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Soul Kitchen
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18e arrondissement : les bars et restaurants

Les meilleurs bars et restos du quartier

Écrit par
Céleste Lafarge
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Le Ruisseau
  • 5 sur 5 étoiles
  • Restaurants
  • Etats-Unis
  • Mairie du 18e
  • prix 1 sur 4

Pour qui ? Vous qui ne jurez que par PNY. Goûtez-moi ça ! Plat culte ? Le blue burger, au bleu d’Auvergne fonduLe temple du "burger gourmet" comme on dit ! 13-15 €, frites croustifondantes (cuites en deux bains) et salade comprises dans le prix, qui dit mieux ? Des produits de qualité, avec un pain fait sur place deux fois par jour, une viande juteuse de vache limousine qui a connu l'herbe, et ça se sent ! Les recettes ? Plutôt classiques – cheeseburger, BBQ burger, chicken burger –  mais pas que : veggie burger (avec steak de pois chiches !), burger au chèvre, tartare burger, etc.. Vous hésitez ? Le duo de mini-burgers à 15 € est fait pour vous. Spécial dalleux : doublez la taille de vos burgers pour 5 € !  Et si vous n’êtes pas plus que ça branché burger, il y a plein d’autres raisons de venir s’attabler ici : le service souriant, la terrasse en enfilade, tranquille et ensoleillée, les cocktails à tarif décent (7-9 €), les bonnes bières pression (Brooklyn Lager, Saint Omer et Myrha de la Goutte d’Or, les desserts maison (glaces Maison Alpérel pour les connaisseurs)... Stop ! N'en jetez plus. Ils font aussi à emporter : l'occasion d'aller vous poser à quelques mètres, dans le jardin partagé le plus cool qui soit... En enfilade le long de la voie ferrée de l'ex-Petite Ceinture (110 bis rue du Ruisseau). Autre adresse : le Ruisseau Burger Joint, dans le Marais 

Le Très Particulier
  • 4 sur 5 étoiles
  • Bars
  • Bars à cocktails
  • Montmartre
  • prix 3 sur 4

L’oxygène raréfié du haut de la butte n’a pas eu raison de la logique. L’hôtel Particulier se situe bel et bien dans un hôtel particulier. Un micropalace planqué dans le passage de la Sorcière, venelle so Montmartre entre bosquet d’érables, association de boulistes et rocher enchanté (dit-on). Faites comme les initiés, traversez d’un pas décidé la cour où dînent quelques imposables du dernier décile, pénétrez dans cette bonbonnière chicos et descendez d’un niveau vers le bar, le Très Particulier, cocon luxuriant caché dans le jardin d’hiver. Une ambiance étrange mi-claque des tropiques (grandes plantes, papier peint jungle, lumière chiche) mi-Twin Peaks s03 (sol en damier et velours rouge).Derrière son comptoir en laiton et miroirs, Guillaume Castaignet (ex-Castor Club) propose une carte érudite et épurée de douze recettes d’une précision diabolique, comme le tout en rondeur Sakr-El-Bahr (rhum, manzanilla, amaro, sirop d’érable, infusion de cardamome, 16 €) ou le carrément plus amer Vin Tanneur (mezcal, pineau, liqueur de mastiha, Chartreuse, gentiane, verjus, 16 €). Pour agrémenter ce moment assez particulier, sonorisé par un mix pop world de bon aloi, quelques tapas nocturnes vous attendent : cecina de bœuf (10 €), sardines (14 €) ou planche de fromages (30 €)… Chez Time Out, tous les établissements sont testés anonymement par nos journalistes, en payant l'addition à chaque fois, comme n'importe quel client !

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  • 4 sur 5 étoiles
  • Restaurants
  • Bistrot
  • Abbesses
  • prix 1 sur 4

Pour qui ? Les titis parisiens ou tous ceux qui rêvent de l’être.Plat culte ? L’œuf mayonnaise, le bourguignon-coquillettes… Tous les classiques bistrotiers !Bon plan ? Les œufs mayo à 1,90 €; les harengs pommes à l’huile à 4,50 € ; le bœuf bourguignon à moins de 10 balles. Côté glou, le rouge côtes-du-rhône petit budget : de 2,90 € les 20 cl à 35 € le jéroboam ! Les serveurs en veston noir et chemise blanche circulent d’un pas pressé entre les 300 places du Bouillon Pigalle. En quelques minutes, l’immense salle ouverte sur l’agitation du boulevard de Clichy se remplit. Parisiens au temps chronométré et touristes en goguette à Pigalle prennent place sur les banquettes en cuir rouge autour des tables vêtues d'une nappe blanche et d'un napperon en papier. Soyez là tôt, sinon, vous risquez de devoir faire la queue. Le temps d’un déjeuner, on se rêve dans le Paris de Zola. Bye bye l’avocado toast, ici, on fait du bon pour pas cher avec des bas morceaux et du bon sens. On retrouve les saveurs réconfortantes et la simplicité d’un œuf servi avec une montagne de mayonnaise que l’on prend plaisir à saucer avec la belle miche de Jean-Luc Poujauran (1,90 €), le charme crémeux du céleri rémoulade accompagné des sprats fumés de la maison Petrossian (3,40 €) et la simplicité d’une brandade de morue surmontée de quelques amandes effilées, d’un filet d’huile d’olive bien fruitée et de ciboulette fraîche (9,20 €). Les coquillettes sont trop cuites et le service est un poil lent au moment du c

Terrass" Hôtel
  • 4 sur 5 étoiles
  • Bars
  • Bars à cocktails
  • Abbesses
  • prix 3 sur 4

Le décor a changé, mais l’ambiance est toujours la même : intimiste et décontractée. Pour rejoindre les nuages, montez les 127 marches ou envolez-vous par l’ascenseur jusqu’au septième et dernier étage de cet immeuble Art déco à deux pas de la très touristique rue Lepic. Tout en haut, un rooftop végétalisé vous attend, avec vue imprenable sur Paris, la tour Eiffel, la tour Montparnasse...  Confortablement installés sur de toutes nouvelles banquettes à coussins ou la balancelle, sirotez votre cocktail. On n'est pas bien, là, à la fraîche ?  Le soir, la terrasse est réservée au service du bar.Ce que l’on sait moins, c’est que client de l’hôtel ou pas, son resto ouvre tous les matins pour de gargantuesques petits déjeuners ! Le resto et le bar intérieurs ont été conçus comme un loft d’artistes indus'-chicos, mêlant bois clair et giga-suspensions design en cuivre. Avec des tables pas à touche-touche et de grandes baies vitrées à 360 degrés ! En libre-service au buffet : mini-viennoiseries encore toutes chaudes du four, plusieurs sortes de pain, fruits frais, céréales bio et œufs de cocottes élevées en plein air (préférez ceux au plat, les œufs brouillés sont nettement moins réussis). Mais aussi charcuteries et fromages produits en France, et chaque jour une nouvelle assiette : avocado toast le mercredi, tartine jambon serrano et tomates le vendredi... Mention spéciale pour : le jus de pamplemousse fraîchement pressé, les confitures et miels Alain Milliat (extra confiote de griott

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La Fourmi
  • 5 sur 5 étoiles
  • Bars
  • Abbesses
  • prix 1 sur 4

Voici les 100 meilleurs bars de Paris sélectionnés par Time Out Paris - cliquez ici pour voir la liste complète.En été, les cigalons de Pigalle viennent chanter fleurette aux filles à franges et robe légère sur la minuscule terrasse de la Fourmi, qui porte son nom en clin d'oeil à la salle de concert voisine, la Cigale. Lorsque la bise arrive, les bobos arty qui peuplent l'endroit s’installent derrière de larges baies vitrées, sous le haut plafond d’une grande salle à la déco post-industrielle. Avec son bar en boiseries à l’ancienne, son lustre impressionnant conçu en bouteilles de verre et son vaste espace, l'endroit est chaleureux. On y sirote des cocktails, des verres de vin ou des demis à prix raisonnable (2,8 € la blonde), si l'on compare avec le Café de la Cigale ou le Petit Trianon, non loin sur le boulevard. Le coin est très prisé par les Parisiens qui assistent à des concerts à la Cigale, la Boule Noire, au Trianon ou au Divan du Monde. Attendez-vous donc à jouer des coudes pour atteindre le zinc et attirer l’attention de serveurs sympas, mais débordés. Si par miracle vous obtenez une table, vous pouvez accompagner votre verre de tartines, salades, planches de charcuterie auvergnate ou quelques plats à la carte.

  • 5 sur 5 étoiles
  • Restaurants
  • Montmartre
  • prix 3 sur 4

Pour qui ? Les mordus de poulet, dinde et autres pintades. Un déjeuner en famille ou un dîner romantiquePlat culte ? La cannette de 100 jours de la Dombes, pochée au bouillon, puis rôtie entière Après une balade dans le Paris bucolique (Montmartre), entrez dans l’antre du poulet rôti ! Un lieu élégant et apaisant, cornaqué par Antoine Westermann, toque trois étoiles jadis aux manettes du Buerehiesel (Strasbourg), et ex-patron et chef de Drouant (le resto des Goncourt, revendu depuis). L'aile ou la cuisse ? Ici, amis avivores, vous n'aurez que de la came de première bourre. Lors de notre dernier passage (novembre 2018), la star c'était le coq Barbezieux (98 €), à partager avec 4-5 convives. Mais sur les conseils d’un maître d’hôtel très à l’écoute, on se laisse tenter pour la cannette de la Dombes (86 €) servie avec son jus, ses frites maison (certes bonnes mais trop salées), des macaronis gratinés au fromage (régressifs à souhait) et une salade verte (parfaitement assaisonnée). Pour faire glisser tout ça, rien de tel qu'un côte du Rhône Vieilles Vignes 2015 du Domaine de Grangeneuve (40 €), joli vin aux arômes de fruits murs et aux tanins veloutés. Les meilleures choses sont souvent les plus simples, et ça Le Coq Rico l'a bien compris : foie gras d’oie en croûte (33 €) juste agrémenté d’une pincée de fleur de sel et d’un tour de moulin à poivre, servi sans pain, même pas besoin ; très très tendre cannette en cuisson lente au goût de reviens-y ; et pour terminer en beauté, sub

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  • 3 sur 5 étoiles
  • Bars
  • Cafés-concerts
  • Montmartre
  • prix 2 sur 4

Le Soleil de la Butte connaît deux visages : le jour, ce restaurant pittoresque de la butte Montmartre attire les touristes comme le miel attire les abeilles grâce à sa terrasse ensoleillée au pied des escaliers, à l’abri de la pollution et des voitures. La nuit, il attire les noctambules du quartier en quête d’un dernier verre. Le week-end, les lieux sont ouverts jusqu’à l’aube. La carte est celle d’une brasserie parisienne classique avec des prix abordables, sans être exceptionnelle. mais on peut y déjeuner dans un cadre agréable et à toute heure (les cuisines sont ouvertes non-stop jusqu’à 1h du matin). Sa salle en sous-sol est louée à des musiciens et des petites troupes de théâtre ou d’humoristes pendant la semaine. Le week-end à partir de 22h et jusqu'à l'aube, elle devient l’antre des DJ’s qui y organisent leurs soirées. Le son est logiquement très inégal (tout dépend de qui se trouve derrière les platines), mais on vient volontiers y jeter une oreille, s'y jeter un dernier godet avant de rentrer se coucher.

  • 4 sur 5 étoiles
  • Restaurants
  • Etats-Unis
  • Montmartre
  • prix 1 sur 4

Pour qui ? Un lève-tôt ou un lève-tard, un caféinomane, un veggie ou un végan ou un gluten-free ou pas du tout : ici, tout est possible !Plat culte ? Une pichade « comme chez Mimi » (une épaisse pissaladière à la tomate, généreusement arrosée de pistou) C’est une petite cantine foutraque accrochée aux escaliers de la butte, une buvette couleur café, habitée par trois drôles de dames. Le genre de rade à tomber, qu'on aimerait avoir en bas de chez soi. Il y a une cage à oiseaux qui laisse s’échapper des dizaines de papillons en papier, une vieille machine à écrire, une grande baie vitrée, des cagettes pleines de victuailles, des meubles patinés…A l'ardoise, réinventée chaque jour, des gamelles à base de bons produits bio et/ou locaux, qui n'oublient pas les veggie, végans ou même gluten-free. Petit-dèj' jusqu'à midi, déj’ servi jusqu'à 15h… Le panard ! Lors de notre dernier passage, dans la formule à 14,50 €, quelques croûtons faisaient la planche sur un réconfortant velouté de potimarron, saupoudré d’oignons frits et accompagné d’une tartine de rillettes d’oie. Puis on s'est enquillé une “pichade”, traduire une épaisse pissaladière à la tomate généreusement arrosée de pistou. Avant ça, deux bols colorés remplis d’une belle salade de pâtes faisaient leur entrée. En épilogue, ZE tarte Tatin et fromage blanc à la confiote de mirabelle… Du coup, on est resté l'après-midi au chaud, entre un ordinateur et une pâtisserie, à siroter un petit noir exprimé sur classe La Marzocco ! On es

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  • 4 sur 5 étoiles
  • Bars
  • 18e arrondissement
  • prix 2 sur 4

Pour qui ? Un(e) bobo branché(e) agriculture urbaine Plat culte ? Un shawarma de poulet glissé dans un pain pita et entouré de pommes de terre et de légumes croquants.Voilà le genre de friche que l’on aimerait voir pousser partout à Paris. Un restaurant, un bar, un café, un potager, des ateliers DIY organisés tous les jours, une atmosphère détendue et conviviale… Le tout dans une ancienne gare de la Petite Ceinture, réhabilitée après de longues années d’errance et d’abandon. Aux manettes du projet, une poignée d’associés au flair bien aiguisé, également en charge de la Machine du Moulin Rouge et de la Cité Fertile. Des spécialistes de la seconde main, habitués à ressusciter ce type de bâtiments désaffectés, inspirés entre autres par les Petersham Nurseries de Londres. C’est en poussant la porte que l’on prend toute la mesure du caractère de cette étrange bâtisse. Du volume, une charpente en fer forgé, une immense verrière, et cette vue plongeante sur les anciens rails, transformés en un ruban de terrasse, le long de la voie ferrée, avec vue sur les jardins partagés du Ruisseau, en face.Un espace habillé tout en végétation et en récupe, occupé par des chaises de couleur, un énorme bar, une cuisine ouverte, des grandes cuves de vins naturels (qui viennent de chez En Vrac), des plantes grimpantes, et, dans un coin abrité par un mur de fenêtre, l'atelier de René, le bricoleur de la bande, qui répare absolument tout, et vous apprend à réparer et bricoler à votre tour.Ce midi-là, i

Le Bar à Bulles
  • 4 sur 5 étoiles
  • Bars
  • Bars à tapas
  • Abbesses
  • prix 2 sur 4

Une terrasse couverte de verdure, une salle grand ouverte sur l'extérieur, et même des serveurs souriants ? C'est à l'étage du club La Machine du Moulin Rouge qu'a ouvert ce bar à tapas, dont il est dur de soupconner l'existence, l'entrée se faisant par le discret passage Veron. Se rendre au Bar à Bulles à 19h pour décompresser de sa journée est une excellente idée. Pas d'attente pour les commandes ; horizon dégagé sur la terrasse et sur l'intérieur, rénové façon maison de vacances bourgeoise un peu décadente. A partir de 20h : commande au comptoir. Si la gourmandise prime chez vous sur le besoin d'air, vous rentrerez donc vous accouder sur le joli zinc pour choisir vos tapas (entre 4€ et 9€). On pioche parmi une assiette de charcuterie,une foccacia aux tomates cerises, des frites de papates douces etc. A accompagner de jolies mixtures qui pèsent malheureusement parfois sur le porte-monnaie, allant de 7 € le Spritz à 14 € le Mojito Moulin Rouge (au champagne). Malgré l'ambiance détendue qu'amènent la déco et la végétation, le Bar à Bulles ne contentera donc pas les étudiants fauchés. Mais l'adresse a déjà trouvé son public parmi les trentenaires et les familles. Comme souvent dans notre ville en passe de gentrification, il n'y a qu'un pas entre s'évader un peu et se barricader contre une partie des habitants... Espérons que ce nouveau comptoir du Moulin Rouge gardera un peu de l'esprit populaire d'antan. 

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