros estivaux. En attendant le lancement des solides mitonnés par Katsuaki Okiyama (ex-Abri Soba), accoudé au comptoir cintré, on se rabat sur la courte carte de cocktails ciselée par le co-taulier Hugo Combe (bar Classique). Pas d’esbroufe, juste de l’équilibre. Le Shuriken, version nipponne de la margarita agrémentée de wasabi, fruit de la passion et vinaigre de cerise, caresse les papilles dans le sens du bon. Et le Tsundoku mixant whisky, rhum, sherry, sarrasin et lassi de kiwi essaime à pas de velours toutes ses saveurs. A peine ouvert, ce Minore s’annonce déjà comme un bar majeur. Reste à tester les plats du soir et la salle secrète du bas.

Un mois rock girl power à la Mécanique Ondulatoire
© La Mécanique Ondulatoire

10. Un mois rock girl power à la Mécanique Ondulatoire

A la Méca en mars, c’est girl power ! Tout au long du mois, la scène de la mythique et longtemps endormie salle rock de Bastille sera réveillée par des artistes/groupes femmes en majorité. Dans la liste, on repère la résidence électronique de la webradio Station Station avec les artistes Machka, Clara Le Meur et Marie la Nuit ; le passage de la folkeuse expé Lucy Sissy Miller ; la noiseuse Méryll Ampe ; ou les ambiances plus grunge des Pythies. On a consulté la nôtre (de pythie) : vous allez passer beaucoup de temps à la Méca ce mois-ci !

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  • Que faire
  • Évènements & festivals

Les 23 et 24 mars, le festival Le Goût de M y célébrera l’idée de “seconde vie” dans les domaines de la culture, de la mode, du design ou de la gastronomie, à travers des rencontres, workshops et performances. Le lieu accueillera également un café, un ciné et des séances de shooting réalisées par les photographes préférés du MCôté programmation, on pourra compter sur la participation d’anciens et actuels élèves de l’Ecole Duperré. On s’attend aussi à retrouver certains créateurs et artisans précédemment invités dans le podcast Le Goût de M et dans les pages du magazine, comme le designer Simon Porte Jacquemus (!), dont la participation a été annoncée via Instagram. 

  • 4 sur 5 étoiles
  • Restaurants
  • Etats-Unis
  • Poissonnière
  • prix 2 sur 4
  • Recommandé

Dans le 10e, Capucine et Juliette Vigand, aussi américaines qu’un brie de Meaux mais vraies amoureuses de la Californie, continuent de creuser le sillon US du Cali Sisters, leur première adresse avec une carte 100 % US ascendant healthyOn peut y fourchetter des brunchs toute la semaine jusqu’à 16h avec avocado toast, gaufre au mascarpone ou granola maison. N’étant pas en jet-lag post-Coachella, on opte plus classiquement en ce midi pluvieux pour un burger des familles. Un bon sandwich qui fait nettement le taf. On ne peut malheureusement pas en dire autant du cheesecake, présenté comme une icône du lieu mais moins digeste qu’une casquette MAGA. On pioche des verres soit dans la mini-carte des vins (pinot noir californien du St George Vineyard), soit dans celle des cocktails carénés pour le brunch (Bellini, Mimosa). Mais pour respecter ses chakras, il faut opter pour un golden latte au curcuma ou un jus détox vert Hulk pomme-épinard-concombre. Et les soirs de fin de semaine, Uptown se mue en festaurant. Let’s go !

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  • Musique
  • Musique

Pendant un mois, c’est fréquence 93 pour le meilleur du jazz. Car oui, elle a beau être estampillée terre de rap, la Seine-Saint-Denis héberge aussi Banlieues Bleues, festival germinal célébrant depuis 1984 les plus belles scènes jazz et musiques du monde. Pour vous donner une idée de l’élasticité du spectre proposé, regardons des deux côtés du calendrier : alors que le lever de rideau sera marqué par la création de la harpiste souliste Sophye Soliveau, c’est la jazzwoman multi-instrumentiste chicagoane Angel Bat Dawid, flanquée de son groupe entièrement féminin Sistazz of the Nitty Gritty, qui le refermera. Entre ces deux dates, c’est du nectar dans toutes les chapelles stylistiques avec (entre autres) cette soirée réunissant les deux figures maliennes que sont la chanteuse Mamani Keita et le virtuose de la guitare Vieux Farka Touré (fils du légendaire Ali) ; ou la date du duo père-fils guitare-violoncelle Pedro Soler et Gaspar Claus. Comme d’hab, rap, world ou jazz, 93 tu peux pas test !

  • 4 sur 5 étoiles
  • Restaurants
  • Grec
  • Mairie du 18e
  • prix 3 sur 4
  • Recommandé

A 800 mètres au nord de son Etsi bistrot, la cheffe Mikaela Liaroutsos a ouvert une autre ambassade bleu Égée de la cuisine grecque. Une ouzeri, soit un bar à ouzo où on vide des godets et on picore des petites assiettes ensoleillées. La carte déborde de k, de a, et surtout d’enthousiasmantes recettes pas mangées partout qui arrivent en escadrille sur le guéridon. En plus de calamars frits bien crousti, on pioche un velours de houmous de pois cassé et une généreuse et moelleuse salade pikantiki au chou, carotte, poivron et pignon. Après ces entrées arrive le plat de résistance, une généreuse (et fabuleuse) portion végétarienne de pleurotes grillées aux épices qui ressemble de façon assez saisissante à un gyros tradi ! On fait couler tout ça avec un convainquant cocktail Live Your Greek Myth (mastikha, retsina, vermouth) plus facile à vider qu’à prononcer, quelques vins de la péninsule (Roditis nature du domaine Tetramythos, droit comme une colonne dorique) ou une courte proposition d’ouzo pour les amis d’anis.

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  • Cinéma
  • Cinéma

A une époque où aller au cinéma relève quasiment du luxe (au moins 12 balles la place vingt dieux !), voici le retour d’un classique qui fait plaisir. Du dimanche 24 au mardi 26 mars, le Printemps du cinéma, cette initiative lancée en 2000 par la Fédération nationale des cinémas français et soutenue par le CNC (le Centre national du cinéma et de l'image animée), revient éclairer les salles obscures avec son numéro magique : toutes les séances à 5 € dans les cinémas partenaires, peu importe le film ou l'horaire.

  • 4 sur 5 étoiles
  • Bars
  • Bars à cocktails
  • Le Marais
  • prix 2 sur 4
  • Recommandé

Mesures veut faire vibrer le Marais toute la journée à coups de petites assiettes nipponnes, cocktails chiadés et bande-son analogique. La carte des cocktails imaginée par Guillaume Castaignetvenu du Très Particulier, se montre assez exubérante et très technique (ingrédients recherchés, glace taillée) mais échappe à la monomanie jap’. On entame ainsi avec un puissant Haitian Fight Song (d’après un morceau de Mingus) mixant arbois-savagnin de Jérôme Arnoux, rhum, whisky et sirop de banane aux subtiles notes cacaotées. Nettement plus frais et anisé, le Gus (blanche de Normandie, rhum, réduction de cidre, émulsion de poire et fenouil) donne l’impression de se balader dans les prés salés en face du Mont-Saint-Michel. Ça ouvre les chakras pour la grignote du soir. Derrière le comptoir en marbre, Benoît de Bonnefamille, musicien et ancien DA du Très Particulier, enquille des incunables jazzy et funkoïdes tirés des étagères pour une ambiance ouatée et très sage. 

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Au Lido 2, une nouvelle version du Rocky Horror Picture Show
Rocky Horror Show © Lido

17. Au Lido 2, une nouvelle version du Rocky Horror Picture Show

Cultissime, le Rocky Horror Picture Show est peut-être le seul “opéra-rock” à pouvoir se prévaloir d’une image authentiquement punk, et reste subversif cinquante ans après sa création en Angleterre. Entre les costumes dantesques et débridés de Sue Blane, qui préfigurent dix ans en avance l’esthétique d’une Vivienne Westwood, son impact considérable sur la scène drag et plus largement sur la culture queer, le musical (adapté en film un an seulement après sa création) est une revigorante ode à la transgression et au burlesque. Entre le film d’épouvante et la série B, le scénario raconte l’histoire d’un couple très “straight” (et un peu timoré) qui se retrouve coincé dans le château du magnétique et effrayant Dr Frank-N-Furter… Joué dans sa version originale au tout nouveau Lido 2 en 2024, il se pourrait bien que ce soit le show de l’année.

  • 4 sur 5 étoiles
  • Art
  • Rennes-Sèvres
  • Recommandé

Pour explorer la vaste thématique de la sobriété, la Fondation EDF a confié les clés à un commissariat collectif au sein duquel scientifiques et artistes bossent main dans la main pour rêver un monde plus sobre et imaginer une expo aussi marquante qu’impactante. Une vingtaine d’artistes explorent le sujet, tantôt pour donner à voir les effets concrets du changement climatique, tantôt pour essayer d’apporter des solutions à ce stress généralisé. Et si les nouvelles ne sont pas bonnes, elles sont pour eux l’occasion de créer le débat et d’éveiller les consciences, à l’image de la mosaïque XXL de Moffat Takadiwa réalisée à partir de déchets plastiques. Basée sur un ensemble éclectique où se mêlent art vidéo, peinture, photo ou installation, l’exposition joue la carte du waouh pour tenter de bousculer les consciences, sans oublier d’apporter une médiation pour offrir aux visiteurs les clés de compréhension nécessaires.

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A la Renaissance, le nouveau spectacle politique d'Alexis Michalik
Passeport, photo de répétition © Alejandro Guerrero

19. A la Renaissance, le nouveau spectacle politique d'Alexis Michalik

Après avoir adapté sa dernière pièce, Une Histoire d’amour, au cinéma, et s’être essayé à la comédie musicale, Alexis Michalik revient au théâtre. Un retour (comme toujours) très attendu… là où ne l’attend pas. Pour sa nouvelle création présentée dès le mois de janvier au théâtre de la Renaissance, l’auteur et metteur en scène se confronte à une réalité plus politique (plus humaine, pourrait-on rétorquer) que jamais. Suivant l’itinéraire d’un jeune réfugié érythréen depuis la “jungle” de Calais, Passeport ne se veut pourtant pas “engagée”. Depuis sa première pièce, Le Porteur d’histoire, le dramaturge a avant tout à cœur de raconter. Il fallait bien que ses petites histoires rencontrent un jour la grande.

En vrac :

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