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Façade de bistrot et terrasse
©Gramme

Que faire à Paris ce week-end du 24-26 mars 2023 ?

Concerts, expos, films, théâtre, bars, restos : notre sélection des meilleures choses à faire ce week-end à Paris !

Écrit par
La Rédaction
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Les Parisiens l’attendent tel le (Leo) Messie. Tous les jeudis, les groupes d’amis échafaudent leurs plans d’attaque, entre nuits sans fin, expos à gogo ou restos tout chauds. Vous l’avez reconnu : le week-end est en approche ! Comme d’habitude, chez Time Out Paris, on a trié notre caddie de bons plans au tamis pour vous savoir quoi faire à Paris ce week-end du 24-26 mars 2023 et avoir plein d’anecdotes à raconter lundi.

Les meilleurs plans du week-end du 24-26 mars 2023 ?

Si le Grand Paris Express se fait encore attendre, le Grand Pairing de Time Out arrive, lui, à quai du 20 au 26 mars 2023. Pour sept dates dans sept adresses qu’on adore, ce rendez-vous exceptionnel vous propose de vous attabler afin de déguster les meilleurs accords entre assiettes et cocktails imaginés par des duos inédits de chef(fe)s et de mixologues. Plus éphémères que les relations de DiCaprio, ces mariages ne vont durer que le temps d’un repas tout en équilibre et inventivité. Autant dire que, comme le train des vacances, le Grand Pairing, ça ne se rate pas.

  • 4 sur 5 étoiles
  • Restaurants
  • Folie-Méricourt
  • prix 2 sur 4

Time Out vous fait découvrir ce resto le temps d'un dîner comprenant 5 plats et 5 cocktails à 50€ ! Plus d'infos.

Collé (gramme) à la Maison des métallos, ce resto lumineux accueille à bras ouverts tout le quartier, du premier granola du matin au dernier verre de rouge du soir. Et le midi ? Marine Gora la taulière et Justine Audouin (passée par les fourneaux du Babel) y concoctent à quatre mains de solides assiettes de brasserie – on y croise un rosbeef ou un chou farci. Comme ce croquant coleslaw de chou-rave et topinambour fermenté, caressé d’une mayo pimentée, ou ce bol herbeux et fumant de soupe de riz aux shiitakés et huile pimentée où folâtre un œuf parfait dans un buisson de kimchi. Cette pause dej rassérénante s'achève par un impeccable combo expresso cookie choco. Le soir, Gramme 11 change de cheffe (Anaïs Lechat, passée par Bang Bang) et de carte, pour une ambiance tapas nocturnes qui demande encore un peu de réglages. Et le dimanche, c’est un brunch dont les places s’arrachent déjà.

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  • Musique
  • Paris et sa banlieue

Quarantièmes rugissants pour Banlieues bleues ! Du 24 mars au 21 avril 2023, le festival pionnier célébrant les musiques du monde entier et le jazz dans toutes ses formes et filiations dépliera sa 40e (!) édition dans 12 salles dispersées dans toute la Seine-Saint-Denis (dont deux à Paris). Sur la quarantaine d’artistes, on croise : l’expé-saxophoniste Steve Lehman ou l'Egyptienne Nadah El Shazly. Autres noms sur la prog : le poète/jazzman chicagoan Ben LaMar Gay, la harpiste Sophye Soliveau ou l’estimable escouade du label portugais Príncipe, figure de proue de la batida, ce furieux genre mélangeant kicks électroniques, kuduro angolais ou funaná cap-verdien. 9-3 tu peux pas test !

  • 5 sur 5 étoiles
  • Art
  • 1er arrondissement

En 1929, à l’aube de sa sixième décennie, le peintre Henri Matisse entame une remise en question qui se matérialise par un changement de style radical. En quête d’inspi, Matisse la joue comme Gauguin et se barre à l’autre bout du monde, direction Tahiti. Un voyage synonyme de rupture qui le poussera à repartir vers les Etats-Unis pour se confronter à ses premiers travaux avec un œil aussi neuf que critique. Rassemblant une centaine d’œuvres dans une scéno parfaitement conçue, l’expo s’appuie sur quelques pièces d’exception rarement (voire jamais) exposées en France, comme Le Chant (1938). Dessins préparatoires, sculptures, archives, photos… La diversité des formats atteste de la profusion créative qui suivit son passage à vide. Si l’on craignait un truc peu inaccessible, il n’en est rien. Médiation et curation impeccables mettent parfaitement en valeur le travail de Matisse et sa capacité à se réinventer.

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  • Musique
  • Jussieu

Alors que son expo célébrant les cultures queers dans le monde arabe se clôture le 19 mars, l’IMA annonce du rab en programmant dans ses sous-sols deux soirées voguing en cheville avec l’entité Paris Is Voguing. Thématiques, les dates seront façonnées autour d’un diptyque danse/DJ sets : le 24 mars, les danseurs poseront leurs moves dans une ambiance inspirée du cinéma égyptien des années 1960 ; le 3 juin, leurs compères seront immergés dans les clubs gays du Harlem des années 1920. Hip hip habibi !

  • 4 sur 5 étoiles
  • Bars
  • Bars à cocktails
  • 10e arrondissement
  • prix 2 sur 4

A la barre de cette fraîche adresse de la rue Saint-Maur, on trouve deux Américaines affichant une inclusivité LGBT à toute épreuve. Jennifer Crain et Allison Kave (passée par le Butter & Scotch à Brooklyn) ont ciselé une salle toute claire avec papier peint géométrique, grandes banquettes et petites attentions qui font la diff comme ce délicat shot de bienvenue et la grignote 100 % végé. Pour autant, la carte des cocktails ne fait pas tapisserie avec des recettes (dont trois à la tireuse) joyeusement twistées par Allison. On entame avec un Cel-Ray, gin-to pas bateau rafraîchi qu’il est par un soda maison au céleri et un trait d’aquavit. Autre spécialité inspirée des racines sud-américaines de Jennifer, le Lac Titicaca, un pisco sour au jus d’ananas allumé par du piment et du curcuma. Bref, des sourires, des bons verres, une BO pop 70's affable, voilà un bar qui déborde de gentillesse et qui donne la pêche.

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  • Shopping
  • Musique
  • Saint-Ambroise

Nouveau tour de platine pour Paris Loves Vinyl ! Dimanche 26 mars, l’événement diamant des ventes de vinyles revient avec la quatrième édition de la Paris Vinyl Sale, sa version braderie. Pour lancer le printemps, le raout investit les trois étages du Bastille Design Center, un classieux bâtiment industriel du XIXe siècle. La formule ne bouge pas : les prix des vinyles commencent à 2 € et ne dépassent pas 10 balles.

Des chiffres ? Plus de 50 000 vinyles seront proposés dans les bacs de près de 50 étals réunissant disquaires, labels ou collectionneurs, tous genres, époques et formats confondus. On y croisera des piliers des Paris Loves Vinyl comme le pointu Listen! de la rue de la Folie-Méricourt, les Montreuillois houblonnés de Beers & Records ou encore le légendaire Betino Errera (Betino’s Record Shop) et sa sélection soul, hip-hop, funk et jazz qui plaira autant aux fans des Temptations qu’à ceux de Scarface. Réservez votre billet coupe-file, ça vous évitera une queue longue comme un discours de Fidel Castro.

  • 4 sur 5 étoiles
  • Bars
  • Bars à vins
  • Odéon
  • prix 3 sur 4

Grain(s), dernier bébé des Becs Parisiens (ChoCho), se fixe une mission audacieuse : ambiancer à la mode tapas et vin nat’ Saint-Germain-des-Prés, où l’offre de soirée accessible se réduit comme peau de chagrin(s). Ce soir-là, accoudée au comptoir marbré du sous-sol (avec vue sur cour, à l’américaine), on graingnotte donc de petites assiettes : fromages du monde de chez Cheese of the World et fines charcuteries des maisons Dehesa et Montalet, mais aussi de sympathiques options végés et véganes, comme cette belle courge au marron arrosée de jus de betterave (10 €). Si vous n’êtes pas du genre à vous nourrir de graines, vous donnerez plutôt un coup de bec à la caille fondante, suintante d’une sauce BBQ bien piquante. Pas question de séparer le bon grain de l’ivresse. Côté raisin, une carte voyageuse et naturophile. Mais mieux vaut se fier aux conseils du sommelier si on n’y connaît grain de rien. 

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  • 4 sur 5 étoiles
  • Restaurants
  • Français
  • Paris et sa banlieue
  • prix 3 sur 4

Camille Saint-M’leux risque de se souvenir longtemps de son année 2023 ! Le jeune chef (28 ans) de Villa9trois a décroché sa première étoile et va représenter la France au concours Young Chef de San Pellegrino. Sur les hauteurs de Montreuil, cette improbable villa terracotta, cernée de barres d’immeubles, abrite un jardin replet (avec ruches, serre à agrumes, potager…) et un restaurant propret. La traversée dégustation en six escales (89 €) pioche largement dans les racines bretonnes et les voyages en Asie du chef. Au menu ce midi-là : glace à l’oursin sur une brioche rôtie et beurre noir ; carré de joue de cochon et son chapeau de caviar d'Aquitaine ; millefeuille chou grillé et algue avec son émulsion électrisante de feuille de figuier et jalapeño ; ganache chocolatée caressée par une crème au grué qui clôt en beauté cette croisière. Les quelques imprécisions s’oublient, la Villa 9Trois reste un bon numéro !

  • Musique
  • Ile de la Cité

Prosélytes des infrasons, Amplifon et musiques qui poussent le bouchon, votre église festivalière est de retour au centre du village. Le Sonic Protest revient faire du ramdam avec une nouvelle édition qui aura lieu du 14 mars au 2 avril 2023 dans des dizaines de lieux à Paris et proche banlieue. Comme tous les ans, on donne le même conseil (qu’on s’applique à nous-mêmes) : soyez curieux, sans a priori et laissez-vous guider par le hors-piste musical. Cette 23e édition sera l’occasion d’y voir les popes français de la noise Sister Iodine, les Anglais Swell Maps, pionniers du post-rock, la Belge Bontridders et sa synthpunk 8-bits ou la collab entre le Wild Classical Music Ensemble (groupe composé de musiciens handicapés mentaux) avec le guitariste mythique de Sonic Youth Lee Ranaldo.

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  • 4 sur 5 étoiles
  • Restaurants
  • Français
  • Réaumur
  • prix 2 sur 4

Après le bouillon ou la brasserie tradi, c’est au tour du buffet de revenir à la vie sous la houlette des frères Dumant, spécialistes des adresses à mastiquer dans le temps : les Marches (16e), Aux Bons Crus (11e), Aux Crus de Bourgogne (2e)…  Leur nouvelle planque ? Le Chardonnay. Dans le Sentier, ce bout de comptoir vintage à miroirs peints de cartes de vignobles (ouvert en continu), envoie des hors-d’œuvre bien emmanchés, modestement tarifés, servis fissa et avalés sans détour. Avec au choix : hareng-pommes à l’huile, tartine de pied de cochon au raifort, poireau-vinaigrette ou rosbif-mayo.

  • 5 sur 5 étoiles
  • Art
  • Roquette

Né en 1946, Chris Killip se destinait à devenir le gérant du seul hôtel de l'île de Man. Puis, en 1964, il tombe sur des photos d’Henri Cartier-Bresson en feuilletant Paris Match… Révélation et changement de plans : direction Londres où il devient assistant photo, avant de bourlinguer jusqu’à New York à la fin des années 1960 et de tomber amoureux des grands photographes américains. La suite ? Il retourne au village pour documenter sa communauté, avec un traitement sans artifices qu’il appliquera à différents endroits du Nord de l’Angleterre. Toujours en noir et blanc, les quatre séries présentées racontent, sans jamais en rajouter, un quotidien marqué par la misère sociale. À travers une cinquantaine de tirages soigneusement sélectionnés et un accrochage impeccable digne des grands musées, on découvre les paysages hostiles de la côte britannique, les visages crevés de ses habitants et l’ennui des jeunes punks de la région.

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  • 4 sur 5 étoiles
  • Art
  • Chaillot

Les années 1990 sont synonymes de minimalisme. Une tendance ultra-rigide qui explose en 1997. Les responsables de ce Fashion Big Bang ? Martin Margiela, Rei Kawabuko ou encore Jean-Paul Gaultier, dont les créations osées revivent vingt-cinq ans après dans les espaces d’expo du Palais GallieraA travers une cinquantaine de silhouettes et un ensemble de documents d’archives, l’expo revient sur une année mémorable dans une scéno élégante et épurée. String apparent chez Tom Ford, vêtements déconstruits chez Margiela, femmes-insectes chez Thierry Mugler… La mode se politise, les lignes changent, et l’objectif n’est plus simplement de vendre des vêtements mais de questionner les corps, la matière, et les notions de beauté.

  • 4 sur 5 étoiles
  • Art
  • Place de Clichy

Lieu de référence pour les fadas de photole BAL nous plonge pleinement dans l’univers performatif de Joanna Piotrowska, grâce à une scéno confidentielle et un accrochage sobrissime. Les grands formats se découvrent au fil d’une balade silencieuse, le bruit de nos pas étant complètement étouffé par une moquette colorée, évoquant les salons confortables de nos parents. Entre albums de famille aussi tendres que dérangeants, corps féminins contorsionnés en position de défense ou natures mortes, le travail en noir et blanc de la photographe brouille les frontières entre fiction et réalité. Difficile de savoir ce qui relève de la mise en scène ou de la prise de vue instantanée. C’est là toute la force de Piotrowska, qui switche sans peine entre les codes de la photo documentaire et les prises de vues complètement artificielles, le tout sans jamais donner d’explication.

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  • 4 sur 5 étoiles
  • Art
  • 8e arrondissement

Giovanni Bellini (1430-1516) est considéré comme le père de l’école vénitienne, un mouvement qui rompt avec le style gothique. Et pour la première fois en France, le musée Jacquemart-André lui offre une rétrospective à la hauteurDans une scéno un peu sombre, le musée revient à travers un parcours chrono-thématique sur les nombreuses influences et inspirations du peintre, qu’elles proviennent de son père, de l’art byzantin ou de la peinture flamande. Les tableaux et retables nous plongent direct dans la Cité des Doges, et l’on ne peut s’empêcher de sourire devant les coupes de Bee Gees dont le pauvre Jésus est affublé – et surtout les bébés cheum typiques des icônes chrétiennes de la Renaissance. Des petits êtres bodybuildés avec des têtes de vieillards qui représentent le Christ, interrogeant aussi bien les spectateurs que les théoriciens. Si certains estiment que la laideur des nourrissons est liée à un manque de pratique, d’autres estiment que cela renvoie à la double nature du Christ, né homme parfait.

  • 4 sur 5 étoiles
  • Restaurants
  • Paris et sa banlieue
  • prix 2 sur 4

À la fois resto, bar, coffee shop et lieu culturel, le Préau voit ses baquettes et ses mange-haut pris d’assaut dès le samedi matin par les familles du Pré-Saint-Gervais. Pour affronter le brouhaha de cette foule très réveillée, la formule brunch à 28 euros, collée serrée sur l'ardoise (une copieuse assiette salée, un gâteau et une verrine sucrée) n’est pas de trop ! Au menu : œufs très brouillés à la légèreté d'un cumulonimbus, relevés avec du paprika et quelques rondelles de céleri frais ; salade de blé, butternut, pousses d’épinard, fenouil et oignons rouges rôtis tout en fraîcheur ; et en dessert, on a le choix entre deux gâteaux et deux verrines. Si le crumble pomme-sarrasin se révèle savoureux, le gâteau de pain perdu, fade, est un poil décevant. Un brunch réussi et bien fourni pour son prix, qui donne envie de refaire des tours de 7 bis.

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  • 3 sur 5 étoiles
  • Art
  • 7e arrondissement

Sobrement intitulée Pastels, de Millet à Redonl’expo met en lumière une centaine de chefs-d’œuvre de pastels du musée à travers une thématique qui n’avait pas été explorée depuis l’exposition Le Mystère et l’éclat en 2009. Pas vraiment du dessin, pas vraiment de la peinture, le pastel connaît un âge d’or au XVIIIe siècle avant de se faire ringardiser par la Révolution française. Il pastel permet une variété d’usages et de styles, entre effet vaporeux et aspect instantané proche du croquis. Les multiples formats se dévoilent au fil d’un parcours thématique, et le musée réussit à rassembler une multitude d’artistes et de sujets sans rendre la déambulation indigeste. Mais si la qualité des œuvres et de la médiation est indéniable, Orsay force – une fois de plus – sur la scéno, en optant pour des couleurs criardes qui jurent avec les tonalités subtiles du pastel. 

  • Art
  • 7e arrondissement

Son nom ne vous dit peut-être rien, mais on est prêts à parier que ses photos, si. La robe de Marilyn qui s’envole au-dessus d’une bouche de métro, le Che qui cigare au bec, Schwarzy montrant ses gros muscles… Eh bien oui, toutes ces photos iconiques sont signées du même artiste : Elliott Erwitt. Pour rendre hommage à cette figure incontournable de l’agence Magnum, le musée Maillol organise une rétrospective qui retrace près d’un demi-siècle d’activité. A travers une centaine d'œuvres, l’expo engage un dialogue entre le photographe et le travail du peintre et sculpteur Aristide Maillol, confrontant par exemple leur regard sur les femmes ou les musées.

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  • Que faire
  • Balades et excursions

Il y a les arbres en fleur et il y a les cerisiers en fleur. Magnifiques, apaisants et même grandioses lorsqu'ils se retrouvent en bande, les sakura font partie des symboles ultimes de la culture nipponne. Au Japon, on scrute presque religieusement leur période de floraison, qui intervient selon les régions entre le mois de janvier et d'avril. C'est le temps de l’hanami. Et même si ce n’est pas Tokyo, on compte de nombreux parcs et jardins où apercevoir ces fameux cerisiers en fleur à Paris et en Ile-de-France. Petite sélection des spots où voir la vie en rose. 

  • Art
  • 12e arrondissement

Si la première expo du Grand Palais Immersif ne nous a franchement pas emballés, on est quand même curieux de découvrir la suite. Ça tombe bien : le nouveau lieu de création démarre l’année avec une expo dédiée à Alfons Mucha, l’un des artistes majeurs de l’Art nouveau. Organisé en trois parties, l’événement promet de revenir sur la carrière d’affichiste de Mucha, son passage remarqué à l’Expo universelle de 1900 et ses toiles maxi-formats. Un petit tour dans le Paris au tournant du XXe siècle, ça vous branche ? 

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  • Art
  • Art

Voilà treize ans que le festival Circulation(s) s’est imposé sur la scène culturelle parisienne : à chaque printemps, les fous de photos se ruent au 104 pour découvrir les clichés de la nouvelle scène artistique européenne. Pour cette édition, des artistes de 14 nationalités s'exprimeront, en images, sur les thèmes de la migration, la jeunesse, la nature, les traumatismes, l’identité ou la science. Tout ce qui nous préoccupe, quoi. Après la Roumanie, la Biélorussie, le Portugal et l’Arménie, l’invitation de l'année a été envoyée en Bulgarie, avec quatre artistes du cru annoncés sur le listing.

En vrac :

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